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Jim Qwilleran (Le Chat qui...) tome 6 sur 29
EAN : 9782264038197
253 pages
10-18 (03/06/2004)
3.89/5   89 notes
Résumé :

Ayant hérité d'une fabuleuse fortune, Jim Qwilleran part s'installer avec ses deux chats siamois, Kao k'o Kung dit Koko et Yom Yom, dans une résidence de grand luxe de la petite ville de Pickax.
Toujours curieux, Qwilleran s'intéresse à la disparition d'une jeune soubrette qui vivait là cinq ans plus tôt, et Koko doit exercer son flair pour mettre Qwilleran sur la bonne voie. Accessoirement, Koko apprend à jouer du piano. Ensemble, ils vont découvri... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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🐱🚴‍♂️Sixième tome de la série de Jim Qwilleran.🚴‍♂️🐱


Et voilà ! Jim Qwilleran a raccroché sa plume au Daily Fluxion après avoir fait un très bel héritage. Par contre, ce leg lui impose de vivre à Pickax pendant 5 ans avant d'acquérir la totalité des droits sur cette fortune. N'ayant plus de problème financier, Qwilleran s'installe avec ses deux chats dans la prestigieuse demeure acquise avec son héritage. La maison nécessitant quelques travaux, Jim découvre une chambre où quelqu'un a peint des fresques saisissantes. Plus tard, il découvre (avec l'aide de Koko) que cette jeune personne a quitté la ville sans vêtements, sans argent et sans donner le moindre signe de vie depuis...


On dit que la richesse rend heureux. Ici, la richesse rend fade et insipide cette enquête où Qwilleran tombe dans le laisser vivre alors que son chat se décarcasse pour lui ouvrir les yeux (et que le lecteur comprend rapidement l'histoire). C'est simple, ce sixième tome est loin des précédents. Manque d'humour, manque de personnalité dans l'ensemble, et intrigue sans intérêt tant l'auteur semble se concentrer sur la valeur des meubles de la maison, la piètre qualité des restaurants du coin, la romance de Qwilleran... C'est dommage parce que ce mystère englobant cette jeune fille avait de quoi donner une aventure exaltante.


L'auteure tente de sauver les meubles de cette aventure avec un début mystérieux où Jim se réveille après avoir eu un accident. Les facéties de Koko apportent également un peu de peps avec sa capacité à jouer du piano, sa capacité à sélectionner des lettres, son envie irrésistible de pousser des objets devant une porte... Malheureusement, l'auteure est aussi obtuse que son personnage et cela donne une histoire stéréotypée où tout est révélé à la fin sous la forme d'une lettre confession...


Pour conclure, le chat qui jouait au postier n'est pas représentatif de la série. Espérons que cette baisse de niveau n'est pas annonciatrice d'un encroutement dans les prochaines aventures...🙄
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Le chat qui jouait au postier part d'une bonne idée de l'auteure : la découverte par Qwilleran, dans sa propriété, d'une chambre aux murs peints, entièrement recouverts de motifs floraux et complètement extravagants. Comme le journaliste, on a forcément très envie de savoir qui se cache derrière ces oeuvres originales. le mystère de la disparition de l'artiste (une très jeune femme), la visite chez sa mère, et, surtout, la trouvaille faite dans un grenier poussiéreux (quelques affaires personnelles de la disparue)... Tout cela accroche le lecteur. Malheureusement, ceci reste inexploité et Lilian Jackson Braun se tourne, une fois de plus, vers une intrigue très conventionnelle.

Ajoutons à cela qu'une fois de plus, Qwilleran prouve son incapacité complète à démêler l'écheveau de l'enquête tant qu'il n'aura pas reçu une lettre de l'assassin avouant ses forfaits (car il y a eu crime, évidemment). Ajoutons également que cette nouvelle histoire va être le point de départ d'une hécatombe qui touchera, par la suite, une grande famille de la ville, et ce contre toute probabilité statistique. Ajoutons enfin que Qwilleran, avec sa manie de ne fréquenter que de superbes jeunes donzelles de vingt ans de moins que lui, devient un tantinet agaçant. Bref, Lilian Jackson Braun a réenfilé ses pantoufles, et nous avec. Une bonne lecture de détente, sans plus, où l'on aura plaisir à retrouver Koko et Yom Yom.
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Encore une belle aventure de Qwilleran et de ses siamois, mais cette fois ci, il s'agit d'un cold case.
J'aime ce coté suranné et "anglais" de cette série, et l'écriture toute simple de Lilian Jackson-Braun.
J'aime surtout les interventions toujours fort-à-propos des matous et les descriptions de leur comportement.
Bref, une bonne série reposante, que je lis toujours avec plaisir.
Pioche de décembre 2018 choisie par Neneve.
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Jim Qwilleran, qui vient d'hériter d'une immense fortune, s'installe avec ses siamois Koko et Yom Yom à Pickax, à 600 kilomètres au nord de partout. Alors qu'il explore sa nouvelle maison, Koko met la patte sur les effets personnels d'une jeune domestique qui a brusquement quitté les lieux des années plus tôt.

