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Critiques de Robert Merle (1117)
Fortune de France, tome 3 : Paris, ma bonne..

Un bon troisième tome, moins de passages paillards que dans les autres (mais encore un peu trop à mon gout), on passe un bon moment.

On sent la tension montante dans la ville de Paris, à la veille de la Saint-Barthélemy, puis les horreur de celles-ci.

On est vraiment plongé dans l'ambiance de l'époque, ou la plus grande misère côtoie la richesse extrême, où le paraitre est plus important que l'être, et où une différence d'inclinaison religieuse vous ôte toute humanité.
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L'île

Suite à un acte de mutinerie sur un navire au XIXe siècle, un groupe de marins britanniques décide de s'enfuir sur une ile déserte du pacifique afin d'échapper à la peine de mort. Accompagné de tahitiens, la vie en société s'organise...



"L'ile" est un roman sur l'homme et la vie. Sur l'homme et sa relation avec autrui, son besoin de vivre en société, mais aussi sur la difficulté à faire confiance à l'autre, la peur de la trahison, de l'étranger. Robert Merle dépeint une société ou chacun agit selon son caractère et sa personnalité. Autoritaire, suiveur, peureux, reclus, sournois... Les qualités et les défauts sont exacerbés par la promiscuité. Comment réagirions-nous à leur place? La question n'est pas facile, elle ne l'est pas non plus pour Purcell, le personnage principal, confrontés à ses principes moraux alors que les relations dans l'ile partent en éclat.



Un petit mot sur la vie et les coutumes des tahitiens qui sont très agréables à découvrir. Ne connaissant pas ce peuple, je ne peux pas dire si le trait est exact ou caricatural, mais j'ai aimé l'ambiance que porte ce livre, cette sensation de chaleur languissante, de calme, d'insouciance et d'amour portés par la façon de vivre des tahitiens.



Quelques petites longueurs mais au final c'est un très bon livre.
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La Mort est mon métier

D’habitude je ne lis pas ce genre de livre, les romans qui ont pour sujets des évènements trop récents (La mort est mon métier a été écrit en 1952) et je crois toujours, après cette lecture, que j’ai plutôt raison de ne pas le faire. Mais il se trouve que j’ai lu les mémoires de Rudolf Hoess l’année dernière et j’étais curieux de savoir comment Robert Merle avait traité le sujet, même s’il s’est davantage appuyé sur les rapports du psychologue Gilbert pendant le procès de Nuremberg que sur les « confessions » de Hoess.

Dans la préface rédigée en 1972, Robert Merle écrit : « La première partie de mon récit est une re-création étoffée et imaginative de la vie de Rudolf Hoess d’après le résumé de Gilbert. La deuxième – où, à mon sens, j’ai fait véritablement œuvre d’historien – retrace, d’après les documents du procès de Nuremberg, la lente et tâtonnante mise au point de l’Usine de Mort d’Auschwitz. »Œuvre d’historien, je ne sais pas… Peut-être qu’un procès et sept ans de recherches ne suffisent pas pour prétendre restituer avec une totale exactitude une Histoire si importante. Il y a des approximations, des raccourcis dans ce livre, des erreurs dès la préface. Certaines ont des conséquences encore désastreuses aujourd’hui. Je n’ai pas la moindre envie de m’attarder sur ce que certains appellent des « détails »de l’Histoire et qui pourtant continuent à en obnubiler un peu trop d’autres, alors je me contenterai de commenter la partie imaginative sur le personnage de Rudolf Lang et de la comparer avec ma lecture des mémoires de Rudolf Hoess.

Si tous les évènements importants de la vie de Hoess se retrouvent dans le roman, ce n’est pas ce que j’appellerais un portrait fidèle. Certains propos sont même contradictoires avec les mémoires de Hoess, mais il est difficile de savoir où se trouve la vérité. L’influence de Gilbert est patente dans le livre de Robert Merle car il fait surtout un portrait psychologique, et le caractère qu’il restitue est peut-être conforme au modèle de Hoess mais très caricatural (comme le sont souvent les romans, bien sûr). Je pense surtout au manque d’affection que Rudolf a hérité de ses parents, Robert Merle me semble avoir beaucoup exagéré sur ce point. Mais ce qui est intéressant, c’est de découvrir comment Rudolf Lang a développé une véritable névrose de l’ordre (là aussi, si elle a bien été réelle chez Hoess, et je ne le sais pas -ça ne transparait pas dans ses écrits -, elle est de toute façon exagérée). Pour le résumer simplement, quand Rudolf Lang est confronté à des difficultés comme la perte de la foi ou la mort de son père, il subit un fort sentiment de vide et de déréalisation qui le mène à avoir des hallucinations et pour se prémunir contre elles, il se réfugie dans une manie de l’ordre. Sa carrière militaire encore plus qu’une vocation est un devoir impérieux. Il est le stéréotype de l’homme qui ne peut s’épanouir qu’au sein d’une structure aussi réglementée que l’armée.

