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Critiques de Roger Caratini (25)
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Auguste

Avec son "Auguste", Roger Caratini montre qu'il est capable d'osciller entre le pire (cf. l'épouvantable bouquin qu'il a pondu sur Néron) et le bon, comme ici où il analyse assez finement les événements qui font passer Rome de la République au principat, sans rien omettre des côtés sombres (euphémisme) de son instigateur, je pense notamment au massacre de Pérouse. Il est toutefois un obstacle dans ce livre qu'en dépit de plusieurs tentatives je ne suis jamais parvenu à franchir, les pages confuses et interminables de la guerre sur le sol de Sicile contre Sextus Pompée. Rien n'y fait, je n'ai pas la force de m'en infliger la lecture, alors je passe directement au célèbre épisode où le Pontifex Maximus Lépide implore la clémence de celui qui sera le "premier parmi ses pairs".
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Auguste, tome 1 : L'héritier

L'Héritier de Roger Caratini raconte les premiers pas d’Octave qui deviendra Auguste. Héritier de Jules César qui a remarqué sa grande intelligence, Octave au lendemain de l’assassinat de César se paie une armée et part à Rome réclamer son héritage détenu par Marc-Antoine. Pour parvenir à ses fins Octave suit à la lettre les lois de Rome et a 19 ans seulement roule dans la farine le grand Cicéron. Peu à peu Octave implique le sénat et les puissants de Rome dans sa quête de justice envers les assassins de César, manipulant Cicéron contre Antoine afin de toucher à son héritage reconnu par le Sénat, Octave sait se faire aimer du peuple qui parle de lui comme le fils de César. Malgré une santé fragile Octave saura rallier Marc-Antoine et Lépide et faire la guerre à Brutus et Cassius afin de venger la mort de César et en même temps agrandir les territoires de Rome. Après une purge au Sénat et le partage de l’empire le triumvirat commence à battre de l’aile mais cela est une autre histoire.
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Auguste, tome 1 : L'héritier

Ce livre propose une version à la fois historique et romancé de l'histoire du futur Auguste. Je ne pouvais qu'être attiré car c'est là un personnage exceptionnel !

Le récit est très bien documenté, j'ai juste été déçu, a titre personnel, que le roman soit si peu présent. Au final, ce livre ressemble plus à un livre d'histoire qu'à un roman historique.
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Auguste, tome 2 : L'Imperator

L'Impérator de Roger Caratini nous raconte en quelque sorte l'histoire de la naissance de l'Occident. Nous y voilà, le jeune Octave qui de page en page va devenir Auguste. Mais pour cela divers travaux lui restent à faire. le triumvirat est à la fin de son mandat, le fils de Pompée fait des siennes en jouant au pirate dans toute la Méditerranée et Marc-Antoine manipulé par Cléopâtre se fait menaçant et encore une guerre civile conclut avec la victoire d'Octave qui deviens Auguste Impérator. Pendant que Lépide reste sagement dans son petit coin dans le nord de l'Afrique, Auguste prend en charge cet immense empire et il ne fera pas les choses à moitié. La libre circulation en Méditerranée pour la première fois de l'histoire et la Pax Romana, la fin des guerres civiles. Auguste le premier d'une longue série d'Impérator aura établi pour quatre siècles les bases de l'Occident. L'auteur Roger Caratini nous présente l'histoire comme un fait récent et par la bouche de personnages fictifs qui discutent entre eux les tenants et aboutissants du drame qui se joue dans le monde Romain. le moyen que l'auteur se sert pour nous enseigner l'histoire me rappelle un livre que j'ai lu il y a très longtemps Tempête sur Byzance de Vintila

Corbul. Pour les amoureux de l'histoire un auteur à suivre ce Caratini.
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Caligula : Le mal-aimé

Époque fascinante que celle de l’Antiquité où j’ai de grosses lacunes (au même titre que l’histoire en général avant le XXe Siècle). Caligula est un personnage connu, au sens figure charismatique au même titre que César, Néron, Auguste… Une image d’assoiffé de sang lui colle à la peau, je souhaitais connaître ce personnage. C’est un peu par hasard que j’ai pioché parmi les innombrables ouvrages le traitant, dans l’espoir d’avoir un récit au plus proche de la réalité, bien que l’on sache que plus le temps passe et plus la mémoire s’efface.