Ce tome est le premier dans lequel Qwill ne doit plus se soucier des contingences matérielles et commence à distribuer ses bienfaits à son entourage, ce qui donne une ambiance différente au récit. Nous faisons également la connaissance des habitants de Pickax.

Je lis les aventures de Qwill et les siamois dans le désordre, du fait que j'avais découvert cette série il y a très longtemps, un peu par hasard, et que je lisais les tomes qui me tombaient sous la main à ce moment-là. Je regrette de ne pas avoir lu les tomes dans l'ordre, mais pour être franche, ça ne perturbe pas vraiment ma lecture, ni ne gâche mon plaisir, même si ça me spoile la vie personnelle de Qwill ou les futurs décès dans la communauté.

Ce tome-ci avait une saveur particulière, du fait que notre héros découvre une nouvelle façon de vivre et un nouvel environnement. C'était assez chouette de rencontrer avec lui certains des personnages emblématiques de la série et de voir les lieux avant que Qwill et sa fortune ne débarquent et y apportent des modifications.

Le mystère en lui-même est intéressant et, si j'avais des soupçons, je n'avais pas dévoilé le fin mot de l'histoire avant d'arriver aux révélations des derniers chapitres.

Et comme toujours, il est question de chats, de bouquins et de bons petits plats. de quoi passer un agréable moment avec un bon thé et un gros plaid 🙂

Un bon tome!
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Lorsque Qwilleran quitte les grandes villes du "Pays d'en bas" pour s'installer à Pickax, à 600 kms au nord de partout, ses amis ne sont pas sans inquiétude : ne risque-t-il pas de s'ennuyer dans une ville au si faible taux de criminalité ? Mais Qwilleran - fortement guidé par son chat Koko - n'a pas son pareil pour dénicher les mystères, les crimes non résolus et les secrets bien enfouis. Et la petite communauté de Pickax est loin d'être aussi tranquille qu'elle en a l'air...

Ce tome vient à la suite du chat qui jouait Brahms dans lequel Qwilleran découvrait Pickax et apprenait qu'il héritait d'une vaste fortune. Dans ce tome, il s'installe avec ses chats à Pickax, pour respecter les termes du testament. C'est l'occasion pour lui comme pour le lecteur de faire connaissance avec les personnages qui deviendront récurrents dans les tomes suivants. L'histoire démarre sur les chapeaux de roues puisqu'on retrouve Qwilleran sur un lit d'hôpital, complètement groggy et peinant à se souvenir ne serait-ce que de son nom. Lorsque la mémoire lui revient, il réalise que son accident de bicyclette était en fait une tentative de meurtre. Depuis deux mois qu'il est installé à Pickax, quel crime caché a-t-il donc commencer à découvrir ?
L'enquête qui fait le fond de ce roman n'est pas très complexe en elle-même. Je l'ai éventée assez facilement et je ne m'étais pas trop trompée dans mes soupçons. Cependant, ça reste une lecture plaisante, comme toujours avec les le chat qui... Ce tome est particulier car on y voit Qwilleran s'installer à Pickax et qu'on voit la première apparition de personnages qui deviendront familiers par la suite. Il ne manque que Polly (qui apparaîtra plus tard dans la série) et un restaurant digne de ce nom !

D'un point de vue stylistique, c'est toujours un régal. Un récit facile à lire, teinté d'un humour fin, légèrement sardonique.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
— C’est ce qui arrive, quand je tire mes propres conclusions au lieu d’écouter Koko. Voyez-vous, ce chat représente cinq kilos de muscles, d’os et de fourrure, complétés par des moustaches, une longue queue et un nez de truffe, mais il est plus rusé que moi. [...]
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— Vous avez vraiment créé la sensation de l’année en proposant de distribuer vos revenus, dit-elle. La rumeur publique prétend que Pickax va être rebaptisé Pickqwill. Vous allez avoir toutes les femmes du Comté de Moose à vos trousses, mais n’oubliez pas que je vous ai connu la première !
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Le second appartement vous sautait au visage comme une explosion. Les murs et les plafonds étaient couverts de graffitis de toutes les couleurs possibles et imaginables. Des fleurs géantes ressemblant à des pâquerettes étaient peintes sur toutes les les surfaces, coupées de cœurs, d'initiales ou de références à l'amour.
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Koko se conduisait de façon étrange. Jusque-là, lui et Qwilleran avaient été de bons copains. Ils se traitaient mutuellement sur un plan d'égalité. L'homme parlait au chat et le chat l'écoutait, fermait les yeux et répondait "Yao" ce qui signifiait un intérêt tolérant, un agrément ou une violente désapprobation, selon le ton.
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La seule extravagance de Jim Qwilleran était ses deux chats siamois qui refusaient la nourriture en boîte réservée aux animaux et préféraient le filet de bœuf, la langouste et les huîtres durant les mois en R. Non seulement ils avaient des goûts aristocratiques et un appétit épicurien, mais Koko, le mâle, possédait une intelligence hors du commun.
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Il faut savoir miauler à temps !

Très rapidement, Jim Qwilleran se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique d'art, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung - Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maîtres et sait lire les manchettes de journaux.

Le chat qui lisait à l'envers
Le chat qui flairait l'embrouille
Le chat qui avait un don

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