Bon, même si j’ai dévoré ce roman je ne le recommande pas (je trouve que c’est un très mauvais moyen de s’informer sur les camps de concentration ou le nazisme). Et d’ailleurs ce n’est pas une merveille au strict point de vue littéraire.

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Un animal doué de raison

BI et Fa,ces deux dauphins ont marqué ma vie d'adolescente à jamais!



superbe roman qui dénonce hélas les travers et comportements humains à travers l'asservissement et l'utlisation des animaux a des fins stratéqiques





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Fortune de France, tome 1 : Fortune de France

L’histoire de France se reflète dans celle de la famille Siorac : les aventures de Jean de Siorac et de son ami Jean Sauveterre, puis celles de son fils Pierre et de son petit-fils Pierre-Emmanuel. Du Périgord à Paris, on suit le parcours des Siorac : les études de Pierre et de son demi-frère Samson à Montpellier, leur départ suite aux troubles et leurs contacts croissants avec les Grands de ce monde, qui placeront Pierre-Emmanuel au plus proche de la Couronne.

Au fil de nouvelles issues de toute l’Europe ou des événements auxquels les personnages assistent, le lecteur suit les aléas qui menacent les partisans de la réforme, et aussi leurs violentes ripostes, à une époque où les croyances et les affiliations peuvent en un clin d’œil signifier la vie ou la mort.

Jean de Siorac nous relate la prise de Calais, aux mains des Anglais depuis deux siècles. Avec Pierre de Siorac, on assiste à la Saint-Barthélémy, à l’accession au trône d’Henri IV et à la promulgation de l’Édit de Nantes. Pierre-Emmanuel, compagnon de jeu du jeune Louis XIII, nous initie à la vie de cour et aux intrigues.

Merle a placé la langue goûteuse du seizième siècle dans la bouche de ses héros et l’a colorée d’occitan, accroissant la crédibilité d’un récit narré à la première personne. Pour ajouter au plaisir de la lecture, au fil des pages et des péripéties, on croise La Boétie, Montaigne, Pierre de l’Estoile, les rois de France d’Henri III à Louis XIII, Elizabeth Ière d’Angleterre et bien d’autres célébrités littéraires et politiques de l’époque.

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La Mort est mon métier

La période de la seconde guerre mondiale m'a toujours fascinée. Peut-être est-ce dû aux récits que m'en faisaient mes grands-parents, entre les privations décrites par ma grand-mère et sa soeur, et les silences lourds de sous-entendus de mon grand-père... Il y avait aussi ces histoires de petites copines juives qu'elles n'avaient pas revues du jour au lendemain, emportées pendant la nuit. La question juive m'a ainsi toujours interpellée, et ce dès mon plus jeune âge. Je me suis donc lancée assez jeune dans la lecture de ce livre, pour essayer de comprendre. Comprendre l'incompressible, et l'inimaginable... Et j'ai été déçue. Ainsi ces bourreaux ne faisaient qu'obéir sans réfléchir ? Avaient de bonnes excuses ? Il faudrait peut-être que je le relise maintenant, 25 ans plus tard. Bref, un témoignage pour les nouvelles générations.
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Malevil

Avec une finesse dans l'analyse psychologique, l'auteur nous livre la vie de ces survivants dans un style impeccable. Ce livre fait partie de mes préférés et celui que j'ai le plus souvent prêté.

A découvrir impérativement.
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Les Hommes protégés

Et si une épidémie frappait la moitié de la population humaine c’est-à-dire les hommes? Robert Merle part de cette hypothèse pour décrire un monde qui ne fait pas envie du tout. Les gouvernants pour des raisons électorales n’ont rien fait pour endiguer la maladie. Mais une fois qu’il n’y a plus d’hommes ce sont les femmes qui prennent leur place et aussi leur revanche. Il y a la mise en place d’un système répressif et totalitaire où les femmes se retrouvent en haut de la hiérarchie sociale, viennent ensuite les castrats (certains hommes font le choix de perdre leurs attributs plutôt que de perdre la vie) puis viennent les hommes encore entiers. Les hommes entiers ou protégés paient pour les siècles de domination masculine.



Écrit au milieu des années 70, en plein dans la lutte pour la condition féminine, le roman pose la question du rapport entre les sexes. Comment peut s’équilibrer ce rapport ? Doit-il y avoir une égalité ou y avoir un rapport de domination qui montrerait que les femmes n’ont pas plus de jugeote que les hommes.



C’est la description d’une société froide et totalitaire, et même si des femmes plus modérées arrivent au pouvoir par la suite , ce qui est proposé laisse encore l’homme de côté.



