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Critiques de Nicolas Ancion (412)
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La cave

Un très bon livre que j'ai lu 3 fois ! J'adore les différents points de vu des personnages et la plume est vraiment écrite selon le caractère des personnages. On voit la sensibilité de Summer (Lila) et on ressent bien ses sentiments pour son copain. Trèfle lui est vraiment un personnage intéressant surtout pour les intéressés de la psychologie ! (Alerte spoil je suppose ?) Et on voit bien que les autres fleurs sont habituées à Trèfle et dépendantes de lui, je recommande ce livre !
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La cave

C'est un roman "young adult". .

🌼

Point positif : ça se lit très vite.

🌼

.

Points négatifs :

🍃 @authornatashapreston veut ménager le jeune public. Elle distille un climat de terreur par petites touches. C'est suggéré et on trouve donc peu de détails dans les descriptions.

🍃 Certains points manquent de profondeur :

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🏵 La relation entre certains personnages n'est pas assez développée. Et on aborde peu le syndrome de Stockholm. Dommage...

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🏵 On ne comprend pas la fascination du kidnappeur pour les fleurs... .

🍃 L'histoire d'amour entre les 2 ados assez lourde

🍃 Les passages répétitifs .

🍃 La fin trop simpliste

🥀

Pourtant la partie séquestration (incarcération, viol, manipulation) montre beaucoup de potentiel.
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Coup de foudre

Voici un petit roman qui ne peut que ravir les jeunes lecteurs ! Comme tous les jeunes de son âge, Léo est accro à son portable, aux jeux vidéo, à la musique, mais il est aussi très tenté par les sodas et les sucreries. Comme il souffre d'embonpoint, son médecin de famille, le docteur Soquette, lui préconise la marche et le footing. Léo ne voit pas ce conseil d'un très bon oeil, mais il se plie aux recommandations. Poursuivi par un chien menaçant, le joggeur est soudain touché par la foudre. En reprenant ses esprits, il se rend compte qu'il a basculé dans une autre époque : le voilà au moyen-âge ! Ce court roman me semble taillé sur mesure pour des jeunes de 10-11 ans. Il saura même plaire aux jeunes les moins à l'aise avec la lecture car le style est fluide. L'écriture de Nicolas Ancion est agréable, assez percutante pour les ados et elle ne présente pas d'aspérité particulière. Les chapitres sont concis et on s'identifie très facilement au personnage principal. Voilà une lecture printanière fort agréable à proposer aux collégiens de 6ème sans la moindre hésitation !
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La cave

Je vais jouer cartes sur table tout de suite avec vous, la lecture de ce livre a été un fail total pour moi et je vais vous expliquer pourquoi. Déjà, l’enlèvement de Summer arrive au début du roman et l’action est vite expédiée. Trop vite peut être ? Je n’ai pas eu le temps d’apprendre à la connaître, de m’attacher à elle avant qu’elle se retrouve dans la cave.

Pour moi, cette histoire manquait complètement de crédibilité et surtout d’intérêt. On passe plus de temps à suivre les filles qui font la popote ou le ménage que de suivre les vraies scènes clés de l’histoire, que bien souvent l’autrice expédie à coup d’ellipse temporelle. L’écriture était très jeunesse, bien que certaines scènes me laisse perplexe sur le public visé …

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Je m’attendais à une lecture coup de poing, j’ai eu le droit à une lecture coup de mou. Je n’ai ressenti aucune émotion, aucune empathie, alors qu’avec de tels sujets c’était le minimum que j’attendais. Deuxième livre que je lis de cette autrice et ce sera le dernier, on va arrêter les déceptions ici.
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WWW

À la recherche d'un recueil de nouvelles actuelles pour les jeunes à partir de 14 ans ?

Avez-vous déjà pensé à la collection Double jeu des éditions Ker ?



Voilà un troisième recueil que j'ai découvert avec plaisir.



