Patrick Senécal

Dès le début on sent que ce récit sera sombre. Un journal intime, une petite fille qui se raconte. L'auteur a vraiment travaillé à nous mettre dans la peau de cet enfant et cela a dû être un réel défi d'écrire avec tout ce qu'elle a dans la tête avec des mots d'une gamine. La petite ne fait confiance à personne, ne supporte pas la trahison, est à choix psychopathe, perverse ou manipulatrice, tout en pouvant éprouver quelques sentiments forts. Il arrive beaucoup d'événements et même si le genre horreur-globule-fiction n'est pas vraiment ce que j'aime l'auteur a réussi à me mener jusqu'à la fin, après un petit coup de longueur dans ce monologue vers le milieu. Il nous fait réfléchir aux relations familiales, aux décision ou actes répréhensibles que peuvent faire des parents sans être nécessairement criminels. Des personnages prenants, une fin donc percutante, qu'on lit d'une traite et qui nous laisse pantois. Beau travail de l'auteur qui prend un chemin différent de ses livres du début, qui ont fait que je le suive depuis longtemps et dont j'aimais beaucoup le style. A voir ce qu'il proposera ensuite.

La première partie est relativement longue et peu intéressante (à l’image de l’état d’esprit de Paul, notre psychiatre désabusé). J’ai failli abandonner, grossière erreur ! Comme de coutume avec M. Senécal, je me suis fait happé par l’intrigue qui monte crescendo dans l’horreur et le fantastique et le résultat est tout bonnement excellent. Tout y est : une ambiance oppressante où le surnaturel côtoie le pragmatisme scientifique, des protagonistes complexes et intéressants évoluant au cœur d’une histoire prenante et franchement bien construite etc.). Amatrices ou amateurs de littérature horrifique, foncez !!!

Je continue mon sans faute avec senecal. Un roman qui se lit vite et qui nous laisse pas de temps à l'ennui.

L'auteur maîtrise son sujet et nous emmène dans un huit clos oppressant et mystérieux.

Senecal n'oublie pas l'humour avec des personnages bien barrés et des situations "surprenantes".

La fin clôture un excellent roman de la meilleur des manières, bref encore une très bonne pioche. Content de savoir qu'il me reste des senecal à découvrir.

Mon avis ne sera pas objectif. Senécal est mon auteur québécois préféré… je le suis depuis l’adolescence, et je ne rate aucune de ses sorties. Cette série était la seule qu’il me restait à lire de lui. Je la gardais précieusement, en me disant que s’il tardait à sortir d’autres bouquins, j’aurais au moins 4 livres supplémentaires. Mais à un moment, il faut bien se lancer. C’est chose faite ! Un premier tome où il se passe énormément de choses. Malphas, c’est le nom du CEGEP où Julien enseigne le français. Un CEGEP où les profs qui ne trouvent plus de poste ailleurs se voient contraints d’aller y enseigner. Une institution dirigée par des gens étranges. Des murs vers, partout, une odeur particulière y règne. Bref, sentiment de malaise en y pénétrant. Et puis, les morts s’enchainent, et c’est comme si tout était normal. Julien enquêtera, à ses dépens, avec pour acolyte un élève responsable du journal étudiant. Une partie de la lumière sera faite… mais il reste encore plein d’éléments à éclaircir… Trois autres tomes pour le découvrir. J’ai adoré ma lecture. Et j’ai hâte de me plonger dans la suite !

Un bon rythme dans la lecture, classique de l’auteur. Il arrive, comme à l’habitude, de nous garder en haleine de façon générale. Pour ces raisons, je donne un 3 étoiles. Cela dit, je n’ai pas apprécié ce roman. Histoire sans vraiment de but et je n’ai même pas compris la fin.

« Vivre au max » est la nouvelle téléréalité à la mode, suivi par une grande partie de la population, le but étant de réaliser le rêve ultime des participants. Mais Max Lavoie, le présentateur vedette et producteur de ce programme cache un bien plus sombre dessein.