Caius Cesar Auguste Germanicus est né en Germanie dans un camp romain. Son surnom – Caligula (“Sandalette” en latin) – est donné par les légionnaires. Roger Caratini nous détaille très succinctement sa personnalité. C’est un personnage extraverti aux orientations sexuelles ambiguës. Il aurait eu des rapports pédérastes, mais surtout vécu une histoire d’amour et incestueuse avec sa sœur cadette de 5 ans (Julia Drusilla). C’est peut-être pour cela qu’il n’a pas réussi ses vies maritales. À la mort de sa sœur, il fera construire un temple en son honneur. Il donnera son nom à sa fille unique.



Les faits de folies sont bien peu, au final. On notera qu’il ordonnera à des centaines de bateaux à s’aligner de façon à en faire un pont (4,2 Km) où il ira rejoindre l’autre rivage, revenir le lendemain, accompagné d’esclaves et de parader sur la rive tel un César revenant victorieux de ses campagnes. À la fin de son règne, il se déclara vainqueur de l’océan, lorsqu’il décida d’envahir la Bretagne antique (la Grande-Bretagne) et d’exhiber des coquillages.



Cet ouvrage est avant tout un plaidoyer pour rendre Caligula humain. Roger Caratini s’appuie sur les textes de Suétone (dont il le critique à plusieurs reprises sur la fin) et de Dion Cassius. L’ensemble du livre est consacré à la politique et aux événements historiques. La lecture a été parfois difficile par les nombreuses annotations, mais aussi les allusions à des chapitres et d’autres de ses écrits.



Caligula aura eu un règne très court : 3 ans, 10 mois et 8 jours. Il fut assassiné le 24 janvier 41 dans les coulisses d’un théâtre par deux officiers subalternes (Cassius Chaerea et Cornelius Sabinus). Les deux premières années, il a été très apprécié par la population. Il aura notamment supprimé la TVA de 1 % sur toutes les transactions. Suite à une étrange maladie qui le cloua au lit durant plusieurs jours, il s’est pris de folie (que l’auteur ne développe pas). Il déjouera avec génie un complot contre lui. Mais, ayant vidé les caisses de Rome, il sera obligé d’inventer tout un tas de taxe (notamment celle sur les prostitués, où elle devait verser une passe par jour) et de devenir proxénète en transformant le palais en une maison de plaisir.



Notons qu’un des préfets se nomme Macron !!!
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Caligula : Le mal-aimé

Un personnage fascinant. Caligula ; tout un fantasme se dégage de son nom ! Ce que l'on connait moins, ce sont ses réformes, très populaires parmi les citoyens romains, notamment en abaissant les taxes. Il était un personnage haut en couleur avant de disjoncter suite à une crise d'épilepsie ? Une image d'assoiffé de sang lui colle dorénavant à la peau, je voulais en savoir plus . L'auteur nous éclaire, bien. par contre, il se tait sur les raisons de sa "folie" ! maladie ou autre ? J'ai cherché parmi les ouvrages le traitant, dans l'espoir d'avoir un récit au plus proche de la réalité, ici, on s'en rapproche beaucoup.



Caius Cesar Auguste Germanicus est né en Germanie dans un camp romain. Son surnom de Caligula, la petite Sandale en latin, est donné par les légionnaires à l'adolescent. L'auteur Roger Caratini nous détaille très succinctement sa personnalité. C'est un personnage extraverti aux orientations sexuelles sur les deux sexes, ne faisant pas de distinction entre un rapport et un inceste.

Les faits de folies sont peu au final. Reste que le peu de bonnes réformes qu'il a faites ont été emportés par ses crises de folies qui forcèrent un assassinat sur sa personne par sa garde. Sur l'ordre de qui? cela n'est pas dit non plus. Un bon livre, mais qui laisse beaucoup de parenthèses ouvertes.



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Caligula : Le mal-aimé

Livre pertinent, car on y découvre un autre Caligula, entre les ragots et les faits historiques.
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Dictionnaire des nationalités et des minorités ..