WWW est un ensemble de récits ayant un thème commun, celui du piratage, des pannes informatiques mais pas seulement. Ce recueil balaie plusieurs époques, allant du début du 20° siècle à un futur difficile à dater précisément.



J'ai particulièrement apprécié la délicatesse du sujet et le choix des mots de Barbara Abel dans « À quoi bon ? », la puissance du texte de Nicolas Ancion « Haïkus » et le côté incongru de la nouvelle d'Armel Job « La demoiselle du téléphone ».



D'autres nouvelles m'ont fait un peu penser à la série « Last of us », avec un décor post-apocalyptique. de quoi demain sera-t-il fait ?





Sur @les_cours_du_lapin_blanc , j'ai déjà évoqué un autre recueil qui a pour titre «#Balancetavie ». Il reprend plusieurs nouvelles en rapport avec la technologie surdéveloppée et ses dérives. Ce livre est plus abordable que WWW car les jeunes se sentiront davantage concernés par les sujets abordés. Personnellement, j'ai adoré la nouvelle « Le système Ledur » pour son réalisme et surtout sa chute. « Une simple erreur » de Vincent Engel nous rappelle que personne n'est à l'abri d'un malentendu… Savoureux bien que tragique !



Je vous souhaite un bon voyage au centre de ces pages belges.


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Nous sommes tous des playmobiles

Nous sommes tous des playmobiles est le premier livre de Nicolas Ancion que j’ai lu, et peut être il ne sera pas le dernier. Avec une humeur très particulière, bien qu’il s’agisse de petits récits, les dix histoires narrées à la première personne nous permettent de connaitre en profondeur les vulnérabilités des personnages dont la personnalité et les pensées ne sont pas du tout typiques, et il n’est parfois facile de les apprécier.

Le fait que, parfois, deux vies se mélangent en parallèle et finissent par converger à un moment donné rend le récit plus intéressant et plus complexe.

De plus, en tant qu'apprenant de français, j'ai été surpris par la manière simple mais efficace et directe de communiquer, de sorte que j'ai pu comprendre la plupart des situations, sauf quand il s'agissait de blagues liées à la culture ou au contexte social belge, quelque chose que, étant étrangère, je ne peux pas toujours comprendre.

J'ai également trouvé très attrayante la participation de la ville de Bruxelles comme cadre des histoires, car c'est l'endroit où je vis depuis 4 ans et j'ai apprécié de pouvoir la voir à travers les yeux d'une personne locale grâce au livre, j'ai donc appris des aspects de la culture belge que je ne connaissais pas et qui sont très intéressants pour moi.

Comme point négatif, je voudrais commenter le manque de personnages principaux féminins, et le rôle que les femmes ont tendance à adopter dans la plupart des histoires comme porteuses de problèmes, comme responsables du malheur des hommes, suivant certains stéréotypes et préjugés de genre.

Comme histoires à souligner, je choisirais l'insurrection bruxelloise pour son originalité et pour être folle et drôle, ainsi que George et le dragon pour le ton plus sentimental et profond, qui me touche particulièrement en parlant de la relation de certains expatriés et de leur enracinement aux croyances de leur lieu d'origine transmises de père en fils, et enfin, la curieuse école des assassins et la fin avec ce tournant inespéré, car c'est une histoire totalement immorale et choquante qui finit par être intéressante.



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La cave

C’est le titre et l’intrigue qui ont éveillés ma curiosité malgré le fait que ce roman soit classé dans la catégorie YOUNG ADULTS et que j’ai beaucoup, beaucoup de mal avec ce type d’œuvre littéraire…



J’ai lu ce livre en MARS 2022 mais la première chose dont je me souviens est la narration à la première personne. Il est certain que l’auteure voulait que l’on comprenne, ressente et visualise ce qu’une personne séquestrée peut subir psychologiquement. Malheureusement, j’ai trouvé cela un peu ennuyant. Apathique. Un peu trop gentillet à mon goût.