Malgré sa belle épaisseur et malgré de nombreuses répétitions, je ne me suis pas ennuyée, une seule fois. La plume est fluide, l'intrigue prenante et les rebondissements sont bien présents. Les personnages sont originaux et pour la plupart abîmés ce qui rend l'ambiance très sombre sans aucune trace d'espoir. Prise dans un tourbillon de folie, le lecteur est pris dans un compte à rebours dont le dénouement s'annonce terrifiant. Le suspense est présent dès le début et s'intensifie jusqu'à la fin.



C'est l'un de ces romans qui nous pousse à réfléchir, car au-delà de la forme, c'est avec le fond que l'auteur nous met face à de tristes réalités. D'ailleurs, je ne vous conseille pas ce roman si le moral n'est pas au top, car l'ambiance est angoissante et souvent malsaine.



L'intrigue est réaliste et moderne, ce qui rend le tout encore plus effrayant. La construction originale permet de garder le suspense jusqu'au bout et je dois avouer que j'ai terminé cette lecture quelque peu déstabiliser, pas de doute, je ne l'oublierais pas de sitôt.



Attention, alors qu'il m'en faut beaucoup pour m'ébranler, j'ai trouvé que certaines scènes étaient à la limite du soutenable. Je les ai d'ailleurs découvertes le cœur au bord des lèvres.



En bref, une lecture que j'ai beaucoup aimée et que je vous conseille vivement.
Lien : https://onparlelecture.wordp..

Au début, j'ai eu beaucoup de mal avec le langage québécois.

Certaines expressions ou mots sont différents, mais à force de lire tout m'a paru limpide.

Malgré que les événements sont exagérés pour une gamine de 8 ans, je me suis laissé embarqué dans ce périple hors du commun.

J'ai même versé ma petite larme vers la fin.

Un roman étonnant qui me restera dans la tête un petit moment et je regarderais ma fille autrement… Elle n'est pas prête de voir des films d'horreurs, de jouer du piano et surtout si elle veut m'avouer un secret, je promets, je jure de ne le dire à personne.



Bonne lecture !

Je le dirai sans honte...quelle torture...

Quel ennui...

Je ne l'ai pas fini d'ailleurs,j'avais l'impression de perdre mon temps.

De plus,je n'ai pas apprécié les "Come on","Alright"...etc

Autant dans "Le vide",ça ne m'a pas dérangé autant là ça m a gonflé.

Oh come on girl,ne sois pas si dure! 😅

Je n'irai pas dire que c'est nul non plus...mais personnellement ça ne m a pas plu.

Après avoir adulé "Le vide" que j'ai trouvé juste exceptionnel,je suis déçue.

Je trouve l'idée de base géniale mais je trouve que c'est mal exploité.

Y'a de la torture oui...un peu...rien qui ne m ai choqué par contre,c'est surtout moi qui étais à l'agonie tellement je voulais que ça se finisse.

Bref,je relirai tout de même du Sénécal car il a une plume et de l'idée! Alright?! Je veux vous entendre!

ALRIIIIGHT 😅😂

Good!Applause 👏👏👏

Les personnages sont vides,je ne ressentais rien...que de la consternation.

Déjà j ai eu du mal à rentrer dans le livre,ensuite les tortures auraient pu être mieux exploitées quoique celle de l'intestin était absolument dégueulasse je dois bien l'avouer... je ne voulais pas spécialement du gore mais je n'ai rien eu du tout alors comme ça madame est servie 😝

Je ne veux pas trop en dire quand même,certains ont apprécié ce livre,d'autres l'apprécieront encore.

Les goûts et les couleurs hein ^^

Cadeau de noël de ma mère qui souhaitait m'offrir un roman que je ne pourrais pas lui prêter; elle n'a jamais eu autant raison. C'est cru, violent et malsain, une grande plongée dans la noirceur humaine, il m'a donner mal au ventre deux ou trois fois. Maintenant, je n'ai trouvé cette violence jamais gratuite et c'est une grande réussite vu le sujet. Un roman que j'ai dévoré par son écriture et par ses choix scénaristiques pertinents. Pour un premier Sénécal, c'est du tout bon et un gros coup de cœur. La fin est excellente et touchante. Un roman très humain par les sentiments traités, que ce soit dans la noirceur (souvent) et dans la lumière (parfois). Le traitement de la religion est bien amené et jamais lourd.

