Ca me fait plaisir de reprendre la série des Chair de poule sur un bon tome.
On commence sur du classique, des enfants d’âges différents, un peu marginal pour le personnage principal : Jack, un environnement de petite ville américaine. L’élément déclencheur, une météorite servant de vaisseau à un extraterrestre. C’est là que ça devient intéressant ! Jack et sa sœur Alice ne sont pas les seuls à recevoir de la visite et cela dès le second chapitre.
Ce tome est clairement plus inspiré, un peu plus mature même s’il reste un livre pour jeune ado. De plus l’intrigue offre pas mal d’options de dénouements et d’action qui seront dans le second tome. L’invasion est intéressante, toute en discrétion même si elle a un but basique, envahir.
Suite au prochain épisode.
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Deux ados venant dans un parc pour se faire peur repartent avec la trouille de leurs vies, c’est ce que promet la quatrième de couverture.
Une fois terminé, cela correspond, la pression monte vite et n’est relâchée qu’à la fin. D’habitude la dernière phrase change le sens du livre ou en rajoute une couche pour laisser le lecteur dans le doute, ici non d’où une légère déception.
En dehors de ça ce n’est pas un tome qui se démarque des autres, le résumé donne l’histoire et il n’y a rien d’autre, pas d’éléments supplémentaire qui puissent laisser un peu d’intrigue. Le suspens ne fait pas tout, il fonctionne mieux avec une histoire.
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Je n'ai pas aimé ce livre, je l'ai adoré!! L'histoire peut paraître effrayante mais ce n'ai pas vraiment style horreur. Je ne pouvais pas m'arrêter de le lire. Je l'ai lu en une journée donc pour R.L Stine ce serait encore meilleur si les livres de cette série seraient plus long.
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Un bon souvenir de jeunesse que j'avais totalement déformé. Un mal pour un bien puisque cette relecture m'a finalement réservée quelques surprises. Dommage que l'on retrouve le même schéma du héros agacé par sa petite sœur comme dans "Comment ma tête a rétréci". A se demander si l'auteur ne réglerait pas quelques comptes… Au-delà de ça, une histoire de voyage temporel reste toujours agréable à suivre, même dans une version très légère et enfantine.
Challenge MULTI-DÉFIS 2018 : Un roman dont le narrateur est un enfant
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Ce tome contient une histoire complète, indépendante de tout autre. Il n'est pas nécessaire de disposer d'une connaissance préalable du personnage pour comprendre ce qui est raconté. Ce tome contient les 5 épisodes de la minisérie, initialement parus en 2017, écrits par RL Stine, dessinés et encrés par Germán Peralta, avec une mise en couleurs réalisée par Rachelle Rosenberg. Il s'agit du RL Stine, écrivain auteur de la série Chair de poule. Ce tome comprend également les 5 histoires courtes (4 ou 5 pages) écrites par RL Stine, dessinée successivement par Daniel Johnson, Christopher Mitten, Kate Niemczyk, Jonathan Marks Barravecchia, et Tyler Crook (l'artiste de la série Harrow County). Ce commence comprend une introduction d'une page de RL Stine évoquant brièvement les comics de son enfance, à savoir les séries d'horreur d'EC Comics.
Dans un marais, Man-Thing se tient face à une créature qui s'apprête à l'attaquer : Silver Centipede. Il réfléchit à la meilleure technique à employer avant de passer lui-même à l'attaque. L'ennemi fonce dans le tas, Man-Thing lui cloue le bec avec ses mains, et lui écrase le torse avec le pied. La prise de vue étant terminée, il obéit à l'ordre qui lui est donné de se rendre dans le bureau du directeur du département des développements de projet. Celui-ci lui explique que son apparence terrorise les enfants, et que du coup le studio laisse tomber les projets de film et de série avec lui, et qu'il peut aller chercher son chèque auprès de la secrétaire. Il sort de l'enceinte des studios et marche sur le trottoir alors que les passants réagissent, majoritairement de manière négative, à son apparence.
Man-Thing se souvient de quand il était encore humain, sous le nom de Ted Sallis concoctant un sérum de super-soldat dans un laboratoire situé au milieu des marais des Evergaldes, en compagnie de son assistante Ellen Brandt. Il se remémore la suite d'événements qui a conduit à sa transformation en Man-Thing. Alors qu'il essaye d'entrer dans une boîte de nuit en vain, il voit arriver un double de lui-même sur le trottoir, mais dépourvu de parole, juste agressif. Il se bat comme s'il s'agissait pour lui de détruire la brute sans conscience qu'il a été durant toutes ces années. Le déroulement du combat finit par ramener les 2 opposants dans les marais.
