Roman Surzhenko

Nous voici parti à la découverte de la jeunesse de Thorgal. Nous le retrouvons enfant, accompagné d'Aaricia qui l'aime déjà éperdument. Mais la vie est mal faite et Thorgal doit accomplir avant tout son destin. Ici, le récit porte sur la légende des trois sœurs Minkelsonn. Lecture très plaisante dans le monde magique et glacé du grand Nord.

Un superbe album tant au niveau des dessins qui sont juste magnifiques qu'en ce qui concerne l'histoire qui est captivante de bout en bout. On découvre dans cette série parallèle la petite Louve, fille de Thorgal, dont on ne savait pas grand chose jusqu'à présent.

Cet album est annoncé comme le dernier de la série "Louve", les aventure de la jeune rebelle se confondront désormais avec celles de son illustre père Thorgal, même si la fin de cet album reste ouverte, avec un mystérieux "fin de l'épisode " inédit...

Le moins qu'on puisse dire c'est que ce finale est riche en actions et en rebondissements ! Aaricia, Louve, Vigrid le petit Dieu déchu, Tjahzi le nain, Yasmina la princesse transformée en guenon, tout le monde prend sa part de courage et d'héroïsme. Il y a aussi de monde côté méchants, à commencer par le redoutable serpent éponyme, cruel et intraitable ; on retrouve également des albums précédents Lolth, terrible reine des Alfes noirs, et le vieillard Azzalepstön qui a plus que jamais un compte à régler avec Louve.

Avec toute cette effervescence on ne s'ennuie pas une minute, en revanche j'ai regretté la fin, un peu facile à mon goût. Je doute qu'il soit si aisé pour Vigrid de prendre aussi aisément la place de Nidhogg quand on voit toutes les contraintes dont regorge la mythologie thorgalienne ! Et c'est un moyen bien simpliste, et finalement très commode, de faire renoncer Lolth et Azzalepstön. Soit. Je regretterai le petit Dieu, même s'il a commis des erreurs c'était un des personnages que j'affectionne.

Mais je reste fan inconditionnelle de Thorgal et sa famille, et donc forcément bienveillante et bon public.

J'ai hâte en tout cas de voir le moment où les histoires se rejoindront !

Suite de la série dérivée "les mondes de Thorgal, la jeunesse", cet album met en scène Thorgal adolescent dans sa quête pour aider les soeurs Minkelsönn (voir tome 1). Sur son chemin, une Walkyrie, trois nornes, une fontaine magique, des nixes, et les habitants toujours aussi hostiles de son village. Une aventure variée et rythmée.

Quel plaisir de retrouver l'univers de Thorgal, LE Thorgal. Pas franchement convaincue par la tournure que prend la série, ni par les deux séries dérivées "Kriss de Valnor" et "Louve", j'ai ici beaucoup apprécié l'intrigue et le très beau graphisme de Roman Surzhenko. Mais j'ai surtout aimé retrouver le jeune Thorgal, à qui personne ne résiste, avec son charme, son courage, sa fougue et sa pureté, et bien-sûr son amour plus fort que tout pour Aaricia. En redécouvrant ces paramètres fondateurs de l'âme de la série je me suis rendue compte à quel point ils m'avaient manqués.

Les relations entre Aaricia et sa fille Louve sont de plus en plus électriques. La mère imposant à sa fille à devenir une femme au foyer, et Louve qui pour refuser cet unique choix car elle aimerait devenir tout le contraire, s'enfuit avec sa seule amie la chouette mécanique Avrenim... Mais si jeune dans cette forêt avec à ses trousses Crow, cela s'annonce très mal pour cette enfant d'être seul et ne pouvoir compter que sur elle-même...



Tandis que Lunden, maléfiquement manipulateur qui dans les tomes précédents à réussit à atteindre le lit d'Aaricia, veut maintenant se débarrasser de Louve, pour avoir Aaricia pour lui seul, et il est prêt à se laver les mains en payant d'autres pour le sale boulot... Un parallèle à notre monde dont cela est hélas toujours d'actualité.