Je m’attendais à bien plus. Certes, j’ai ressenti un malaise et une légère oppression face à la situation mais j’ai trouvé le schéma psychologique et le décor beaucoup trop simplistes. Qui plus est, il ne se passe pas grand-chose. Beaucoup de scènes répétitives.

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50 Micronouvelles

On va s'essayer à la micro critique :



Enchanté par l'idée.

Déçu par la forme.

Frustré par le contenu.



... Bon en fait c'est pas si facile.

Néanmoins, j'ai plus eu l'impression d'avoir eu des petits fours par auteurs (sans oublier la présentation de son livre avant histoire de faire un petit coup de comm). Rien de bien rassasiant, ni même appétissant par moment.

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L'heure du leurre

Voici un recueil de textes qui m'a vraiment plu, un vrai moment de bonheur en lecture !



"L'heure du leurre" est un recueil de textes majoritairement écrits par des auteurs belges, textes que certains qualifieraient de nouvelles, mais, pour moi, c'est autre chose. Ce sont des témoignages, des faits de vie, des moments de réflexion, des faits d'actualité décortiqués, des histoires qui nous plongent dans le monde des hommes ! Une interrogation sur la démocratie aussi, sur la peur du nucléaire.



Et puis, voilà la Belgique amputée du tiers de son territoire à cause de la montée des eaux. Bien sûr, les premiers touchés sont les Flamands, obligés de trouver refuge en Wallonie.



Les héros sont des hommes politiques (attirés par les étoiles de l'argent, tiens donc), des étrangers, des immigrés, des gens différents, de religions ou de langues différentes,...



Des auteurs belges en majorité, vous disais-je. Ajoutons à Barbara Abel, Armel Job, Frank Andriat, Nicolas Ancion, Vincent Engel, Bernard Tirtiaux ou autres auteurs moins connus de notre plat pays le témoignage de Jang Jin-Sung (ancien fonctionnaire nord-coréen qui nous livre un témoignage accablant sur son pays) et le texte de la nouvelliste Emmanuelle Urien qui traite du racisme pur et dur dans un lycée.



La question du choix se retrouve dans plusieurs récits : choix faciles, raisonnements simplistes, lâcheté, déresponsabilisation, soumission au plus fort...



L'ensemble est tout à fait homogène, facile à lire, intéressant.



A lire même par ceux qui n'aiment pas trop les nouvelles.



Ce livre cible les 14/18 ans, les lycéens et collégiens qui cherchent à aborder, par le biais de la fiction, des thématiques d'actualité. Pour moi, il convient tout autant aux adultes qui trouveront là, peut-être, des réponses à certaines questions.




Lien : http://phildes.canalblog.com..
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En mille morceaux

En mille morceaux est une histoire qui raconte la vie d’adolescents, soirées, drogue, alcool et puis la mort de Jessica.

Mon fils a dû lire ce livre pour l’école, du coup ça m’a donné envie de le lire également.

Le livre est écrit sous forme de journal intime et on découvre petit à petit l’histoire de chaqu’un, avant et après la mort de Jessica.



Un petit livre qui se lit facilement, mais je ne peux pas vraiment dire si j’ai aimé lire cette histoire. J’ai un peu eu du mal avec certaines incohérence. En revanche, j’ai aimé m’immerger dans les histoires d’ados, cela m’a rendu nostalgique de ma propre adolescence et puis mélangé d’une peur de ce qui pourrait m’attendre en tant que parent…



En conclusion, un livre que j’ai facilement lu mais qui est plus ciblé pour les jeunes adolescents.

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La cave

2019. La cave attendait dans ma bibliothèque depuis cette année où, Natasha Preston devait être présente à la RARE de PARIS. Elle n'est finalement pas venue mais j'avais déjà acheté son bouquin et aujourd'hui je me suis dit, tiens il me fait envie.



