AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Jirô Taniguchi (2170)
Le Journal de mon père, tome 1 : le grand inc..

Je suis toujours subjuguée par la qualité et le réalisme des dessins, épatée et complètement plongée dans l’histoire. Les pages tournent et tournent et je suis seulement rassurée de savoir qu’il me reste 2 tomes à lire une fois celui-ci refermé. À la mort de son père, Yochan se sent forcé de retourner dans son village natal et va, sans s’y attendre, en apprendre plus sur qui étaient ses parents.
Commenter  J’apprécie          10
Le gourmet solitaire

Toujours un si grand coup de coeur pour Taniguchi et ses mangas qui nous font découvrir le Japon et sa culture de manière profonde, subtile et raffinée. Un régal que de se promener avec ce solitaire au fil des quartiers de Tokyo (et autres) pour en découvrir les spécialités culinaires. Mon tour du monde 2022-2023 finira par le Japon et grâce à Taniguchi, j’ai déjà une liste de mets que je dois absolument goûter tout en m’émerveillant des paysages autour de moi.
Commenter  J’apprécie          10
Un sandwich à Ginza

Un recueil de critiques gastronomiques qui fait connaître le Japon sous son aspect culinaire. On découvre le quartier chinois, les plats épurés des temples, les sandwichs, le pot au feu d'ours, l'horrible "gazouillis" de baleine (alias la langue de baleine ! Les Japonais sont censés ne plus en chasser sauf à des fins scientifiques ; cherchez l'erreur). L'autrice alterne les plats classiques et les bizarroïdes.

Cela dit, c'est assez mal écrit, répétitif, et personnellement j'ai peu apprécié les planches de mangas illustrant les chroniques, que j'ai trouvées assez lourdingues et peu aptes à reproduire les plats.
Commenter  J’apprécie          10
Le sommet des Dieux, tome 1

Je suis déjà accro à cette BD, vivement la suite! Elle est parfaite sur tous les plans, l'intrigue aux notes de suspense et d'aventure est prenante et dynamique. Les illustrations sont d'une perfection et d'un réalisme exceptionnel. Ce manga peut convenir à tous, même ceux qui (comme moi) ne sont pas amateurs d'alpinisme ni de haute montagne.
Commenter  J’apprécie          10
Quartier lointain - Intégrale

Quartier Lointain est une belle histoire sur la famille, sur le passé, sur les erreurs et sur le deuil.



Il de dégage beaucoup de poésie et de nostalgie du scénario, des dessins et des personnages.



J'ai beaucoup apprécié Hiroshi comme personnage. Il est touchant enfant, essayant de se réadapter à sa vie d'enfant, essayant de retenir son père, essayant d'être une bonne personne.



Difficile d'en dire plus sans trop en dévoiler. Je recommande en tout cas chaudement la lecture et je vais de ce pas essayer de trouver d'autres livres de Jirô Taniguchi !



Commenter  J’apprécie          10
Quartier lointain - Intégrale

Beaucoup m’ont parlé de “𝗤𝘂𝗮𝗿𝘁𝗶𝗲𝗿 𝗹𝗼𝗶𝗻𝘁𝗮𝗶𝗻” comme d’un petit bijou.

Je l’ai beaucoup aimé sans être un réel coup de cœur.

Peut être ne suis-je pas encore très familière avec le style et que seul le romanesque peut vraiment me toucher ?

En tout cas, ce fut une très bonne lecture et je continuerais ma découverte du style graphique.



📖 Hiroshi a 40 ans et n’est pas heureux. Il se réveille soudainement dans la peau de ses 14 ans et comprend qu’il peut tout recommencer, avec ses connaissances d’homme mûr. Mais parviendra t’il à changer le passé ? La date de disparition de son père se rapproche. Réussira t’il à découvrir pourquoi celui-ci a décidé de quitter sa famille du jour au lendemain ?



𝗨𝗻𝗲 𝗵𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗱𝗼𝘂𝗰𝗲 𝗲𝘁 𝗽𝗼𝗲́𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗽𝗼𝗶𝗱𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗲𝗴𝗿𝗲𝘁𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝘀𝗼𝘂𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿𝘀, 𝗹𝗲𝘀 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗱𝗼𝗹𝗲𝘀𝗰𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗲𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝘃𝗮𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗳𝗮𝗺𝗶𝗹𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀.
Commenter  J’apprécie          10
Les années douces, tome 2

Les années douce(reuses)s



Dans ce 2ème volume, la relation de Tsukiko avec le "Maître" prend une tournure plus sensuelle. Surmontant difficilement leur réserve et leur pudeur, ils finissent par tisser un lien amoureux.