Me voila bien embêté, j'ai mis 5 à Hell.com mais je ne peux pas mettre 6 a celui ci. Ce roman est une merveille, un gros coup de coeur, superbement écrit et en plus, c'est son premier roman. La tension est palpable tout le roman et la plongée du personnage principale est progressive et bien amenée. On prend plaisir a suivre cette famille qui n'a rien de normal. Le thème sur le jeu d'échec est intéressant et bien intégré. Et Sénécal se paye le luxe d'encore réussir sa fin, bref du tout bon.

En mettant 4,5 a un Senecal, j'ai vraiment l'impression de mettre une mauvaise note alors que ma seule raison est que je l'ai trouvé inférieur à 5150 rue des ormes qui avait placé la barre très haut. Je me répète mais Sénécal est un excellent conteur et surtout amène une conclusion qui ne déçoit jamais. Le roman se lit vite, crée un mystère et une tension dès le départ qui ne va jamais nous lâcher. Difficile d'en dire plus sans gâcher le plaisir. Encore un excellent roman.

Senecal est vraiment un génie pour plusieurs raisons, c'est un excellent conteur qui arrive pendant près de 750 pages a nous tenir en haleine sans jamais nous lasser, il sait écrire ses fins et a chaque fois, je reste sur le cul avec un wahou! et chaque roman est différent. Le vide ne fait pas exception, sombre, humain et profond. J'ai adoré la noirceur du propos malgré un sujet qui paraissait léger a la base, le personnage de Frédéric, j'ai adoré le détester et le flashback sur le passé de Gabriel m'a retourné. Bref, ça devient lassant mais Sénécal a encore écrit un super roman qui va me marquer un long moment.

Patrick Senécal sort un peu de son créneau habituel dans ce roman très bien ficelé, étonnant et imprévisible.
Lien : https://www.journaldequebec...

Comme plusieurs, j’ai tout lu de l’auteur car plusieurs oeuvres précédentes m’ont marqué.



Les derniers romans m’ont souvent laissé sur ma faim alors je tente de gérer mes attentes.



Franchement déçu du livre qui aurait pu faire 100 pages max. On assiste à la quête interminable du personnage pour trouver des réponses à ses questions….Tout comme le lecteur, le personnage principal sombre dans l’incompréhension de ce qui se passe jusqu’à la fin.



L’auteur réussit bien sur à garder l’intérêt du lecteur de page en page comme on aime.



Finalement, on nous laisse sur une fin décevante, voir, du déjà vu. Le parcours qui semblait excitant à lire semble avoir été moins intéressant en fin de compte.



Si vous n’avez pas le temps de lire, c’est possible de lire les 60 premières pages et les 30 dernières pour saisir l’essentiel.



Cela étant dit, je vais continuer à lire ses romans.

J’ai découvert cet auteur avec Flots. Et franchement je vais manger tous ces livres. Il faut juste savoir que le language est très canadien donc de nombreuses expressions peuvent rebuter certains. Comme « affaires » qui veut dire choses et qui revient à toutes les pages. Passé la barrière du dialecte canadien, le livre est juste génial. On lit le journal intime de la petite fille et on sombre dans la terreur ...

Comment parler de ce que l'on tait habituellement ? Comment dire ce que l'on met toute son énergie à nier ? C'est le défi que Patrick Sénécal s'est lancé dans ce gigantesque thriller qui fleure le sirop d'érable, le sang , la merde.

Une histoire peu commune, dans un monde très banal. Un monde où la déprime gagne les masses, qui s'abrutissent en regardant des émissions stupides à la télé, en rêvant d'accomplir des choses inavouables comme les candidats de "Vivre au Max", en gigotant dans les flots bourbeux d'une vie polluée de platitude pour ne pas sombrer.