Man-Thing est un personnage qui a connu son heure de gloire au milieu des années 1970, avec des scénarios très personnels de Steve Gerber : Man-Thing by Steve Gerber: The Complete Collection Vol. 1,Man-Thing by Steve Gerber: The Complete Collection Vol. 2. Depuis l'éditeur Marvel l'a régulièrement utilisé, mais sans réussir à l'imposer de manière aussi durable. Par ailleurs, les éditeurs de comics aiment pouvoir confier leurs personnages à des écrivains de renom. Cela produit 2 effets : (1) attirer l'attention sur le personnage bénéficiant d'un tel scénariste, (2) attirer l'attention des lecteurs en dehors du cercle assez limité des lecteurs de comics. Aussi pouvoir disposer d'un récit complet écrit par R.L. Stine représente une aubaine peu commune du fait de sa grande notoriété auprès d'un jeune public. Qu'il choisisse un personnage aussi peu connu n'a pas grande importance au vu de sa propre célébrité, voire cela lui donne plus de latitude pour en faire ce qu'il souhaite sans s'attirer des commentaires sur le fait qu'il le transforme ou se l'approprie.
D'ailleurs Robert Lawrence Stine ne se gêne pas pour revoir Man-Thing à sa sauce. Pour commencer, il a regagné son intelligence et il peut parler. Le lecteur ayant connu la version de Steve Gerber se dit que ça vaut peut-être mieux comme ça, car rien ne sert d'imiter ce scénariste si particulier. Il se plonge donc dans les bulles de pensée du personnage, car l'auteur a choisi d'utiliser ce dispositif spécifique de la bande dessinée. Il remarque également que le scénariste n'est pas avare de cellules de texte dans des petits encadrés rectangulaires, et qu'ils indiquent souvent ce que montre déjà le dessin qu'ils commentent. La bande dessinée possède ses propres spécificités en tant que média narratif, et visiblement R.L. Stine ne les maîtrise pas entièrement, ce qui s'explique par le fait que les romans reposent sur d'autres caractéristiques narratives. Le lecteur reporte donc son attention sur l'intrigue en elle-même, curieux de savoir ce qui a provoqué ce changement dans le personnage, et de découvrir l'enjeu de l'aventure, ainsi que des moments de terreur, y compris version enfantine.
Le scénariste sacrifie donc à la nécessité de rappeler l'origine du personnage, puis il le renvoie dans son marais où tout peut arriver. Effectivement dans l'épisode 2, le lecteur a droit à une belle séquence au cours de laquelle Man-Thing est harcelé par un essaim de chauve-souris. Stine utilise ensuite des monstres habituels dans les comics, comme des serpents ou un crocodile géants. Le lecteur voit passer des squelettes réanimés, et Man-Thing se retrouve à lutter dans une arène. Au fil des pages, l'enjeu finit par apparaître : retrouver Oldfather, un nouveau personnage créé pour l'occasion, et chargé de surveiller les réalités à partir du nexus de toutes les réalités, situé dans le marais de Man-Thing. Il apparaît rapidement que Oldfather ne dispose d'aucune personnalité propre, que sa mission est des plus floues, qu'il sert d'otage bien pratique pour nourrir l'intrigue et que ses pouvoirs magiques sont bien opportuns. D'ailleurs Ted Sallis n'a qu'un seul trait de personnalité (essentiellement se plaindre de sa condition) et les autres personnages ne sont pas plus développés. Le mystère reste entier quant à ce qui a occasionné le changement de Man-Thing, en particulier le fait qu'il puisse à nouveau parler et penser comme un homme.
Du coup le lecteur se rabat sur le ton de la narration, sur le style de l'auteur qui a fait sa réputation. Il découvre une succession assez basique de différentes scènes, avec quelques blagues convenues qui tombent à plat. Même en prenant en compte le fait que R.L. Stine écrit (peut-être) pour un public jeune, il est difficile de se laisser entraîner dans cette histoire. Malgré tout, la narration visuelle apparaît très compétente et donne corps à cette histoire. Germán Peralta dessine de manière descriptive avec un bon niveau de détails. Il crée des personnages aisément reconnaissables, sans être exagérés dans leur apparence. Il leur donne des tenues vestimentaires spécifiques. Le dessinateur prend le temps de représenter régulièrement les différents environnements pour que lecteur sache où se déroule l'action de chaque séquence. Il y a quelques passages au cours desquels il se repose sur la mise en couleurs de Rachelle Rosenberg pour alors accompagner ces cases où l'action prime, ce qu'elle fait avec professionnalisme.
