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Critiques de Ludovic Debeurme (125)
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Ocean Park

Ce livre se présente comme un conte, a mis chemin entre Lautréamont et Jules Verne. Soit., restons ouvert.



C’est l’histoire d’une famille particulière. Les parents décident du jour en lendemain de quitter la France métropolitaine pour aller s’exiler sur une île du Pacifique. Un moyen de fuir le fisc et les microbes (la mère est mega hypocondriaque). Ils abandonnent ainsi leurs deux enfants, âgés de douze et quinze ans. Ils se retrouvent livrés à eux même.



Bien des années plus tard, devenus adulte, nous retrouvons ces deux enfants. L’aîné est un sdf par choix, schizophrène et épileptique, qui déambule sur les routes et chemins de France, avec pour seuls compagnons un couteau et une tente igloo. Il sait qu’il a de l’argent sur un compte bancaire, mais ne sait pas comment s’en servir, donc reste sans revenu.



Le cadet de la famille est établie à Paris, a un appartement et un boulot stable, mais est érotomane. Il ressent le besoin de déclarer sa flamme aux filles d’un soir, et méprise les filles avec qui il prend le temps d’établir une relation plus normale.

Un jour, le père reprend contact avec son cadet, pour lui demander de retrouver son frère, et de venir sur l’île privatisée des parents, car la mère est malade. A partir de là, une grande aventure devrait se passer, dans un premier, le challenge de retrouver son frère, et de ramener ces orphelins devenus adulte sur la terre d’exil des parents.



J’utilise le conditionnel, car je n’ai pas terminé ce livre. Les personnages sont, de mon point de vue, inintéressant. Le frère aîné a de nombreux handicaps pour être crédible, et le cadet est un peu insupportable.



Du point de vue styliste, autant l’écriture pour narrer la vie du frère cadet est intéressante, quoique un peu brutal, autant celle employé pour le frère aîné est ennuyeuse. Bref, je n’ai absolument accroché à cette histoire pseudo de famille.

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Ocean Park

Premier roman de l'auteur de bande-dessinées, Ludovic Debeurme, Ocean Park est une belle continuité de son travail de créateur. J'ai retrouvé dans cette histoire l'univers de l'auteur, découvert dans la BD Lucille, où il met en scène deux personnages torturés par la vie.

A travers les errances individuelles des 2 frères, on découvre des êtres abandonnés par des parents psychotiques qui, chacun à leur manière, vivent avec des névroses qui guident leur vie. Alors que l'un va tenter de se perdre dans des relations charnelles qui n'ont pas de sens, l'autre va chercher à trouver dans la nature un sens profond, quitte à devenir un élément de cette nature. Leurs retrouvailles vont prendre l'allure d'une quête initiatique, pour l'un comme pour l'autre.

Dans ce récit à la première personne, alternant le point de vue des 2 frères, l'auteur nous embarque dans un récit mélancolique, à la fois ancré dans la réalité et dans l'onirique, chaque personnage représentant l'ambivalence d'une seule et même personnalité.

Malgré l'écriture assez rude de l'auteur, on finit par être intrigué par ces 2 personnages et l’ambiguïté de leur relation attise la curiosité et finit par nous toucher par sa sincérité et sa grande pudeur.

Ocean Park est une histoire dont le thème a été mille fois traité mais qui évoque assez justement les liens familiaux avec toutes les contradictions qui animent chaque famille. Un roman qui touche, qui est percutant et finalement, surprenant.

Ludovic Debeurme est un auteur, dont l'univers est à découvrir sans aucun doute!

Merci à Babelio et Alma Editeur pour cette lecture!
Lien : http://lalydo.com/2014/03/oc..
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Trois fils, tome 1

Grand habitué des Editions Cornélius, Ludovic Debeurme récidive cette fois avec une histoire en trois tomes. Ce récit aux allures de conte narre la rancune de trois fils qui cherchent à se débarrasser de leur père. Pour arriver à leur fin, les trois adolescents aux airs étranges (Bird, aux yeux noirs, Twombly, aux longs bâtons de bois lui servant de bras et Horn, au visage recouvert de poils) enchaînent leur père sur une île déserte.