Cela reste un excellent livre même si l'URSS n'existe plus. Les minorités en question existent toujours, même si maintenant elles sont minorités d'autres pays.

Il manque, bien sûr, toute l'histoire récente, parfois extrêmement mouvementée, de ces minorités.

Mais pour tout ce qui concerne l'histoire et les langues, ce livre n'a pas vieilli de mon point de vue, bien qu'il soit tout aussi certain qu'un livre plus actuel serait bienvenu.
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Initiation à la philosophie

Cet ouvrage, paru une première fois en 2000, est sous-titrée "Les grands courants de pensée, les grands philosophes" ; son auteur Roger Caratini est d'ailleurs décédé en 2009. L'ouvrage se décompose en deux très grandes parties, la première propose les grands courants de l'histoire de la philosophie.



Il y a là treize chapitres précédés d'ailleurs d'une petite dizaine de pages qui sont une tentative pour identifier les origines de la philosophie. Ceci amène à citer Thalès de Millet né vers 625-620 av. J.-C en Ionie et mort vers 548-545 av. J.-C. On connaît ce dernier pour le théorème de Thalès qui permet de calculer des rapports de longueur et de mettre en évidence des relations de proportionnalité dans des cas de parallélisme.



Sont allègrement revisités successivement les présocratiques, Socrate, Platon et Aristote, le stoïcisme, l'épicurisme, le néoplatonisme, les philosophies s'inspirant du christianisme, les philosophes italiens de la Renaissance (dont Machiavel et Gioradano Bruno), le cartésianisme, le kantisme, le postkantisme, l'hégélianisme, Nietzsche, Auguste Comte. Les auteurs de la philosophie occidentale pour la fin du XIXe siècle et le premier tiers du XXe siècle sont regroupés dans un tableau de classifications.



Le second grand volet de ce livre présente divers thèmes : la logique, l'épistémologie, l'ontologie, le sujet et la connaissance, le monde et l'idée de Dieu, la philosophie de l'esprit et la philosophie de la culture. La dernière partie traite des valeurs et du problème moral.



Dans un supplément, on oriente le lecteur vers des titres d'auteurs francophones du troisième quart du XXe siècle. Un index des noms de personnes citées est offert, des renseignements biographiques suivent chaque philosophe. Se voulant résolument vulgarisateur, le contenu de cet ouvrage permet d'aborder avec délicatesse les fondements de la philosophie occidentale.

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Initiation à la philosophie

Roger Caratini fait partie de ces hommes en voie de disparition que l'on qualifie de polymathe. C'est-à-dire des personnes possédant des connaissances très approfondies dans plusieurs domaines distincts comme la philosophie, les arts et les sciences. C'est le cas de Roger Caratini agrégé de philosophie, mais également diplômé en littérature, mathématique et possédant par ailleurs des connaissances étendues dans divers domaines scientifiques et en histoire. Il a aussi exercé un temps la profession de psychanalyste avant de se lancer, seulement aidé de sa femme et d'un documentaliste dans la rédaction de l'encyclopédie Bordas publié entre 1967 et 1975 (232 volumes). Je retrouve dans son livre « Initiation à la philosophie » sa rigueur intellectuelle et son goût pour les tableaux de synthèse qui ont fait le succès de ses ouvrages de vulgarisation.



D'après l'auteur ce livre s'adresse à des apprentis philosophes ou à des lecteurs épris de culture générale et non à des spécialistes. Il s'agit d'un ouvrage très sérieux, résultat d'un travail impressionnant qui présente, en un seul volume, un panorama étendu de l'histoire de la philosophie et des grands concepts philosophiques.



Ce livre est un livre d'étude qui nécessite une bonne motivation et du temps, car outre ses 719 pages à digérer il comporte des parties de qualité inégales sur le plan didactique. Il a le mérite de présenter un tableau d'ensemble de la philosophie sans prendre le lecteur pour un demeuré auquel il faut parler comme à un enfant en simplifiant à l'extrême.