Pas tout de suite, en tout cas.

Ce constat, à des stades différents, c'est celui qu'ont fait les trois héros de l'histoire.

Le flic, Pierre, qui traîne son malaise comme un boulet de plomb. Incapable d'un geste d'affection spontané envers sa fille, il ronge son remords , il subit son veuvage, il patauge.

Le psy, Frédéric, qui a tout essayé pour ressentir une émotion: les partouzes, les sports extrêmes, la violence. Mais rien ne dure, et tout le lasse. Alors que ses patients viennent se lamenter des heures durant, il reconnaît en eux cette vacuité qui l'envahit de jour en jour, et son mépris augmente à l'avenant.

Le milliardaire, Maxime. Revenu de ses illusions humanitaires, de ses rêves de jeunesse, propulsé malgré lui à la tête d'un empire financier, il a cru pouvoir étouffer ses scrupules et jouer le jeu. Mais un séjour en Gaspésie l'a transfiguré: adieu Maxime le PDG, bonjour Max l'animateur de télé. Grâce à sa fortune, il peut réaliser les rêves les plus fous des téléspectateurs, et son émission attire les foules. Qui refuserait de vivre ce dont il a toujours rêvé ?

Oui, mais ensuite ?

Ensuite, c'est le boulot du romancier, qui entrelace ces trois destins dans une trame serrée , un filet qui nous happe et ne nous lâche plus malgré l'horreur que l'on soupçonne sous ces dehors déprimants.

Un sacré roman à découvrir, quand on a l'estomac bien accroché.

A l’occasion de noël j’ai décidé de lire que des livres super mignons et bienveillants (c’est complètement faux), j’ai lu Faims de Patrick Senecal, et j’ai beaucoup aimé !



C’est un roman noir / thriller psychologique de 600 pages qui nous emmène à Kadpidi, une petite ville dans la région du Québec, alors qu’un cirque ambulant vient d’y poser son chapiteau. Ce cirque n’est pas comme tous les cirques et propose des spectacles « pour adultes ». Fascinants pour les uns, révoltants pour les autres, quoi qu’il en soit personne ne restera indifférent et lorsque qu’une vague de meurtre va toucher la petite ville, coïncidant avec l’arrivée de la troupe, il va vite devenir évident que plus rien ne sera comme avant, pantoute!



C’est un roman très sombre sur la nature humaine, les pulsions et la faim qui sommeillent en chacun, c’est évidement un petit peu exagéré, sinon il y aurait pas de quoi raconter une histoire sur 600 pages mais dans l’ensemble j’ai trouvé le roman bien crédible tabernac.



La construction est intéressante, on suit principalement une petite famille (pas si) paisible et on assiste petit à petit à leur descente tout droit vers les enfers, mais également des personnages secondaires à qui il va arriver tout plein de malheur. Et on a également le droit à des tout petit chapitre au fur et à mesure du récit pour présenter les membres de la troupe de cirque. Et comme d’habitude chez Senecal, on retrouve un certain personnage récurrent (qui est horrifiquement génial) !



J’avais lu qu’il était moins aimé que d’autre mais pour le coup j’ai vraiment bien accroché.

J'aime beaucoup les titres avec des chiffres dedans, c'est ce qui m'a fait choisir ce livre . (raison assez faible, j'en conviens)



Je l'ai dévoré, car j'avais du temps libre (vacances) et car je voulais savoir la fin. Le début est assez flou, assez difficile à comprendre, j'ai dû couper ma musique pour faire le point. Je trouve que, pour ce livre, la narration en parallèle est assez peu efficace et pertinente, en plus d'être trop changeante.



La suite, elle, est plus intéressante, et plutôt bien narrée. Le tueur est assez différent du profil habituel, mais je trouve dommage la "non-escalde de violence" ( elle est décrite sans gradation, pareille du début à la fin, la souffrance s'accroissant un peu du début vers la fin, mais trop peu décrite (désolé, mais étant habitué à Franck Thilliez, je ne peux laisser passer cela) Malgré des longueurs et des détours inutiles, l'histoire avance bien. Je dénote tout de même des "intriguérences" ( néologisme inventé par un de mes youtubeur préféré comme incohérence dans l'intrigue )



La fin est trop confuse...Je n'ai pas tout compris.

