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Citations de R.J. Ellory (1756)


"Là-bas, c'est de la vérité pure et simple", a-t-il repris calmement. Il énonçait des vérités universelles, les transmettant de génération en génération. "Là-bas, c'est le début d'un monde auquel tu ne voudrais même pas appartenir. Le monde qui nous attend, tu ne voudrais jamais que tes enfants le connaissent. La planète, les gens s'en branlent. La seule chose qui les intéresse, c'est le fric, le cul, la drogue, plus de fric, plus de cul. Il faut que les gens se réveillent, bordel ! Mais avec la télé et toutes les merdes qui les aident à s'endormir, ils ne vont jamais ouvrir les yeux et voir ce qui se passe autour d'eux.
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Quand on est mort, on est mort, un point c'est tout. Et c'est dans ces moments là que les gens s'activent dans leurs lits. On fabrique de nouvelles personnes presque aussi vite que les vieilles meurent. C'est beaucoup plus facile de fabriquer de nouvelles personnes que de préparer un gâteau aux cerises. On dirait que c'est la façons qu'a la nature d'effacer le passé et de préparer l'avenir.
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Même attachée à un piquet à l'aide d'une longue lanière de cuir, la langue d'Ida Garfield aurait encore trouvé le moyen de s'adonner à sa passion des ragots.
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On est tous brisés, quoique chacun à un endroit différent.
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Dans nos coeurs et dans nos esprits, il sera éternellement jeune -- souriant, sa superbe femme à ses côtés, saluant ses partisans et serrant des mains tandis qu'il quitte Love Field en direction du centre-ville de Dallas dans le cortège présidentiel. Peut-être qu'au bout du compte nous nous souvenons de lui de la sorte car c'est le souvenir que nous souhaitons garder.
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Peut-être est-il des mots qui ne peuvent jamais être prononcés ni chuchotés, des mots qu'il faut écrire sur une feuille de papier que l'on plie pour faire un bateau qui voguera sur un ruisseau pour se faire avaler par les vagues.
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C'était logique que les oreillers soient remplis de plumes d'anges. C'était de là que venaient les rêves - les souvenirs des anges qui s'immisçaient dans votre esprit pendant votre sommeil.
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Pourquoi fallait-il que la profondeur de l'amour ne se mesure qu'à l'aune du malheur de la perte?
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Il semble étrange que les circonstances les plus terribles lient les gens.
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Parfois la vie était une blague, et pas toujours une blague drôle.
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"Un jour j'en suis certaine, quelqu'un inventera une bombe capable de détruire toute une ville, voire tout un pays. Et cela sans l'ombre d'un doute, marquera le point où la civilisation commencera son long et inévitable déclin." (p.66)
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New York. Une ville assez grande pour perdre ses habitants. p. 260
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Gagner n'est pas la seule raison de faire quelque chose. Parfois on fait quelque chose pour l'expérience, ou simplement pour le plaisir; bien souvent on fait les choses pour se prouver qu'on peut les faire, sans se soucier du point de vue ou de l'opinion des autres.
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Les gens disent qu’il y a les types mauvais, et les types vraiment mauvais. Ceux du second groupe sont à peu près irrécupérables. Autant les descendre sur place. Et autant le faire la première fois qu’on les croise. Sinon ça n’entrainera qu’un paquet de chagrin pour tout le monde. Clarence appartenait peut-être à la première catégorie, et Elliott aussi, mais les personnes qui influenceraient le plus le cours de leur vie appartiendraient assurément à la seconde.
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"Ta mère va mourir", disait-il calmement, avant de poser la paume de sa main contre ma joue, et là je humais le bois, la sève, le vernis, l'ambre, je sentais le grain, la densité ... l'arbre lui-même, écrasé par le poids de ses propres fruits, les feuilles qui se tournaient vers le soleil à mesure que le jour progressait.
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New-York : Une grande enveloppe de bruit à l'intérieur de laquelle se déverse un torrent de gens. On dirait qu'il n'y a pas assez de maisons ni d'appartements pour une telle multitude, et pourtant ils se côtoient, indifférents aux sentiments et au destin les uns des autres. J'ai du mal à comprendre comment tant de gens peuvent être si proches, et pourtant demeurer si éloignés.
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Traumatisé par le Vietnam, cette guerre atroce dont « seuls les morts ont vu la fin », John doit à nouveau faire face à l'horreur.
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Les ténèbres sont habitées, répétait-il. Ces choses-là peuvent revenir indéfiniment leur souffle et leurs narines tressaillent au rythme de vos petits cœurs saisis d'effroi.
Le wendigo. Voilà ce dont il leur avait parlé, voilà le germe qu'il avait planté dans l'esprit fragile fertile de Calvis.
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Il refusait de croire une chose pareille, de penser à sa sœur comme à un rien, un espace creux, un vide. Il avait envie de croire que le corps était mort mais qu'il y avait autre chose, au-delà du visible, de l'audible, du tangible. L'esprit. L'âme. Des fantômes, des spectres, des ombres, des identités réincarnées investissant de nouveaux corps. Il avait lu ce genre de choses.
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Certaines personnes affirment que la peine de mort est une solution trop facile, bien trop rapide. Ils disent que ceux qui ont commis un meurtre devraient souffrir autant que leur victime. Et bien, croyez-moi, c'est le cas. Ils oublient les années que les gens comme moi passent ici, deux étages au-dessus de l'enfer. Ils n'ont jamais entendu parler des types comme M. West, et de son sentiment que le châtiment devrait être à la hauteur du crime, que vous soyez coupable ou non. Les gens n'ont vraiment aucune idée de ce que ça fait de savoir que vous allez mourir, et après les premières années ce jour peut arriver n'importe quand. Ils ne savent rien des espoirs soudains qui retombent si rapidement, des appels qui tournent en rond pour finir par s'envoler. Ils ne savent pas ce que ça fait quand vous découvrez que tel ou tel juge a examiné votre dossier et rejeté l'audience que vous attendiez depuis près de trois ans. Ces choses sont le châtiment. À tel point que, quand le moment arrive, vous êtes presque reconnaissant, et vous vous voudriez que les jours, les heures et les minutes disparaissent…qu'ils se fondent en un simple battement de cœur et que les lumières s'éteignent pour de bon. Les gens parlent de raison de vivre, de raison de se battre, de raison de continuer. Mais si vous savez au plus profond de votre cœur que vous vous battez uniquement pour la satisfaction qu'éprouvera un autre quand vous mourrez, alors il vous reste peu de raisons de lutter. C'est cynique, mais la plupart d'y temps, c'est le type qui est exécuté qui désire le plus l'exécution.
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