C'est un roman hautement addictif que j'ai dévoré en quelques heures. Son originalité (ou pas) réside dans le fait qu'il donne le point du vue de Summer, enfermée dans une cave, mais aussi de Lewis, son petit ami, ce qui permet de voir les impacts de la disparition sur l'entourage, et enfin de Trèfle, le ravisseur. Si j'ai apprécié les quelques chapitres de Trèfle, qui nous permettent de voir l'étendue de sa folie, j'aurais préféré que son passé soit un peu plus creusé.



Quatre jeunes-femmes sont enfermées dans la cave de Trèfle, et elles portent toutes des noms de fleur. Elles ne sont pas toutes arrivées en même temps dans cette cave aménagée, ni de la même manière. Summer diffère des autres filles car elle est plus jeune et elle a une famille là où ses compagnes étaient à la rue. Il est intéressant de voir le comportement des prisonnières en fonction de la durée de leur séjour; comme le fait remarquer Summer, les plus anciennes semblent avoir subi un lavage de cerveau. Il est intéressant de voir la propre évolution de l'adolescente qui, même si elle ne perd jamais espoir de sortir et de retrouver sa famille, se voit moins catégorique sur certaines choses, essaie de composer comme elle peut dans l'horreur pour sauver sa vie. C'est un récit extrêmement dur, dans lequel des femmes sont confrontées à une privation totale de liberté, sont violentées et contraintes de voir les autres souffrir sans pouvoir réagir. Ce qui est rassurant, c'est de voir que Summer, même après plusieurs mois, n'arrive toujours pas à accepter ce que les autres sont venues à trouver presque normal. Ce qui est intéressant, c'est de voir que Trèfle est un homme bien sous tous rapports vu de l'extérieur, que personne ne pourrait soupçonner.



Les chapitres de Lewis nous permettent de voir les dommages collatéraux engendrés par l'enlèvement de Summer. Sa famille, ainsi que son petit ami, ont mis leur vie en suspens dans l'espoir de la retrouver. Nous avons droit à quelques retours en arrière sur des moments "clés" de la relation de Summer et Lewis, qui ne font que confirmer l'amour qu'ils se portent l'un/l'autre.



Dans La cave, nous pouvons voir l'ascendant psychologique que Trèfle a sur ses victimes, ces filles qu'il appelle sa famille et qu'il croit avoir sauvées. Elles sont sa famille mais pourtant, elles sont remplaçables. Ainsi, si elles cherchent à se rebeller ou ne rentrent pas dans "le moule" qu'il a prévu, elles savent ce qui les attendent. Cela explique la passivité des filles; en plus du choc traumatique de leur nouvelle vie, elles doivent gérer la personnalité instable de leur geôlier.



J'ai aimé la fin aussi, lorsque celles qui s'en sortent se trouvent bloquées entre deux vies, la fleur qu'elles ont été et la fille d'avant. Le fait qu'avoir vécu l'horreur fait paraitre moins important certaines choses.



Natasha Preston nous livre un récit addictif, prenant sous couvert de sensationnalisme. Certaines choses sont un peu tirées par les cheveux. Sans doute. Mais la psychologie des personnages est drôlement bien travaillée.
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Nous sommes tous des playmobiles

Suite à une liste Babelio sur les auteurs belges, j'ai découvert ce recueil de nouvelles de Nicolas Ancion.

J'ai énormément aimé la tendresse que l'auteur a pour ses personnages. Qu'ils agissent en accord ou contre la morale, ils sont tous attachants.

Mes nouvelles préférées sont "Moi, je dis qu'il y a une justice" et "La tache de sauce". Mais toutes ont quelque chose d'émouvant.