L'ouvrage de Roger Caratini est en deux grandes parties, la première consacrée à l'histoire de la philosophie et la deuxième aux thèmes d'études de la philosophie (Logique, épistémologie, ontologie, connaissance, le monde et l'idée de Dieu, la morale, etc.). La partie la plus facile et a plus agréable à lire est celle consacré à l'histoire de la philosophie dans laquelle les principales idées des philosophes et des écoles philosophiques sont expliquées avec juste ce qu'il faut de contexte historique pour bien situer les périodes. J'ai retenu en particulier en lisant cette première partie que pour lire Aristote avec profit et d'une manière générale tous les philosophes de l'antiquité il faudrait faire abstraction de toutes les connaissances que nous possédons sur la science, la nature, la physique et la philosophie contemporaine. En effet, selon l'auteur, ce qu'a écrit Aristote (des milliers de pages sur la physique et sur la métaphysique) aurait pu être écrit par un enfant de 5 ans prodigieusement intelligent et éloquent, mais parfaitement ignorant en science et en biologie. Aristote avait la rude tâche d'expliquer le monde à partir de presque rien.



La deuxième partie rentre dans le vif du sujet et comporte quelques passages difficiles. Par exemple le passage consacré à la logique de la page 379 à la page 487 peut-être simplement survolée pour ceux comme moi qui ne maîtrise pas le langage mathématique. L'auteur, de formation pluridisciplinaire, philo, sciences et math, c'est un peu fait plaisir en allant jusqu'à nous exposer, formules à l'appui, la mécanique relativiste. Toutefois, lorsque les équations et les chiffres disparaissent le texte seul reste compréhensible.



Malgré cela j'ai pu tirer un immense profit de cette lecture qui complète utilement mon exploration du monde de la philosophie.



On trouve à la fin de l'ouvrage une abondante bibliographie avec des conseils de lectures argumentés ainsi qu'un index sur les noms cités et sur les thèmes principaux.



Pour ceux qui préféreraient commencer par des ouvrages plus faciles à aborder, mais tout aussi sérieux, je conseillerais « Sagesses d'hier et d'aujourd'hui » de Luc Ferry et « L'étonnement philosophique » de Jeanne Hersch pour lesquels j'ai aussi rédigé des critiques dans Babelio ainsi que pour « Mythologie et Philosophie » de Luc Ferry.



— « Initiation à la philosophie », Roger Caratini, l'Archipel (2006), 719 pages.
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Initiation à la philosophie

L'histoire de la philosophie, un excellent livre; toutefois un gros passage sur les maths assez pénible a lire ( pour ma part).
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Jules César

souvenir de lecture, en ce 15 mars, jour anniversaire de la mort de César...

Bien évidemment, il vaut mieux lire une biographie sérieuse, ou "la guerre des Gaules" de César...



mais, j'aime bien de temps à autre, un bon roman historique...
Lien : http://mazel-livres.blogspot..
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Jules César

Grand auteur de biographies historiques, Roger Caratini se consacre ici à la très célèbre figure de Jules César, de son enfance à sa mort prématurée sur les marches du sénat sous les coups des conjurés réunis par Brutus et Cassius. C'est un destin hors du commun que nous présente R. Caratini avec talent et beaucoup de minutie. Nul doute que ses recherches furent fort nombreuses et menées avec rigueur. On retrouve bien sûr les grands événements connus de la vie de César : la formation du premier triumvirat, son accès au consulat, la Guerre des Gaules et sa victoire face à Vercingetorix, sa rivalité avec Pompée, ses aventures en Égypte auprès de Cléopâtre, sa volonté de réformer la République... Mais le roman contient également un certain nombre d'épisodes bien plus inédits, aussi même si vous êtes déjà familiers de son histoire, vous apprendrez malgré tout un bon nombre de choses.