Au fil des pages, le lecteur va découvrir ce qui les poussent à vouloir se libérer à tout prix de leur géniteur. Pour l’occasion, Ludovic Debeurme délaisse son trait noir et blanc épuré pour baigner ce récit délicieusement sombre dans une avalanche de couleurs chatoyantes. Délaissant sa technique habituelle au profit de planches réalisées à la gouache et réduisant comme d’habitude le texte au minimum, Debeurme parvient de nouveau à installer une ambiance étrangement onirique dont il a le secret. Si le plaisir de perdre ses repères est à nouveau au rendez-vous, le rêve est malheureusement interrompu par ce découpage en trois tomes finalement assez regrettable. L’abandon abrupte de ce voyage plein de promesses vengeresses résulte donc en beaucoup de frustration… sans parler de ce supplément de seize pages que j’ai loupé étant donné qu’il est uniquement réservé aux lecteurs achetant l’ouvrage dans une librairie membre du réseau Canal BD.



À défaut de pouvoir apprécier l’ensemble de la nouvelle œuvre de cet auteur dont je suis grand fan, je me contenterai donc de cette première tranche servie sous cellophane, qui met en appétit, mais ne coupe absolument pas la faim.
Lien : http://brusselsboy.wordpress..
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Trois fils, tome 1

Pour le besoin de ce nouvel album, découpé en trois tomes, Ludovic Debeurme a délaissé sa manière habituelle de dessiner. D’un trait minutieux quasiment inexpressif, symptôme de l’art le plus académique et dénué de risque, Debeurme est passé à une composition plus géométrique et des perspectives mouvementées.



Il applique en outre par dessus son dessin des couleurs acidulées, à l’instar de Joan Cornella, jeune prodige de l’humour noir en quadrichromie qui nous venge de la société et du socialisme (Cornella à lire pour ne pas mourir cocu).



Je dois avouer que j’ai d’abord pris cette BD de L. Debeurme pour un album de Joan Cornella, sans quoi je ne l’aurais peut-être pas ouvert; cette façon artistique d’embrasser la mort sur la bouche (Salvador Dali) a en effet sur moi un pouvoir de fascination plus faible que le macramé ou le tricot. Nécrophiles, tricoteuses, ne venez pas me parler de cadavres exquis !



Il me paraît donc que L. Debeurme a trouvé une raison de vivre, et qu’elle se traduit dans son art.



Ce préambule a pu vous paraître un peu long ; mais comment parler autrement de ce conte de Debeurme, qui nous narre le complot de trois fils, dirigé contre leur père ? Cette intrigue semble bien fabriquée dans la matière des rêves, dont Shakespeare dit que nos petites vies sont faites – chair rose ou ombre glauque suivant l’humeur ou le métabolisme de chacun – plutôt qu’il ne serait du genre des contes mythologiques, visant la connaissance des forces cosmiques, par-delà le langage humain.



Je suis contraint de parler au conditionnel pour parler de "Trois Fils", et de me joindre à ceux qui se plaignent du procédé commercial qui consiste à saucissonner les albums et faire paraître, en l’occurrence, un conte en plusieurs tomes. Quel peut bien être l’usage pour un enfant d’un demi-conte, si ce n’est de provoquer son assoupissement ? Ou même, sur le plan thérapeutique, quel sera l’usage pour un psychiatre du récit d’un demi-rêve ?



La remarque s’impose ici que le métier de l’édition ressemble de plus en plus à celui de la charcuterie. Cela se voit aussi au soin particulier apporté à l’emballage des bouquins. C’est même une pratique de plus en plus courante de les vendre… sous cellophane ! Par où l’éditeur semble dire :



- Non, vous ne humerez pas ce livre avant de l’avoir acheté !