Cependant les promesses sont tenues, avec une fin semi-ouverte très intéressante.



Bon livre, mais qui aurait pu être néanmoins meilleur.

Mais quelle folie ce livre, il fallait vraiment y penser, adepte des livres noirs, des thrillers, des policiers, je dois bien avouer que ce livre se distingue par l'originalité de son histoire.

Yannick est étudiant, il fait une petite sortie en vélo afin de mieux connaître la ville dans laquelle il va vivre durant ses études, malheureusement, un pauvre petit chat bien innocent va croiser sa route et donnait un tournant tout autre à sa vie.

Yannick va devoir demander de l'aide, il vient en effet d'avoir un accident de bicyclette et celle-ci est inutilisable, il sonne donc au 5150, rue des Ormes et le cauchemar commence pour lui, il se retrouve séquestré par une famille vraiment très farfelue.

J'ai vraiment accroché à ce récit car l'auteur a majestueusement mis en scène des personnages atypiques, en effet, au lieu de détester les ravisseurs, le lecteur se retrouve à leur chercher des excuses et peut presque comprendre leur point de vue !!!

Un récit qui sort vraiment du commun, une lecture additive qui fait tourner les pages sans jamais s'ennuyer, il y a un seul petit bémol à mes yeux, mais qui est plutôt personnel, j'ai toujours un peu de mal avec les huis clos qui donne au lecteur le sentiment qu'à un moment donné le récit va un peu tourner en rond.

Mon dernier SÉNÉCAL en stock didon .... Calvaire !!



Un flic tue sans raison 11 enfants.

Comme ça.

Le même jour, Thomas Roy, écrivain surnommé "le maître de l'horreur" est retrouvé chez lui dans un sale état :

Les doigts coupés au massicot. Les 10. (Miam!)

Dans un état catatonique.

A moitié défenestré.



C'est le docteur Paul Lacasse, psy blasé et presque retraité, qui va récupérer Roy en patient.

Avec sa collègue (et fan de l'auteur), ils étudient ce nouveau cas.

Aussi connu qu'atypique.

Contactés par un journaliste -star oblige - ils vont découvrir des choses ... troublantes.

Des choses impossibles.

Des choses que la science ne peut expliquer ...



Un thriller fantastique.

(Je préfère te le dire de suite) .



Arf, un peu répétitif au début.

Dla marde quoi, c'est mon dernier Sénécal, pantoute !

J'avais l'impression de tourner en rond.

Gnéé ....

Lacasse est excédé par le comportement sa collègue et amie, plus fan que professionnelle.

Le style est superficiel. Pas assez de profondeur pour moi.

Lacasse est excédé par sa collègue, plus fan que professionnelle.

Comment ca je l'ai deja dit !?

Ben oui, c'est un peu répétitif. Normal.

Et ce patient qui ne dit pas un mot ...



Passée cette période, l'histoire reprend en rythme & en puissance.

Pas mal de découvertes ...

STIMULANT.

Ca te pousse à tourner les pages pour en savoir plus & tu ne vas pas être déçu, Minou ...



Quand au FINAL, il rime avec SENECAL

Man dieu, ici.

Vla la vague, elle va t'emporter.

Rouge.

Palpitant au maximum.

Lecture frénétique & en apné pour ne rien louper.

& quand j'y repense, avec un petit côté Rosemary baby.



Après un départ un peu mitigé, SUR LE SEUIL finit par te décider à rentrer !

Ce n'est pas le meilleur que j'ai lu mais un bon moment de lecture avec mon auteur préféré canadien et "maître de l 'horreur".

Le Mal est un personnage à part entière ici, et vu ce que P. Sénécal écrit, je pense que c'est de un ses Amis.

CRISS !



A TANTOT - BISOUS LES MINOUS