Il y a aussi un côté loufoque qui relève très agréablement l'ensemble.
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Positive

Extrait de chronique disponible sur le compte Instagram @capharnaum_livresque (https://www.instagram.com/p/CSr4R1QKIX9/)



⭐️⭐️⭐️⭐️/5. (...) Si j’ai mis un peu de temps à m’habituer au style de l’autrice avec lequel je n’ai pas particulièrement accroché, j’ai quand même adoré ma lecture ! Ce roman me tentait énormément pour le sujet principal qu’il aborde, c’est-à-dire la séropositivité et le VIH. Il y a beaucoup d’informations sur cette thématique et j’ai appris de nombreuses choses que j’ignorais, et ce dès le début du roman avec la visite de Simone chez la gynécologue. Cet ouvrage déconstruit les idées préconçues sur cette maladie et explique, à travers le personnage de Simone, que tout le monde a droit à l’amour. Il est question de sexe, évidemment, et plus particulièrement de comment faire l’amour avec le VIH et de quelle façon protéger les autres.

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Cependant, ce roman n’évoque pas seulement la maladie de Simone, c’est bien plus que cela. Il parle du premier amour, d’amitié, de la communauté LGBTQ+ et des conséquences du SIDA sur cette population, d’homoparentalité via les papas de Simone absolument adorables, de racisme, d’orientation sexuelle, de découverte de soi et de son identité à l’adolescence… Il n’y a aucun tabou dans ce roman et cela apporte un vrai vent de fraîcheur. On parle aussi de plaisir féminin et de masturbation avec une scène assez épique dans un sex-shop. Tout est fait avec justesse, bienveillance et c’est un livre rempli de diversité.

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Ce roman se concentre également sur l’une de plus grandes passions de Simone : les comédies musicales. Si je n’avais pas l’intégralité les références pour tout comprendre (ce qui était frustrant parfois), j’ai vraiment apprécié cette ambiance d’arts dramatiques et la façon dont cela rapproche Miles et Simone. De plus, j’ai trouvé Monsieur Palumbo absolument adorable. C’est un professeur très enthousiaste, de ceux qu’on rêve tous de côtoyer tant il est gentil et encourageant envers Simone.

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De plus, j’ai beaucoup aimé la relation qu’entretient Simone avec ses pères. Ils sont très ouverts et parlent de tout sans non dits avec elle. J’ai apprécié leurs interactions qui m’ont fait sourire à de nombreuses reprises. De plus, le couple que forment les pères de Simone est vraiment mignon. Par contre, je ne me suis pas spécialement attachée à Simone…

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Concernant les autres personnages, j’ai eu du mal à différencier Lydia et Claudia, les deux meilleures amies de Simone. Je m’embrouillais dans leur personnalité, leurs prénoms et même parfois, dans les dialogues, je ne comprenais pas vraiment qui parlait. Tout n’était pas forcément clair, ce qui m’a occasionnellement perdue et c’est dommage. Par contre, même si je trouve que la relation de Miles et Simone se construit rapidement, je l’ai beaucoup appréciée. Miles est un personnage super mignon, très compréhensif et gentil.

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Finalement, même si au début j’ai eu du mal à rentrer dans cette histoire (notamment à cause de la plume/traduction que je trouvais étrange parfois), j’ai ensuite eu du mal à lâcher le roman. Ce n’est pas forcément très addictif (même si on cherche à connaître l’identité du maître chanteur de Simone ce qui contribue à l’envie de tourner vite les pages) mais c’est une lecture fluide qui se lit vraiment bien. J’ai donc lu d’affilée plus de la moitié du livre (ne respectant absolument pas le découpage de la LC oupsi) pour le finir à 1h du matin. Cela prouve bien que j’ai apprécié ma lecture !

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Par contre, et c’est une des raisons qui fait que ce n’est pas un coup de cœur (mais quand même une très chouette lecture), j’ai trouvé que ce roman manquait un peu d’émotions. J’aurais aimé être plus touchée et investie dans ma lecture, avoir le cœur serré par moments et des papillons à d’autres, ce qui n’a malheureusement pas été le cas. En fait, pour moi, ce livre est plus factuel avec beaucoup d’informations sur le VIH (ce qui est génial) et moins dans l’émotion. J’aurais aimé un meilleur mélange entre informations et émotions.