Alors, mettez-vous à ma place, ce d’autant plus qu’il y a de très bons charcutiers dans mon quartier : je ne sais plus trop quel investissement conseiller, d’un demi-conte ou d’un demi-pâté.



C’est d’autant plus regrettable que le désir de ces trois fils d’assassiner leur père est rempli de la promesse d'une naissance. «Tuer le père», au sens propre ou bien figuré, n’est-il pas la condition nécessaire pour exister par soi-même ? Les Français le savent bien, eux qui n’hésitent pas à appliquer au père de la nation, quelle que soit son orientation politique, cette exécution rituelle, seul véritable instrument de la démocratie (pour l’instant).



(Je rectifierai mon commentaire s’il le faut quand l’éditeur (Cornélius) aura mis un terme au suspens idiot qui plane toujours sur les œuvres de fiction infantilisantes, et l'auteur accouché de deux tomes supplémentaires.)
Lien : http://fanzine.hautetfort.co..
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Lucille

Cette bande dessinée est un peu atypique, il y a très peu de dialogue et beaucoup de pages. L'histoire alterne d'abord entre les présentations de Lucille une jeune fille anorexique de 16 ans et Arthur un jeune garcon un peu rebelle qui perd son pere et se voit renommé Vladimir comme le veut la tradition de sa famille.

Les deux protagonistes se rencontrent et vont vivre des aventures ensemble et surtout découvrir la vie. Je n'en dis pas plus pour ne pas dévoiler toute l'histoire mais en arrivant au bout de l'ouvrage (avec une grande avidité!) je me suis apercue qu'il y avait une suite. Vite il faut la lire pour connaitre la suite...
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Lucille, tome 2 : Renée

Ludovic Debeurme met en scène plusieurs personnages en quête d’amour, et qui ne le trouvent pas.



Lucille, elle, semble avoir tourné la page de l’anorexie, mais ne trouve pas le réconfort quelle attend lors de ses visites pénitentiaires à Arthur. Elle se demande toujours où est son père, qui l’a abandonnée avec sa mère quand elle avait 11 ans.

Arthur, enfermé pour meurtre, se laisse bouffer par la haine et la violence de la prison, et ne supporte pas la présence de son co-détenu, Denis, soupçonné de pédophilie.

Renée aime un musicien de jazz, marié, et ne fait que souffrir. Cette relation est vouée à l'échec, pourtant elle s'y accroche.
Lien : http://alamagie-des-yeux-dol..
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Lucille

[...]Lucille est un album dont, au premier abord, on ne sait pas quoi penser. Il est obsédant, on n’en sort pas. On y repense. Les personnages ne laissent pas réellement l’esprit en paix, c’est un album qui touche, qui remue le lecteur. La marque des chefs-d’œuvre, probablement.[...]
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Lucille, tome 2 : Renée

Tout comme pour Lucille, j'ai eu du mal avec les illustrations. Je les trouve moches (désolée, mais il y a des dessins vraiment hideux). C'est certes la volonté de l'auteur qui exprime le dégoût du personnage, mais il n'empêche que je n'aime pas particulièrement son coup de crayon .

Au début, je n'ai rien compris à l'histoire. Il y a très peu de texte, on ne sait pas qui sont les personnages et l'auteur développe tout un monde onirique, un peu fantastique qui représente l'inconscient ou les pensées des personnages. Une fois qu'on a compris le principe, tout s'éclaire et au fur et à mesure qu'on avance dans l'histoire, tout prend son sens.

Et finalement, malgré mes préjugés de départ, j'ai énormément aimé cette lecture !

Il se dégage une force incroyable dans certaines scènes. Une violence inouïe aussi.

Les thèmes abordés sont très durs, notamment l'enfermement, le confinement et la promiscuité de la prison qui rendent fou. Mais je préfère ne pas trop en dire sur les thèmes...Les personnages sont toujours aussi profonds et bouleversants.