Si certaines pages rappellent le grand Taniguchi, avec ce dessin fin et délicat qui parvient si bien à exprimer les sentiments les plus diffus, l'ensemble m'est apparu pourtant ennuyeux au possible.



Plus encore que dans le 1er volume, la personnalité du "Maître" me repousse. Je continue à le trouver fade avec ses petits gilets, son petit cartable, son petit chapeau, ses petites manies..., égoïste quand il empêche Tsukiko de se rendre à un rendez vous (qui l'attire guère toutefois), et surtout, assez hypocrite, jouant des sentiments de Tsukiko (la visite dans l'île sur la tombe de sa femme, son invitation à le rejoindre dans sa chambre), la traitant comme une enfant, comme l'élève qu'il a connue et à qui il apprend à se comporter : "vous buvez trop", "vous êtes une enfant gâtée", "vous devriez faire plus d'exercice"...



Bon sang Tsukiko, cours ! Laisse le avec ses morceaux de poulpe, ses haïkus et ses expositions de caligraphie kamakura...Jette ton yukata, raccourcis tes jupes , va t'amuser, prends un hamburger, chante et mets du rock à fond...Envole toi !



Bref, vous aurez compris que je suis passé à côté et j'ai même trouvé les dernières pages avec les petits dieux Tengus, particulièrement pénibles.



Je n'aurais jamais imaginé penser ça de Taniguchi que je lis depuis des années, mais là...C'est trop pour moi.
Commenter  J’apprécie          10
Les années douces, tome 1

Taniguchi un peu dans l'alcool



Nourriture et Saké.



Au hasard d'un repas pris au comptoir d'un bar, Tsukiko, jeune célibataire de 37 ans, rencontre son ancien professeur de Japonais de 30 ans plus âgé qu'elle.



Ils se revoient souvent au moment des repas et les jours défilent emplis de petits riens, au rythme des lamelles de Daikon séché, de boulettes de sardine ou de tendons (!) et de Saké chaud... Entre les 2 solitaires, va se nouer une complicité gourmande d'abord, plus trouble ensuite, à la fin de ce 1er volume.



Leurs vies antérieures sont elles soumises au lien "Tashô" ?



Je considère Taniguchi comme l'un des plus grands dessinateurs contemporains tous continents confondus. Dans sa production abondante (trop ?) figurent de purs chefs d'oeuvre : "L'Orme du Caucase", "L'homme qui marche", "Journal de mon père", "Quartier lointain" ou "Le Sommet des Dieux" entre autres. Mais aussi d'autres ouvrages moins intéressants de mon point de vue : "Le Chien Blanco", "Seton" ou "Un zoo en hiver"...



Au sujet de Taniguchi, on entend un peu toujours les mêmes poncifs qui en font un pont entre l'orient et l'occident, un mangaka tendance école franco-belge en quelque sorte.



Ce n'est pas entièrement faux. Ce n'est pas forcément juste non plus.



Certains de ses livres -souvent des adaptations de romans- sont ils plus spécifiquement nippons et donc moins accessibles que d'autres à l'occidental moyen ?



Toujours est il que "Les années douces" illustration d'un roman de Kawakami, m'a vaguement ennuyé, comme avant lui "Au temps de Botchan" abandonné au 2ème volume ou "Le gourmet solitaire".



Ici, je n'ai pas accroché aux plaisirs simples du marché ou aux joies de la cueillette des champignons...même si certains passages retiennent l'attention : l'abus de Saké qui provoque une dispute au sujet d'une équipe de base ball, Tsukiko qui se remémore un amour perdu...



Surtout, le personnage du "maître", gourmet collectionneur de théières de train ne m'a pas intéressé et j'ai donc eu du mal à imaginer (jalousie ?)q'une jeune femme, puisse être attirée par lui, assez terne à tous points de vue.