C’est vrai que par certains côtés le trait semble forcé, que le système décrit ne fait pas dans la finesse mais au moins cela suscite la réflexion.
Lien : http://lecturesdechiwi.wordp..
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Fortune de France, tome 2 : En nos vertes a..

Ce tome 2 est très inspiré des manuscrits de Félix Platter et des études d'historien sur le sujet, et en même temps librement inspiré des mésaventures de Rabelais en faculté de médecine. Merle nous rejoue le tout à sa sauce pleine de verve, et fait de son héros un faux naïf s'embourbant dans les pires déconvenues pour mieux rebondir et vivre pleinement ce qu'on appellerait aujourd'hui une vie d'ado, avec ses rites de passage vers l'âge adulte.
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La Mort est mon métier

Livre qui m'a marquée, même si je l'ai lu il y a longtemps. Cette histoire de la vie quotidienne de ce SS, notamment avec sa famille, nous surprend à ressentir de l'empathie pour ce personnage...commettant par ailleurs des atrocités. Je me souviens bien de ce malaise ! L'auteur arrive à nous prendre au piège en montrant le côté "humain" de cet homme.
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Fortune de France, tome 12 : Complots Et Ca..

Après le terrible siège de la Rochelle, Louis XIII et Richelieu espèrent en avoir fini avec toute rébellion et avoir éliminé le dernier bastion anglais mais c'est sans compter sur les Habsbourg, sur le frère du roi Gaston D'Orléans et même sur la reine mère en personne qui prêtent la main à toutes les cabales.

Robert Merle, par les souvenirs du duc d'Orbieu, fait revivre dans un style vivant, truculent mais précis et documenté ces nombreuses péripéties et coups de théâtre.

Cette saveur du langage et cette précision historique ont valu à "Fortune de France" un succès jamais démenti.
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Fortune de France, tome 9 : Les Roses de la..

Pour Pierre Emmanuel de Siorac, c'est l'heure de la récompense, nommé comte d'Orbieu par volonté du roi, il effectue sur ses terres de nombreux séjours qui lui font découvrir la condition souvent misérable des laboureurs abasourdis d'impôts.

Sur les pas de son héros, Robert Merle nous fait cavalcader à travers 7 ans d'histoire de France, des chemins du midi protestant aux ruelles de Paris et aux salons du Louvre avec l'entrain, l'érudition et la flamboyance qui ont valu à la série entière de "Fortune de France" un prodigieux succès.
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Fortune de France, tome 2 : En nos vertes a..

J'ai lu le tome 1 et 2 de cette série, les personnages sont attachants et font découvrir une époque très éloignée de la notre tant par les années que par le mode de pensée. J'aime les livres historiques et ceux-ci m'ont plu du fait notamment qu'il parle de la population et non des grands personnages de France comme dans les livres que je lis généralement.

Ma seule crainte est de ne pas pouvoir lire les 13 volumes!
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Pièces pies et impies

Ce dernier des quatre tomes du théâtre de Robert Merle, intitulé "Pièces pies et impies" rassemble deux pièces et un texte de l'auteur publié antérieurement dans un magazine. Il est consacré dans son ensemble au thème religieux.

La première pièce "Lilith" met en scène ce personnage féminin négatif de la genèse, la deuxième "Daemonius" est inspiré du "magicien prodigieux" de Calderon et raconte la persécution des chrétiens de Nicodémie sous l'empereur Décius.

Le conte contemporain qui clôt l'ouvrage "la révélation de Ladislas" fait le récit du destin ambigu de son héros, jeune et brillant intellectuel mi-réel mi imaginé, que la foi religieuse amène à des péripéties étonnantes.

Paru en 1996, cet ouvrage nous offre du théâtre fin et intelligent. Robert Merle est au sommet de son art d'écrivain et de fin lettré.
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Théâtre III : Le Mort et le Vif - Nanterre la..

Ce troisième tome de théâtre de Robert Merle contient deux pièces, dont une est une adaptation théâtrale de son roman "derrière la vitre" écrite par Sylvie Gravagna.

Robert Merle se fait dramaturge pour nous conter dans "Le mort et le vif" la rivalité entre Henri III et le duc de Guise qui conduit inexorablement vers l'assassinat de ce dernier par le roi de France. Cette pièce est un clin d'oeil à la série "Fortune de France" née de sa plume talentueuse. Siorac , baron par grâce du roi, ainsi que Miroul figurent dans ce tableau historique peint avec tant de style. On se prend à regretter en lisant cette pièce que Robert Merle n'ait pas transposé dans son intégralité "Fortune de France" au théâtre.

"Nanterre la Folie"que l'on doit à la plume de Sylvie Gravagna est une courte mais brillante adaptation du roman de Robert Merle "derrière la vitre" dont l'action se déroulait à Nanterre durant les évènements de mai 1968.