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En bref, un roman génial que je vous recommande pour ses sujets forts et bien traités, même si j’aurais aimé ressentir plus d’émotions durant ma lecture. (...)
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Maudit Cupidon, tome 1

A l’égard de ce livre j’ai eu deux réactions. D’une partir l’idée du livre était réellement intéressante et avais énormément de potentiel. Cependant l’histoire a mal était construite. Déjà on se projette directement dans l’histoire sans chapitre introductif ce qui m’a beaucoup surpris… De plus l’histoire est mal déroulé et pas asser profonde à mon goût, on ne comprends pas les réels causes et intention des personnages et de l’agence. On ne sais pas non plus l’histoire de la famille et tous cela reste en suspens. Puis pour un livre s’appelant tout de même « maudit cupidon » et étant basé sur l’amour et les âmes sœur il y a paradoxalement…pas beaucoup d’amour. L’amour et l’attirance que ressente les personnages principaux n’est pas asser profond comparé à ce qui l’aurais pu être. De plus l’idée final du triangle amoureux me déplais pas, néanmoins une nouvelle fois cette idée n’est pas asser exploitée. On ne nous raconte pas non plus la vie de Lila qui, étant l’héroïne principal aurait été nécessaire. Il aurait fallut -à mon sens- qu’il y ai des chapitres qui se passe du point de vue de Cupidon ou de Cal surtout dans le tome 1, afin de mieux exploité justement ce triangle amoureux. Pour ce qui ai de mon avis pour les personnages je préfère étonnamment largement Cal. Cupidon qui ai sensé être l’objet de tous les désirs n’est pas asser mystérieux ni charismatique comparé à Cal. Lila n’est juste pas asser intéressante. Pour conclure vous l’aurez compris je suis plutôt déçu de ce livre alors que l’idée de cette histoire est vraiment bien. Pour un youngadult les romances ne sont vraiment pas asser passionnel.
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Écrivain cherche place concierge

Victor est à la recherche d'un emploi dans le domaine de l'écriture. ça urge, il n'a plus le sou et depuis quelques mois, sa propriétaire attend de voir apparaître ses loyers. Bienheureux dans sa paresse, il se résoud quand même à poster une petite annonce "Ecrivain cherche place concierge"'. Alors qu'il n'y croit plus, un certain Régis l'appelle et lui propose un logement au calme dans son chateau de campagne contre homme à tout faire, entre autre, la cuisine.

Croyant rêver d'une si belle opportunité, Victor se laisse conduire vers sa destination en sautant dans le premier bus. Aux portes du chateau, ce n'est pas le richissime Régis qui l'accueille mais Pinot, le lapin blanc, suivi de près par Robert, un énorme ours dont les chaussettes lui tombent sur les pantoufles...

Lapin, ours. Bon ok. Mais quand vous devez affronter les bandes de malfrats que sont les pingouins et les phoques, une seule chose à faire : Sauve qui peut si vous ne voulez pas être canardé !



Les descriptions et l'imagination de l'auteur sont réellement affolantes (la scène du repas de noces est unique en son genre). On a envie de lui dire Stop ! souffle un peu. ça n'arrête pas.



Auteur belge méconnu pour moi jusqu'à aujourd'hui mais qui mériterait une petite place. Je me suis bien amusée. Pour le prochain livre que je lirai de lui, j'espère que, là encore, il aura oublié de prendre son ordonnance. :-)
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La cave

Une histoire d'un kidnapping, d'une histoire d'amour puissante et d'un monstre avec des TOCs.



L'histoire commence très vite, les personnages sont fixés et les actions s'enchaînent. Les chapitres écrits par les différents personnages permettent une bonne liaison entre les différents personnages.



Nous sommes sur un bon livre, mémorable mais il ne va pas vous hanter pendant plusieurs jours.

Très bonne lecture avec une auteur qui m'était inconnue mais qui me semblent devenir une autrice pour qui je n'aurais pas de mal à croire en ses nouveaux livres.