Je ne sais pas si le moindre intérêt pour ce récit explique également que j'ai trouvé au dessin des faiblesses inhabituelles : par exemple, les aspects figés du professeur, notamment quand il tourne la tête sur le côté...



Donc, une petite déception pour cette fois.

Commenter  J’apprécie          10
Un sandwich à Ginza

Un sandwich à Ginza est un recueil de chroniques culinaires de l'autrice culinaire, Yôko Hiramatsu, également sociologue et journaliste. Le mangaka Jirô Taniguchi illustre son propos à travers de belles planches rencontrées au fil de l’œuvre.

Ce livre nous entraîne dans un passionnant voyage gourmand à travers le Japon. Nous visitons restaurants, temples bouddhistes, restaurants d'entreprises, bar à bières, etc, A chaque fois, nous nous régalons avec Yôko et ses amis des nombreux et divers plats commandés. Les détails nous plongent dans l'ambiance, nous mettent l'eau à la bouche ou (très rarement) nous écœurent. Il y a aussi des histoires d'hommes et de femmes qui se cachent derrière chacun de ces lieux, chacun de ces mets. Bref, une très jolie balade dans la foisonnante gastronomie japonaise,
Commenter  J’apprécie          10
Nos compagnons

Et oui c’est du Taniguchi. Et comme d’habitude c’est frais, c’est vrai, c’est bien raconté, c’est bien dessiné, les personnages sont attachants. Et en parlant de nos fidèles amis à quatre pattes, il touche une fois de plus nos âmes sensibles et toujours avec beaucoup de délicatesse et bienveillance. un ouvrage qui fais du bien!
Commenter  J’apprécie          10
Sky Hawk

Quand l'histoire est digne d'une fiction... 2 samouraïs émigrés aux USA participent aux côtés des indiens, qui les ont reconnus comme les leurs, aux derniers affrontement avec les forces militaires américaines avant la fin du génocide. Cela a vraiment existé.



C'est ce dont témoigne ce manga, avec lequel je n'aurai pas trouvé l'intensité que j'espérais. Je reprends ces propos de la critique de Vexiana que je partage totalement :

"Je trouve que le travail de Tanigushi fait toujours mouche dans des récits plutôt contemplatifs ou familiaux. Je trouve sont trait moins adapté aux récits d'action."



Cela reste un bon moment de lecture, instructif qui plus est, ce qui est déjà très honorable.
Commenter  J’apprécie          10
Quartier lointain - Intégrale

Hiroshi se retrouve, à la suite d’une erreur dans la gare, dans le quartier de son enfance. Alors qu’il se recueille sur la tombe de sa mère, un étrange phénomène se produit : il remonte le temps et se retrouve dans son corps et sa vie de 14 ans… Le revoilà dans le passé, quelques mois seulement avant le départ de son père. C’est un choc pour lui de revoir son père, mais aussi une aubaine : c'est sa chance de connaître la vérité sur ce départ et peut-être l'empêcher.



Avec sa vision d’adulte dans le corps d’un adolescent il va avec un œil neuf comprendre certaines choses qu’il n’avait pas pu remarquer à l’époque, dans le comportement de ses parents, de ses amis.



Il va redécouvrir sa vie d’adolescent avec ses connaissances et ses souvenirs d’adultes, toutes les expériences qu’il avait pu vivre lors de sa « première jeunesse », vont être différents, car le Hiroshi de maintenant n’a plus le même regard sur l’adolescence. Le fait qu’il connaisse à l’avance la plupart des événements de l’année de ses quatorze ans pourrait entraîner des changements de son passé, et donc son futur.



Avec le recul d’un homme de 48 ans, il peut en apprécier toute la valeur, ce qui est difficile à faire sur le moment où on ne profite peut-être pas suffisamment des plaisirs simples que l’adolescence nous offre.



« Du haut de mes 48 ans, j’éprouve une joie toute simple à retrouver les bancs de l’école, à réapprendre »



On va trouver aussi une réflexion sur l’avenir de chacun, alors que lui sait ce que vont devenir ses anciens camarades et sa famille, il se retrouve confronté à leurs aspirations et leurs ambitions. C’est une époque où tout est encore possible, où l’on tient son avenir entre ses mains et c’est ce qui la rend si fascinante aux yeux du héros. L’auteur va aussi analyser la frontière entre l’enfance et l’âge adulte, qui apparait comme fine mais complexe.