Paru en 1992, cet ouvrage marquait un retour de Robert Merle vers le théâtre, un retour attendu depuis 1957 et qui ne déçoit pas tant son écriture et son style font merveille dans ce genre.
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Nouveau Sisyphe, d'après Aristophane

Ce deuxième tome du Théâtre de Robert Merle contient trois pièces : "nouveau Sisyphe", "justice à Miramar" et " l'assemblée des femmes" d'après Aristophane.

Dans le premier lever de rideau, Robert Merle nous décrit un Sisyphe nouveau car bien vivant et plein d'espoir. Ce dernier est bien décidé à se maintenir en vie et pour lui-même et pour les autres. C'est donc bien un autre personnage, non pas un désespéré parmi les morts mais bien un lutteur parmi les vivants.

L'action de "Justice à Miramar" se situe dans une contrée utopique et sous une royauté de fantaisie. Le rideau se lève sur une cour d'assises dans laquelle viennent prendre place le président, ses deux assesseurs et l'avocat général. Une cérémonie présente une tête de mort pour signifier que l'accusé est passible de la peine de mort...

"L'assemblée des femmes" très librement inspiré d'Aristophane reprend le thème du gouvernement des femmes, décliné ici sur une place à Athènes...

Robert Merle écrit dans un style intelligent, érudit et flamboyant, c'est un ouvrage de théâtre prestigieux qu'il nous offre.

Ce volume est très rare et assez cher, ne le laissez pas passer si vous le croisez, sa lecture vous réserve un grand moment de plaisir.
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La Mort est mon métier

Ce livre, depuis que je l'ai lu, est resté gravé dans ma mémoire. Merci à Robert Merle pour ce témoignage gaçant sur notre Histoire. (même si il est quelque peu romancé.)
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Week-end à Zuydcoote

Robert Merle nous fait revivre ici un des épisodes les plus tragiques de la débâcle de 1940. Trois cent mille hommes sont cernés dans la poche de Dunkerque: ils ne peuvent retrouver la liberté qu'en s'embarquant sur des navires anglais qui, sous le bombardement des avions allemands, vont et viennent à travers le détroit.

Une grande page d'histoire...Une écriture vivante et bien rythmée.. A lire et à relire...
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La Mort est mon métier

Comme l'avoue Robert Merle dans le préambule au roman, ce récit est la réalité romancée. Peut-être est-ce pour cela qu'il s'est senti l'impératif de ramplacer le patronyme de Hoess, directeur et organisateur zélé de la Shoah; par Lang.



C'est la réalité car il s'appuie sur les résultats d'une entrevue avec de Rudolf Hoess un psychologue américain après-guerre et aux documents liés au procès de Nuremberg ; ainsi qu'au témoignage écrit de Rudolf Hoess que les Polonais lui demandèrent d'écrire. c'est une fiction de l'autre, car les vides dans la vie de Hoess, Robert Merle les a comblé avec la qualité de romancier qu'on lui connait. Du coup, cette dichotomie se ressent bien, la première partie du récit sur l'enfance et la jeunesse de Hoess -- la plus sujette à spéculation, et donc à la matière romancée -- est moins prenante et terriblement glaciale que la dernière, clinique et terrifiante, décrivant la mise au point rationnelle d'un génocide s'appuyant sur une haine par nature irrationnelle.



Merle, dont je partage l'avis, trouve dans cet homme, fonctionnaire obéissant et efficace, appliquant les ordres car ils sont ordres, même s'il sont horribles, sans état d'âme, la source même de sa monstruosité. car Hoess n'a pas perfectionné la mise à mort par chambre à gas et four crématoire par sadisme, ni même par haine des juifs, mais simplement car sa hiérarchie en la personne d'Himmler, le lui a ordonné. D'un côté, il m'a semblé conscient de la gravité de ces ordres et donc de ses actes ; d'un autre, un ordre étant un ordre, il les a appliqué avec une froideur et une conscience "du travailbien fait" qui illustre parfaitement la monstruosité d'un être dépourvu de toute conscience et endoctriné pour être le bras servile du chef, au point de se marier car il en recut l'ordre.



On comprend mieux, au regard de ce type d'individu, et de ce livre, combien ce genre de personne, à l'opposé de l'individu se voulant humaniste, sont utiles aux puissants ; et pourquoi, régulièrement, des horreurs sont perpétrées par des hommes sans empathie mais entièrement soumis à l'autorité, hommes loins du cliché du sadique violent et basique. Là réside la part sombre de l'âme humaine.
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La Mort est mon métier

éprouvant et beau
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Roman historique lauréat du prix Goncourt publié en 1949 racontant la retraite d'un groupe de soldats français lors de la défaite franco-britannique lors de la seconde guerre mondiale. Mon titre est "week-end

chez ma mère'
à Deauville'
à Zuydcoote'
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