Un album vraiment très réussi, qui plaira assurément à ceux qui ont aimé le tome 1.
Lien : http://lesgridouillis.over-b..
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Le Lac aux Vélies : Un conte musical mis en i..

Bienvenue dans l’univers de Klokochazia !



A la base il y a ce monde imaginaire de Klokochazia et ces chants composés par Labyala Nosfell et Pierre Le Bourgeois dans une langue inventée. Au final, il y a la mise en images de cet univers par Ludovic Debeurme et un conte musical bilingue français-klokobetz.



Ce livre-disque nous emmène à la découverte de cet univers singulier, peuplé d’êtres étranges. C’est en emboîtant les pas de l’un d’eux que le lecteur découvre l’incroyable monde de Klokochazia. Après sa naissance dans le gouffre lugubre du tronc de l’arbre Sladinji, Grünel, l’enfant de l’arbre et des larmes, part à la recherche de la fleur de Jaün afin de conquérir le cœur de la douce Milenaz. Une quête qui va le mener sur les berges d’un lac gardé par les Vélies, afin de percer les secrets de l’amour.



Créateur d’univers étranges et envoûtants, Ludovic Debeurme est l’artiste rêvé pour mettre le monde de Klokochazia en images. L’auteur de « Lucille » et du « Le grand Autre » livre à nouveau des créatures dérangeantes et un mélange habile de rêve, étrangeté, folie, poésie et crudité. Faisant office de gravures baroques, ses planches précises et détaillées se mettent entièrement au diapason de l’univers imaginé par Nosfell.



A travers ce mélange de musique, littérature et bande dessinée, les auteurs offrent un conte envoûtant et une réflexion onirique sur la convoitise, la vanité et l’amour. Et comme d’habitude, l’objet proposé par Futuropolis est de toute beauté, soigné jusque dans les moindres détails. Papier de qualité, calligraphie splendide, annexes soignées qui lèvent le voile sur quelques grands mythes de Klokochazia et un supplément musical qui donne une dimension supplémentaire à l’immersion du lecteur au sein de ce monde enchanteur, cruel et terrifiant à la fois.



Audacieux !
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Le Grand Autre

Louis a les yeux dirigés vers l’intérieur et ne voit pas le monde extérieur de la même manière que les autres. Ce lourd fardeau qui le baigne dans le pessimisme et la noirceur le pousse à fuir les humains et l’humiliation qu’ils lui réservent. Pourtant, au milieu de la médiocrité environnante, semble surgir une fille qui ne le laisse pas indifférent. A l’inverse des autres personnes de son âge, Célia ne craint pas d’approcher Louis et décide même de suivre la direction empruntée par cet être extraordinaire aux prothèses oculaires. Un choix qui va l’emmener sur une voie riche en dangers et rencontres étonnantes.



Avec Le grand Autre, l’auteur de Lucille (récipiendaire du Prix René Goscinny et récompensé au Festival d’Angoulême 2007), livre encore une bien belle brique qui se concentre à nouveau sur la fuite de deux adolescents de sexe opposé en butte aux problèmes qu’ils rencontrent dans le monde réel. Dans ce nouveau chef-d’œuvre intimiste, Ludovic Debeurme invite donc le lecteur à observer le quotidien de deux jeunes gens en pleine dérive psychologique. Louis, un adolescent aux nombreuses phobies et mal dans sa peau qui voit les choses telles qu’elles sont depuis qu’il a échangé ses yeux avec une créature maritime. Celia, une gothique du même âge qui est la seule à oser l’approcher. Deux protagonistes qui se cherchent et qui vont se trouver à l’occasion d’une tentative commune de fuir la réalité. Peuplé de créatures étranges, l’univers déployé par Ludovic Debeurme est dérangeant et mêle habilement rêve et réalité, poésie et crudité.