À plusieurs reprises, le lecteur découvre une scène visuellement impressionnante et il se rend compte que R.L. Stine a bien assimilé le fait que la bande dessinée est un média visuel, en concevant des moments spectaculaires. Il y a donc ce dessin en pleine page dans lequel Man-Thing doit écarter des chauves-souris, mais aussi les poissons enserrés par les racines d'un arbre dans la mangrove, la transformation de Man-Thing en pourceau, ou encore l'apparition d'un archer irradiant la lumière de tout son corps. Cette capacité à créer des situations visuellement surprenantes insuffle la motivation nécessaire au lecteur pour aller jusqu'au bout de sa lecture. Néanmoins l'intrigue ne décolle pas, et les bons mots à petit prix ne suffisent pas à transformer une histoire convenue et un peu poussive en une lecture amusante. 2 étoiles.
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- Histoires courtes - Il s'agit de 5 histoires courtes indépendantes : (1) un jeune fiancé en a après la bague réputée magique de sa douce, (2) un jeune conducteur dans une voiture de sport voit apparaître une jeune femme sur le siège passager, (3) un jeune couple est en train de se disputer parce que leur voiture est en panne au milieu d'un bois, et trouve refuge dans une maison tenue par une belle jeune femme, (4) un citoyen patrouille armé dans les rues de son quartier pour débusquer des loups garous, (5) une adolescente présente son copain à son père et sa mère pour une soirée très spéciale.
R.L. Stine rend directement hommage aux EC Comics, avec ces histoires à chute basée sur la surprise. Obligé d'être concis (seulement 4 ou 5 pages), il s'avère beaucoup plus intéressant que dans l'histoire principale de Man-Thing. Il varie les registres d'horreur à chaque histoire avec 2 belles trouvailles, et toutes les histoires tiennent la route. Il ne révolutionne pas le genre mais il est plus à l'aise dans la narration. Les 5 dessinateurs présentent un bon niveau professionnel, avec des dessins descriptifs, et une pointe d'expressionnisme pour Christopher Mitten, Jonathan Marks Barravecchia, et Tyler Crook. Ces histoires se lisent avec plaisir comme un exercice de genre réussi, sans être novateur. 4 étoiles.
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Matt a une vie d'enfer... Son frère le prend pour objet d'étude pour un de ses cours, sa soeur le prend pour un souffre-douleur, et Biggie le chien le prend pour un os à ronger. Quant à sa mère, elle est trop occupée avec ses deux boulots pour prendre au sérieux les récriminations de Matt.
Alors, en véritable "nerd", il se réfugie dans la SF et le fantastique.
Voilà certainement un schéma dans lequel pas mal de pré-ados peuvent se reconnaître...
Quand sa mère lui refuse la chambre d'amis pour s'installer à l'aise, Matt décide d'outrepasser l'ordre et d'y dormir quand même. Mais le lendemain matin, il se réveille dans la peau d'un ado, avec les souvenirs et les connaissances de Matt, enfant de 10 ans. C'est la galère toute la journée. Sauf pour la rencontre avec Laura, avenante jeune fille.
Il va s'endormir, et le lendemain, c'est pire.Et le surlendemain, idem, et ainsi de suite. Et à chaque fois, il rencontre Laura et deux "grands" lui courent après...
Dans ce "Chair de Poule", c,'est davantage la SF et une bonne grosse dose d'humour qui prédominent. Pas d'horreur à proprement parler. Et ce n'est pas plus mal, car cela fonctionne plutôt bien.
On n'en dira pas davantage.
La chute est toujours très bien amenée. Et le ton global très dans le style des autres tomes de la série. Les fins de chapitre et le style global transforment vite le volume en page-turner redoutable.
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Avec ses kilos en trop et le théâtre qui est devenu sa passion, Selena est devenue la star du lycée. Mais la popularité attire la jalousie et quand la jeune actrice en herbe reçoit des messages menaçants signés d'un autocollant représentant un soleil, elle ne s'en préoccupe pas vraiment jusqu'au jour où "Le Soleil" décide de passer à la vitesse supérieure dans le but qu'elle abandonne la pièce.
Un livre au suspens haletant et aux nombreux rebondissements. Chaque personnage étant un suspect potentiel, le jeu de piste devient vite prenant. Ce livre fait partie de la collection d'histoires effrayantes que R.L. Stine a écrite pour les ados que j'ai adoré dévorer il y a quelques années et que j'ai toujours plaisir à dévorer de temps à autres aujourd'hui !
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Jim a 11 ans (étrangement 12 à la fin du livre) et est un collectionneur de comics. Il est tellement passionné qu’il ne travaille pas beaucoup pour l’école, ce que lui reproche son père. Un jour en allant chez le dentiste, il remarque un immeuble semblable en tous points à celui qui abrite le QG de son mutant préféré.