Grâce à ce bond dans le passé, il va aussi prendre conscience que son travail l’a considérablement éloigné de sa famille. La famille a une place centrale dans cette œuvre, on le voit notamment par la multiplication des scènes de repas familial, où toute la famille est réunie. On nous peint un tableau de quiétude et de bonheur simple, que la famille sait créer.



« Sa propre famille…celui qui la fuyait… c’était moi… »



Les dessins sublimes, sont au service de l’histoire pleine de nostalgie et d’émotion. Les traits sont droits et minimalistes, mais transcrivent avec justesse les émotions des personnages, et nous plongent avec nostalgie dans le Japon des années 60.

Commenter  J’apprécie          10
Les Gardiens du Louvre

J'ai eu peu d'intérêt pour ce manga, dans lequel, le monde de l'imaginaire a une grande place, ce qui ne ne convient pas trop.

J'ai les pieds bien ancrés sur terre et j'ai besoin de concret !

Les histoires du Louvre quant à elles sont intéressantes et se lissent facilement.

Un manga qui se lit rapidement et qui ne me marquera pas. L'auteur nous a habitué à mieux.

Commenter  J’apprécie          10
Un ciel radieux

Une nuit de juillet, le jeune Takuya Onudera, qui est en moto, a un accident grave en percutant la voiture de Kazuhiro Kubota.

A son réveil, le jeune homme n'est plus réellement lui-même, la conscience de Kazuhiro est en lui et le gouverne, il n'a plus aucun souvenir de sa propre vie.

Commence alors pour lui un calvaire, Kazuhiro veut dire au revoir à sa famille qui tente de faire son deuil et la meilleure amie de Takuya, Kaori, est la seule personne à qui il peut se confier.

Entre les regrets d'un homme qui aimerait partir en ayant partagé ses derniers instants avec sa femme et sa fille, et l'impatience d'un jeune homme à retrouver sa vie, ce manga rempli de tendresse et d'humanité ne peut que nous parler.



J'ai découvert Taniguchi avec le recueil des aventures du Gourmet solitaire. J'ai tout de suite accroché avec son trait qui est plutôt éloigné des mangas "traditionnels". J'ai ensuite découvert qu'il était très apprécié en Europe, particulièrement en France.

Certains diront que ses personnages principaux se ressemblent beaucoup. Peut-être, mais sa façon de nous raconter des histoires, la douceur de ses dessins, sa sensibilité, tout en ce mangaka me touche.

Un ciel radieux, de par son schéma narratif pourrait sembler être une histoire plutôt fantastique. Et pourtant, en mettant la conscience d'un homme d'une quarantaine d'années dans le corps d'un jeune de 17 ans, Taniguchi nous force à observer nos propres faiblesses, voire nos regrets.

Kazuhiro ne veut pas quitter ce monde sans un réel au revoir à sa famille et il s'aperçoit rapidement que la conscience de Takuya revient peu à peu.

D'abord déboussolé par le fait de vivre dans une famille qui n'est pas la sienne, Kazuhiro s'attache également aux parents et à la soeur de Takuya, tout en comprenant que les relations familiales n'étaient pas au beau fixe avant l'accident.

Cette histoire pleine d'émotion nous montre qu'à tout âge de la vie, il faut apprécier ce que l'on a : de bons moments avec nos proches, ne pas passer son temps à travailler, dire à notre famille que nous l'aimons... tout ceci semble si simple, et pourtant, Taniguchi nous rappelle que ces moments peuvent s'évanouir et disparaitre pour toujours.

Il y a de magnifiques planches, la mise en page est dynamique et s'adapte à l'histoire, encore une fois, Taniguchi m'a emporté avec lui dans une histoire peu classique et tellement humaine.



Pourquoi lire Un ciel radieux ?



Lire Taniguchi est toujours un bonheur, et cette histoire m'a beaucoup émue. J'ai aimé la détermination de Kazuhiro, ainsi que l'écoute de Kaori, qui malgré son amour pour Takuya fait tout pour aider son "alter ego" à parler à sa famille.