Comme dans Lucille, où il abordait des thèmes délicats tels que l’anorexie, le suicide et les relations parents-enfants en évitant de tomber dans le piège du pathos, Ludovic Debeurme parvient de nouveau à traiter avec justesse des sujets difficiles en parlant des malaises et démons propres à la période de l’adolescence. En refusant de prendre position et en installant le lecteur dans un rôle d’observateur, il le laisse s’attacher aux deux personnages principaux tout en le laissant se faire sa propre opinion.



En s’octroyant une pagination ample, Ludovic Debeurme se donne la place et le temps nécessaires pour présenter ses acteurs et exposer leur histoire en douceur. Une liberté d’expression qui se retrouve également dans l’absence de cases et qui permet aux protagonistes de circuler et de s’exprimer sur la totalité de l’espace disponible de chaque page. Un graphisme minimaliste et une économie de moyens permettent de pointer l’essentiel, tout en offrant une grande lisibilité et une lecture plus rapide que ne le laissait penser la prise en main du livre. Le dessin, minutieux et intemporel, invite à pénétrer dans un univers imagé : le monde d’un jeune homme qui n’a pas encore trouvé sa voie dans la vie.



« Grand » dans le format et « Autre » dans le contenu, ce ‘petit’ chef-d’œuvre édité par Cornélius et dont le début peut s’avérer difficile d’accès, saura absorber et passionner ceux qui s’y risqueront.
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Lucille

Lucille est une adolescente anorexique, elle vit seule avec sa mère avec qui elle a une relation un peu compliquée. De son côté, Arthur, fils de marin, a aussi une vie de famille tourmentée, son père est alcoolique.La rencontre de Lucille et Arthur est un vrai coup de foudre. Ils ont fuguer ensemble pour échapper à leur quotidien sordide...



L'auteur évoque très bien les troubles de l'adolescence et l'anorexie. Les personnages sont très profonds et malgré leur jeune âge, ils traînent derrière eux de lourdes casseroles. La découverte de l'amour permet à Lucille de voir son corps autrement et de commencer à reprendre goût à la vie.



Au premier abord, je n'ai pas apprécié les illustrations, mais je suis rentrée dans l'histoire très vite et j'ai finalement beaucoup aimé le côté minimaliste et le fait qu'il n'y ait pas de "cases". Assez peu de texte aussi, mais les dessins sont très parlants.



L'histoire est assez longue pour qu'on s'attache vraiment aux personnages et en plus, il y a un tome 2 prévu pour 2010, je ne sais pas s'il est déjà sorti...en tout cas il est déjà dans ma liste de prochaines lectures.
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Lucille

J'aime énormément le dessin épuré et ce parcours chaotique qu'empruntent Lucille et Arthur. C'est l'évocation de l'anorexie, du poids que les parents font porter (consciemment ou non) sur les épaules de leur progéniture.

Le dessin retranscrit la fragilité de ces adolescents et je n'ai pas vu défiler les pages.
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Epiphania, tome 3

Bd/roman graphique en 3 tomes qui traite de sujets universelles au travers de la création d’une nouvelle espèce, sorte de fusion entre l’animal et l’humain.



Pourquoi a t-elle jaillit de la Terre ? Est-ce la fin de l’humain (destructeur) ? L’harmonie est-elle possible ? 👁



🌱Les thèmes traités concerne : l’écologie, le racisme, l’identité, la parentalité, et surtout des question de pouvoir sur les espèces.



🌱L’auteur nous illustre et partage cette histoire avec un style de dessin au première abord, assez « psychédélique » mais avec des couleurs pastels qui contrastent avec la dureté des sujets.



🌿J’ai beaucoup aimé lire cette curieuse BD, découvrir les différentes fusions, cette oeuvre respire d’intelligence. J’adorerais la relire et peut-être y voir de nouvelles choses.
Lien : https://www.instagram.com/kh..
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Epiphania, tome 2

Bd/roman graphique en 3 tomes qui traite de sujets universelles au travers de la création d’une nouvelle espèce, sorte de fusion entre l’animal et l’humain.