Sans détour : ce n’est pas mon Chair de Poule préféré, loin de là. J’ai été tenté de le lire car je m’attendais à une meilleure histoire mais je suis déçu. L’idée de base est vraiment très bonne, mais le traitement ne m’a pas plu.
Le récit est court et rapide, comme la plupart des Chair de Poule et la patte de l’auteur se ressent, mais j’ai le sentiment qu’il n’a pas réussi à trouver un développement satisfaisant. Il y a quelques incohérences et le tout n’a pas trop d’intérêt.
Je conseillerai de lire d’autres Chair de Poule car celui-ci n’est pas des plus réussis malgré une bonne idée de départ. D’autres tomes sont largement plus intéressants.
Hiroyuko.
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Gabriel , un jeune garçon rêve d'explorer les galeries secrètes et tombeau des pyramides. Il a pu le réaliser grâce à son oncle archéologue, il a aussi découvert une chambre funéraire d'un célèbre prince.
J'ai aimé ce livre car il y a de l' aventure et on se projette dans l'histoire on ale ressenti de Gabriel le personnage principale j'ai aussi aimé ce roman pour le caractère des personnages :
Oncle Ben sait plein de chose mais ne dit pas tout
Gabriel a peur mais il est tout de même courageux
J'apprécie aussi Nila car elle ne nous dit pas tout à son sujet mais elle suspecte au fur et a mesure de l'histoire.
Il y a malgré tout le caractère de Sarie que je n'aime pas du tout, elle est prétentieuse et arrogante.
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Ce livre est juste super ! Il fait à la fois peur mais aussi rire . J'ai bien aimé le courage de Luc et la façon dont est fait le labyrinthe avec ces VIRAGES EFFRAYANT et CULS-DE-SAC TERRIFIANTS. J'ai bien aimé le passage suivant : "Six enfants nous encerclaient, mon frère Luc et moi. Ils nous fixaient d'un regard haineux, les points serrés. "
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Un jeune homme se trouve dans une salle et il voit un magicien qui lui dit de choisir une carte, n'importe laquelle. le jeune homme choisit une carte en forme de lapin. Le magicien sort un chapeau noir avec une baguette magique et il fait apparaître un lapin effrayant. Ce lapin saute sur le magicien et tente de le dévorer. Le garçon s'enfuit mais malheureusement pour lui le lapin prend la baguette et fait apparaître plus de lapin qui veulent le dévorer. il se fait manger par les lapins. Mais les lapins sont tués par les exterminateurs.
Ce livre est bien mais il ya des moments où c'est moins bien: des passages ne faisaient pas peut pour un "chair de poule".
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J'adorais cette série de livre qu'était les chair de poules, avec quelques années de plus... j'adore toujours autant.
C'est une lecture qui est simple, avec des chapitres courts, l'auteur va à l'essentiel pour ne pas ennuyer le jeune lecteur.
Je me souviens encore du début du livre, avant même de le relire, quand Carolyn mange sont sandwich avec des vers dedans, horrible ! Elle aurait pu finir comme Carrie (de S. King), elle en fini pas loin. Aucune autre information sur l'histoire ne vous sera révélée dans cette critique.
Cinq étoiles ! Même avec du recul, je ne trouve toujours aucun gros défaut. Celui ci me donne toujours la chair de poule.
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Ce livre et pleins d'imagination,beaucoup de suspense,sa parle de 3 enfants qui aiment les aventures donc il vont explorés leur collège ..
Je me suis cru dans la peau de l'un de ces personnages,j'étais comme dans l'histoire, il y a des moments ou j'ai eu un peu la chair de poule d'ou le nom de la série. Je n'est pas étais déçus,mais j'étais tellement dans l'histoire que j'aurais voulu que sa dure un peu plus longtemps,C'est pour cela que je recommande ce livre, je recommande aussi de lire les autres livres de cette série.Moi je n'en ai lu que 2 et je n'est pas était déçus encore une fois.
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Chair de Poule... C'était la "littérature" que je dévorait quand j'avais 13 ans. Excellent pour se faire peur quand on est petit. Par contre cela se lit très vite, je m'était abonné à la bibliothèque le plus près de chez moi pour éviter de me ruiner dans cette collection. En grandissant cependant on se lasse très vite de ces charmants récits à l'intrigue assez simple dont l'incipit en généralement "Salut je m'appelle ... ..., j'ai 12 ans et il m'ait arrivé la pire histoire de ma vie cet été. Je vais vous la raconter même si je sais que vous ne me croirez pas."
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