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La cave

La cave, c'est l'endroit où il les a enfermé. Ses fleurs comme il les appelle. Quatre jeunes femmes retenues prisonnières et qui doivent jouer leur rôle au millimètre près.



C'est un roman ado qui prend au tripes. On en ressort pas indemne. Paradoxalement, la dureté du thème et des violences n'empêche pas la fluidité de la lecture. Une fois ouvert, je n'ai pas pu lâcher ce livre. Natasha Preston a une façon de raconter l'indicible qui le rend terriblement réaliste et on espère à chaque page que ces jeunes femmes vont s'en sortir. J'ai suivi avec tristesse le sort de chacune d'entre elle. Et la fin ouverte témoigne de la vie d'après avec beaucoup de bon sens.



Psychologiquement, c'est une lecture difficile. Kidnapping, meurtres, tortures psychologiques, viols... Âmes sensibles s'abstenir.
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Nous sommes tous des playmobiles

Jubilatoire, surprenant, iconoclaste ! Je ne parle pas du playmobile, mais de ce recueil de nouvelles pleines d’humour.



L’auteur belge Nicolas Ancion s’est bien lâché, là ! Moi qui n’aime pas trop les nouvelles, ici je me suis régalée.

Dix nouvelles à chute.

Dix nouvelles se passant à Bruxelles.

Dix nouvelles où j’ai acquiescé face au message de l’auteur. Enfin, pas dans toutes quand même. Celle où ses « héros » torturent un académicien français sous prétexte qu’une institution croulante ne peut gouverner une langue vivante m’a mise mal à l’aise. Et il y en a une aussi où…je n’ai pas du tout compris la fin.



Mais bon. En général il y a beaucoup d’empathie de l’auteur envers ses personnages, il reproduit notre monde, nos croyances, nos pensées les plus folles, aussi. Et c’est ça qui est jouissif : se retrouver dans cet univers tout en contrevenant aux règles les plus élémentaires de la vie en société.



Je ne les raconterai pas, c’est bien trop marrant d’avancer en découvrant peu à peu toutes ces phrases vif-argent menant à un propos dévastateur et bien humain quand même.

J’ai passé un bien agréable moment !

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Positive

Un roman YA utile et nécessaire sur le VIH/sida.



Simone est une jeune fille qui vient de changer de lycée, prend un nouveau départ, se fait de nouvelles amies, et se rapproche du garçon dont elle est amoureuse… Mais elle est séropositive et à très peur que cela soit révélé. Et quand elle se met à sortir avec Miles, elle commence à recevoir des messages la menaçant de révéler à tout le monde sa séropositivité…



L’histoire à la base est assez simple et presque clichée mais le livre est très intéressant par la façon dont est traité la séropositivité, à travers le quotidien d’une adolescente entre le lycée, les rendez-vous médicaux, le groupe de soutiens, sa vie familiale et amicale. C’est fait de façon intelligente et sans complexes et le gros plus est la grande représentation. Ce livre parle aussi d’homoparentalité, de sexualité, de harcellement ou de racisme et malgré un intrigue assez banale, il se veut porteur de messages forts. J’ai d’ailleurs appris beaucoup de choses !

Simone est une adolescente passionnée, à qui on s’attache beaucoup, comme à ses amies et on voit bien que si le VIH fait partie de sa vie, il ne l’a défini pas, au contraire elle est bien plus que cela.



Positive est un roman fort qui brise les tabous et les idées reçues sur ce qu’est de vivre avec le VIH/sida aujourd’hui. Une lecture nécessaire !
Lien : https://bullesdelivres41.wor..
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Positive

Un roman méritant de l'attention par ses différents sujets : le principal étant le VIH/Sida mais aussi en parallèle le racisme et le harcèlement scolaire.

On s'attache très facilement à Simone et on a envie que tout se passe bien pour elle malgré les péripéties car elle le mérite !

Un roman touchant et si vrai.

Il devrait être trouvable dans tous les lycées et me fait prendre conscience qu'on a beaucoup de lacunes sur la maladie.
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