C'est également toute l'ambiance de la Rome antique du Ier siècle avant JC qu'est parvenu à restituer R. Caratini : le sentiment d'un malaise de la République et de toute puissance face aux autres peuples, l'ascension de grands « imperatores », la volonté de s'élever au rang de plus grande puissance mondiale... La reconstitution de la ville de Rome est également très réussie et c'est avec plaisir qu'on l'arpente et que l'on découvre ses coins et recoins. Le roman fourmille également de détails liés à la vie quotidienne dans la Rome de l'époque : l'habillement, le logement, les rites de passage à l'âge adulte, la participation à la vie politique... Une très bonne façon de découvrir la vie de ce personnage captivant et au delà de toute une civilisation autrement qu'à travers les manuels d'histoire. A noter que R. Caratini a également consacré une autre biographie à l'héritier de César et véritable fondateur de l'Empire : Octave-Auguste.
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Jules César, tome 1 : Rome, ville à vendre

Un superbe premier tome d'une trilogie consacrée à Jules Vesar un des personnages les plus romances de l'histoire par un auteur qui a fait un gros travail de recherche qui reussit a nous faire revivre l'ambiance de l'epoque.On vit ici le debut de la vie publique de Cesar et sa montee en puissance grace a une intelligence politique dessus de la moyenne qui va lui permettre de manipuler ses opposants pour petit a petit gagner en pouvoir.Un lvre passionnant !
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Jules César, tome 1 : Rome, ville à vendre

Dans mon souvenir c'est dans ce livre qu'on apprend que jules césar habitait un quartier pauvre de Rome, celui de subure, il n'était pas un nanti au départ.
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Jules César, tome 2 : La Symphonie gauloise

La seconde partie de la trilogie nous mene jusqu'à la fin de la guerre des gaulle et la redition de Vercongetorix.Ce second tome est dans la lignée du premier,tres bien documenté,tres agreable a decouvrir un roman d'aventures historiques qui m'a passionné ou le genie militaire de Cesar est exposé.On a hate de se lancer dans le dernier tome apres cette lecture !
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Jules César, tome 3 : Le crépuscule du dieu

La fin de la trilogie qui nous conte la fin de la guerre des gaules jusqu'à la fin tragique de Cesar sous les coups de poignard de Brutus et Cinna.Comme les deux premiers tomes celui ci colle aux faits et a la realite et peut se lire comme un reportage sur les événements de la vie de cet homme legendaire chef de guerre génial, stratege et aussi respectueux des lois romaines et de ses adversaires vaincus.Une trilogie passionante que je vous conseille de decouvrir.
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L'Egyptomanie : Une imposture

Quand on veut dénoncer l'égyptomanie de masse en rétablissant la vérité sur l'Egypte pharaonique mise à mal dans les ouvrages de vulgarisation qui se multiplient, idée plutôt intéressante à la base, autant s'assurer de le faire correctement et de présenter des arguments valables appuyés sur des faits exacts et non avec des imprécisions et des erreurs flagrantes qui jalonnent tout le livre.

L'auteur passe en réalité 240 pages à glorifier la civilisation sumérienne et affirmer que la civilisation égyptienne, quasiment "primitive n'a rien inventé et n'a fait que piquer les idées des autres.



Le manque de maîtrise du sujet est tellement évident que ça en devient risible. L'imposture n'est pas l'égyptomanie mais bien l'ouvrage en lui-même....
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L'Islam, cet inconnu

Une œuvre encyclopédique extraordinaire. Un must dans le genre.

Le livre est beaucoup trop « immense » pour oser en dire davantage.

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Napoléon : Une imposture

L'imposture n'est pas ou l'on l'attendrait



Lorsque j’ai acquis ce livre, je ne connaissais pas Monsieur Caratini, et je recherchais un livre qui aborde la légende « noire » de Napoléon.

Quelle n’a pas été ma déception à la lecture de cette imposture. L’essentiel du livre est composé d’élucubrations sur le caractère de Napoléon, son adolescence, basé sur des démonstrations et des argument quasiment inexistants.

Depuis deux siècles les critiques de Napoléon n’ont pas manquées. Je pense qu’il y avait matière à un ouvrage plus sérieux.



J’ai depuis appris à mieux connaître Caratini, au travers de plusieurs émissions de radio , et j’ai cru comprendre que son fond de commerce est principalement ce type d’ouvrage au titre racoleur. Pour s’en convaincre , il suffit de consulter la liste de ses livres sur ce site. Le nombre de fois ou le mot imposture apparaît dans le titre est effarant.
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Ça a débuté comme ça . J'étais en prison avec Jésus et ......?............., une soif terrible me tenaillait.

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