Le tout superbement bien dessiné par Grzegorz Rosinski et colorié par Roman Surzhenko ♥

Avec le dernier tome de cette série parallèle, j'affirme que "Louve" fut d'un très bon niveau bien meilleur que les derniers albums de la séries originales, mais comme tout est censé se regrouper on peut espérer une belle fin. Pour ce dernier tome, les auteurs ont continué les clins d'oeil à la série originale et nous offre un scénario qui dans un premier temps va paraitre inintéressant et long mais qui va sur la fin être palpitant avec de nombreuses péripéties et de bonnes surprises. Pas de changement dans le dessin de Surzhenko donc un excellent dessin.

Ainsi s'achèvent les aventures de Louve, la fille intrépide d'Aaricia et Thorgal qui a enfin eu droit a sa propre saga.



Ce spin off était bien sympathique.

En réunissant divers personnages de la série originale tels Vigrid, la gardienne des clés, Nidhogg, Tjahzi...au sein d'un petit scénario bien ficelé, plaisant à suivre et rappelant les albums 7 et 14 consacrés à l'enfance de Thorgal et Aaricia, les auteurs ont joué la carte de la nostalgie, donnant envie de (re)lire la série :)

J’ai profité d’un petit passage éclair chez mes parents pour me remettre à jour dans les Thorgal et suis tombée sur La reine des Alfes noirs, titre parfait pour le Challenge Un mot, des titres.



Bizarrement, je suis un peu déçue de cette lecture. D’habitude les BD de cet univers m’emballent beaucoup plus que ça. Bon, j’ai tout de même passé un bon moment, mais je n’ai pas trouvé l’histoire aussi bien que les précédentes. Il faut dire aussi qu’elle est extrêmement rapide : c’est un peu le problème des BD en général. Ça commence à peine que c’est déjà terminé… D’un autre côté, en 48 pages, il est difficile de faire autrement sans frustrer le lecteur en coupant l’histoire en plein milieu.

Cependant, l’histoire est intéressante : j’ai beaucoup aimé l’idée de devoir sauver des nains réduits en esclavage par une méchante reine bien décidée à mettre le chaos en ce bas monde. Etrangement, ça m’a un peu rappelé une certaine Kriss de Valnor, bien que leurs motivations restent très différentes.

J’ai également apprécié découvrir un certain personnage sous une nouvelle forme (les punitions des dieux ne sont pas vraiment sympa’) ce qui nous permet de le connaître un peu plus : après tout, il est là depuis les tous premiers tomes de Thorgal et pourtant l’on ne sait pas grand-chose de lui.

L’autre bonne découverte est la place d’Aaricia dans ce tome : elle ne fait pas grand-chose mais elle est présente tout au long du livre et non en train de faire le ménage dans une hutte. Bref, ça m’a fait plaisir.



Comme toujours avec Surzhenko et Yann, les dialogues sont fluides, les dessins jolis et les pages se tournent d’elles-mêmes. Je suis très curieuse de découvrir la suite de cette histoire et les probables retrouvailles de la famille à Bag Dadh.

Une lecture agréable.
Lien : http://lunazione.over-blog.c..

Yann et Surzhenko développent et prolongent de façon convaincante l’univers créé par Jean Van Hamme et Grzegorz Rosinski. "La Jeunesse" est l’une des mini-séries dérivées les plus inspirées.
Lien : http://www.actuabd.com/La-Je..

Décidément, j'adore les dessins de Surzhenko qui sont droits dans la lignée de Rosinski, et correspondent très bien à la série "Louve", comme à la série de "La jeunesse de Thorgal".

Pour le scénario, Yann continue de faire vivre cette petite héroïne de Louve qui, même sans sa partie animale, a bien plus de caractère que sa mère, la belle Aaricia. J'attends avec impatience de rassembler les pièces de cette intrigue, entre les trois série "Thorgal" & "Kriss de Valnor" & "Louve" pour arriver à un dénouement qui traîne un peu en longueur, mais je ne me lasse pas de ces personnages qui ont peuplé mon enfance et continuent de s'enrichir de nouvelles aventures où l'on retrouve avec plaisir Vigrid le bienveillant (enfin l'ex-bienveillant, visiblement !).