Même si la forme est à tendance surnaturelle, le fond parle de chacun d'entre nous et c'est la force de Taniguchi, avec un récit extraordinaire, il réussit à nous faire nous interroger sur notre quotidien.

Magnifique...
Lien : http://racontemoilalecture.o..
Commenter  J’apprécie          10
Un sandwich à Ginza

Un livre savoureux, dépaysant et informatif.

Les sushis et sashimis ne sont que la face émergée de la gastronomie nippone.

C'est un livre que l'on peut grappiller, nul besoin de le lire en continue, il n'y a pas d'histoire à suivre puisqu'il s'agit de chroniques culinaires parues dans un magazine.

On se pose deux minutes de temps en temps et on part avec l'auteure à travers les rues de Tokyo pour dénicher une petite gargote fréquentée par les locaux. On découvre un restaurant avec salles japonaises et cuisine traditionnelle à base de pot au feu puis une enseigne spécialisée dans les omu rice, les omelettes au riz. On part à Narita ou à Kamakura pendant la saison des anguilles.

On suivrait Yoko Hiramatsu n'importe où. Les plats, les lieux et leur histoire, les gens, tout l'interpelle, son intérêt est communicatif. Nous aussi on veut tout déguster, tout visiter, tout connaître des gens attablés à la table d'à côté.

C'est passionnant poétique et sensuel.
Commenter  J’apprécie          10
Le gourmet solitaire

Étrange bouquin emprunté à ma bibliothèque de quartier. Il n'y a pas vraiment d'histoire mais un seul fil rouge : la bouffe. Notre "promeneur solitaire" passe à travers les quartiers de Tokyo ou d'autres ville japonaises et nous ne le voyons qu'au moment où il a faim et se sustente.

C'est une chouette idée, le graphisme est parfait mais .. je ne connais pas assez la culture japonaise ni le Japon lui-même pour pouvoir mettre 5 étoiles.

Je garde néanmoins le titre si un jour je pars au Japon, car il y a beaucoup de références aux quartiers de Tokyo..

Une chouette lecture mais je suis absolument sûre d'être passé loin de plein de choses !
Commenter  J’apprécie          10
Blanco, Tome 1 : La poursuite

Une histoire qui n'est pas sans rappeler les aventures de Croc Blanc. Comme toujours, le dessin est extraordinaire de sensibilité, et exprime parfois mieux que le texte le drame qui se joue ici.

Si la violence de certaines scènes peut choquer dans un premier temps, on comprend au fil des pages, que c'est une question de survie pour le héro de l'histoire dont on perçoit par moment le désespoir.

Personnellement, je cours acheter la suite, trop sensible à la cause animale, et dans l'espoir que le machiavélisme dont font preuve certains protagonistes humains soit déjoué.
Commenter  J’apprécie          10
Elle s'appelait Tomoji

La BD retrace la vie dans les campagnes au Japon au XXè siècle. Avec mes représentations actuelles, j'ai eu un peu de mal à comprendre comment se développe l'histoire d'amour et même en quoi la BD est centrée autour d'elle. Heureusement qu'il y a une présentation de l'auteur à la fin qui permet de bien recontextualiser. Tomoji n'est pas un personnage fictif inventé au hasard, elle a compté dans l'histoire japonaise.
Commenter  J’apprécie          10
Un ciel radieux

L'histoire est très originale mais je n'ai pas été particulièrement emballée. Je ne saurais pas dire pourquoi, peut-être parce que j'attendais plus de cet auteur ? Après le Sommet des dieux, je crois que j'en attends autant sur tous les ouvrages de Jirô Taniguchi. Enfin, j'apprécie que le message soit positif.
Commenter  J’apprécie          10
Un ciel radieux

Gros coup de coeur pour ce roman graphique qui amène vraiment à réfléchir sur notre propre quotidien et sur le rapport au travail et à la famille. J'ai beaucoup aimé la façon dont Jiro Taniguchi aborde ce sujet ainsi que celui de la renaissance de l'âme.
Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jirô Taniguchi Voir plus

Quiz Voir plus

Jirô Taniguchi

Dans quel film le mangaka apparaît-il?

Quartier lointain
L'élégance du hérisson
Stupeur et tremblements

10 questions
65 lecteurs ont répondu
Thème : Jirô TaniguchiCréer un quiz sur cet auteur

{* *}