Pourquoi a t-elle jaillit de la Terre ? Est-ce la fin de l’humain (destructeur) ? L’harmonie est-elle possible ? 👁



🌱Les thèmes traités concerne : l’écologie, le racisme, l’identité, la parentalité, et surtout des question de pouvoir sur les espèces.



🌱L’auteur nous illustre et partage cette histoire avec un style de dessin au première abord, assez « psychédélique » mais avec des couleurs pastels qui contrastent avec la dureté des sujets.



🌿J’ai beaucoup aimé lire cette curieuse BD, découvrir les différentes fusions, cette oeuvre respire d’intelligence. J’adorerais la relire et peut-être y voir de nouvelles choses.
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Epiphania, tome 1

Bd/roman graphique en 3 tomes qui traite de sujets universelles au travers de la création d’une nouvelle espèce, sorte de fusion entre l’animal et l’humain.



Pourquoi a t-elle jaillit de la Terre ? Est-ce la fin de l’humain (destructeur) ? L’harmonie est-elle possible ? 👁



🌱Les thèmes traités concerne : l’écologie, le racisme, l’identité, la parentalité, et surtout des question de pouvoir sur les espèces.



🌱L’auteur nous illustre et partage cette histoire avec un style de dessin au première abord, assez « psychédélique » mais avec des couleurs pastels qui contrastent avec la dureté des sujets.



🌿J’ai beaucoup aimé lire cette curieuse BD, découvrir les différentes fusions, cette oeuvre respire d’intelligence. J’adorerais la relire et peut-être y voir de nouvelles choses.
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Epiphania, tome 1

Epiphania est une BD poussive au rythme lent, sans doute voulu par l'auteur. Cependant, la qualité graphique ne retient pas non plus le lecteur. Le choix d'un dessin simple et frontal doit sans doute provoquer un effet, mais difficile d'y trouver autre chose que de l'ennui. Les choix de cadrage, d'angle de vue et des couleurs m'a laissé un sentiment d'inachevé. Point positif, la lecture est simple... mais comme le scénario l'est tout autant, c'est un album qui est loin de m'avoir emporté.
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Epiphania, tome 3

Cette conclusion permet de jeter un regard plus nuancé sur l'ensemble des trois volumes, une série SF très profonde et passionnante dans ses interrogations sur notre devenir et sur les véritables enjeux qui se dessinent pour l'humanité !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Epiphania, tome 3

Cette série s'achève sur ce tome 3 - j'ignorais que ce devait être une trilogie, et l'histoire qui s'emballait me donnait l'impression qu'on partait sur une série plus longue.

L'auteur au contraire désamorce une situation pour le moins explosive, nous privant d'une bataille épique au profit d'une leçon de tolérance et de philosophie que j'ai trouvé non seulement très appréciable, mais également fort intelligente.

Cette série assez hors norme m'aura vraiment beaucoup plu jusqu'à la fin, ça a été une très belle découverte !
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Epiphania, tome 1

Science fiction ou fantastique ou les deux à la fois, ce récit déroutant, dérangeant évoque des problèmes de fond: la paternité, la famille, le respect de l'autre avec ses différences, la gestion politique d'un phénomène inexpliqué,....Séduite par le thème et le style de dessin même si l'entrée en matière de l'histoire ne me parait pas forcément des plus intéressante, j'avoue avoir du mal à dire si j'ai aimé ou pas. Mais cette histoire pose de bonnes questions.
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Epiphania, tome 3

Ils sont apparus dans le sol, quand les eaux se sont retirées. Enfoncés dans la surface comme des bulbes de plantes, ils sont sortis de terre et les humains ont fini par les en extirper. Qui ? Les épihanians qui donnent le titre à cette extraordinaire série, aussi étrange que stimulante. Un projet dont le troisième et dernier volet vient confirmer la fabuleuse vitalité.
Lien : https://www.actualitte.com/a..
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