Les Dieux sont-ils donc si cruels qu'en plus de se battre entre eux, ils exigent des humains de régler leurs problèmes à leur place ?

C'est ce qui ressort de cette deuxième aventure de la Jeunesse de Thorgal, suite de l'album Les trois soeurs Minkelsönn. C'est avec plaisir que l'on retrouve let jeune Thorgal, scalde à la voix mélodieuse, parti en quête de l'œil d'Odin pour satisfaire la déesse Frigg. De sa bravoure et son charme dépendent l'issue de cette aventure en deux tomes.

Si l'on s'était pris de lassitude pour la série principale qui continue toutefois son chemin, on retrouve ici sous le trait de Surzhenko la fraîcheur des premiers albums de Thorgal, mise en scène par Yann qui confirme (s'il était nécessaire de le faire) sa capacité à jouer dans de nombreux registres.

Un réel potentiel est né de l'union de ces deux artistes qui prennent visiblement beaucoup de bonheur à mettre leurs pas dans ceux de leurs prédécesseurs.

Ce deuxième tome confirme le premier dans l'histoire de la petite Louve. Devenue “deux” elle doit aller chercher la main coupée du dieu Tyr dont on nous conte l'histoire avec celle de Fenrir. À travers ce récit en apparence simple et gentil, c'est le panthéon viking qui nous est donné de découvrir et c'est sans difficultés que nous arrivons à suivre trois histoires en une, le destin des deux Louve et l'attente d'Aaricia. Cette dernière espère toujours le retour de Thorgal parti à la recherche de son fils Aniel, celui de Jolan qui suit seul son destin, et le retour de Louve dont la disparition est la cause de l'isolement de sa mère et la jalousie des autres femmes du village.

Durango reste un western très classique à la base (genre années 70 western spaghetti avec des héros taiseux et crasseux), la jeunesse qui nous est proposée l'est tout autant : un jeune vagabond croise la route d'un tueur qui laisse des cadavres dérriere lui. Témoin des meurtres, ii se fait engager par le patron du plus grand ranch de la région et rencontre ses filles : l'une prête à tout pour partir à la ville loin de la poussière et des cow boys, l'autre plus impliquée dans les activités de son père, en dépit de celui ci. Les dissensions entre les voisins, éleveurs blancs et métis sont attisés par un tiers que seul Durango a remarqué. Après avoir quasi éliminé la famille des Wesbury, métis indiens, en manipulant les Warren et les Belvins, il s'attaque à ceux ci. Suite à une rencontre entre l'ainée de son patron avec un avocat, le jeune homme découvre que le tueur est associé à l'avocat.

e trait fin et précis de Surzhenko va plutôt bien à ce prequel de Durango. L'intrigue est une invite à redécouvrir un personnage assez monolithique. Les autres personnages restent dans la caricature (les "méchants" éleveurs, l'avocat affairiste, les faibles femmes... Dans le style, c'est plutôt pas mal.

1886.

La tension devient de plus en plus palpable dans le nord du Texas. Trois familles de fermiers se côtoient mais ne s'apprécient guère, et pour cause, les Belvins sont d'anciens confédérés pur-jus.

Owen Warren est un ancien officier de l'Union, et si les deux patriarches semblent se respecter, de par leur ancienne carrière militaire,cela s'arrête bien là.

Quant au vieux Wesburry, son cheptel de moutons et sa famille métissée sont la cible de tous les cowboys de toute la région.

Tous les éléments sont donc présents pour que la situation prenne une tournure tragique d'un instant à l'autre.

Et dès que les premiers morts touchent à peine le sol, c'est l'embrasement général.

Mais qui est responsable de tout ça ?

Le jeune vagabond recueilli par les Warren aurait bien son idée sur la question...



Du bon vieux western pur-jus, avec les conflits entre éleveurs qui dégénèrent à la moindre occasion.

On n'a pas oublié les ingrédients classiques, l'antagonisme naturel entre nordistes et sudistes, tout en saupoudrant le tout avec la sempiternelle haine des indiens, commune à tous.

Tout se met naturellement en place, et il faudra attendre le prochain tome pour en savoir encore un peu plus...

Durango est un western plutôt classique à la base, la jeunesse qui nous est proposée l'est tout autant : un jeune vagabond croise la route d'un tueur qui laisse des cadavres dérriere lui. Témoin des meurtres, il rammene les morts à la ville voisine et se fait engager par le patron des victimes. Le trait fin et précis de Surzhenko va plutôt bien à ce prequel de Durango. L'intrigue est une invite à redécouvrir un personnage assez monolithique. Pourquoi pas? A suivre.

C'est le premier tome (d'un cycle de 3 albums) de la deuxième série parallèle des « Mondes de Thorgal ».

Dans ce premier volume intitulé Raïssa , elle lie connaissance avec une meute de loups qui terrorise les voyageurs égarés. Aussi téméraire que son père, elle brave le danger et va en apprendre un peu plus sur l'origine de son nom... et sur elle-même !



je suis passé voir mon libraire pour l'opération 48h de BD...

J'ai donc pu découvrir Louve, la fille de Thorgal, qui a le don de parler aux animaux, ce qui l'amène à devenir amie avec un loup et à en découvrir davantage sur ses origines, mais l'amour de louve pour son père sera utilisée contre elle.



Les dessins sont sympathiques, la colorisation est bonne tout en restant classique.

je ne connaissais la BD Thorgal que de nom, et je découvre qu'il en existe une pléthore, je ne pense pas que je les lirai toutes, mais il est vrai que cette jeune Louve m'a donné envie d'en découvrir davantage sur le monde de thorgal.

Louve fait preuve d'un grand courage an osant demander son aide à Nidhogg le serpent géant, pour contrecarrer les plans des Alfes noirs qui cherchent à provoquer le chaos des mondes. Parviendra-t-elle à ses fins ? J'ai trouvé les scènes avec le serpent assez longues. De plus, il y a énormément de personnages et de références à des personnages des tomes précédents ou de la série mère et on s'y perd vite. Malgré tout, la lecture reste distrayante.

Louve ne peut se résoudre à rester les bras croisés et part à la recherche du petit berceau de Thorgal. Cet album parallèle à la série Thorgal nous permet de mieux découvrir cette petite fille assez spéciale et très attachante qui nous entraîne dans des aventures trépidantes. Ici, Louve affronte la reine des Alfes noirs.

Louve toujours amputée de sa part sauvage mais aidée de Vigrid, doit récupérer le dextre de Tyr à Fenrir. Cette série nous propose une grande épopée dont Louve est la principale héroïne. Nous découvrons à travers ce tome, un nouvel épisode de la mythologie nordique.

On pensait Louve, réconciliée avec sa mère Aaricia, enfin décidée à attendre sagement le retour de Thorgal, dans leur village. C'est bien mal connaître la fillette téméraire, qui part très vite à la recherche de son père. Cette quête sera prétexte à de nombreuses aventures, toutes plus extraordinaires les unes que les autres.

Cet album renoue avec de nombreux personnages de la série originale : les Dieux Frigg et Vigrid, la gardienne des clés, Tjahzi le nain.

On y apprend également la véritable identité de Yasmina, le singe qui accompagne Louve depuis trois épisodes.

L'histoire est très fournie et riche en rebondissements, et se termine en plein suspense : que va-t-il advenir de Louve? Qu'a compris Vigrid, surveillé de près par Yasmina? Thorgal est-il revenu? Qu'est-il arrivé à Aaricia? Louve a-t-elle rencontré le serpent Nidhogg?

Le prochain album, dernier de la série dérivée, promet d'être riche en événements!