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Critiques de Thierry Robberecht (198)
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Le kleptomane

Mathieu aime le rap alors que son père est un célèbre musicien de Jazz.



Lorsqu'un accident révèle la propension de ce dernier à voler de manière compulsive tout et n'importe quoi dans les magasins, sa famille s'effondre.



Il part vivre chez sa tante mais continue à s'inquiéter pour son père qui lâche prise et s'enferme dans sa maladie.



Un jour, la maison est cambriolée, tout est sacagé mais rien n'a disparu. La police enquête...



Un roman qui dans sa première partie énonce et décrit avec réalisme ce qu'est la kleptomanie et l'incompréhension et la honte qu'elle suscite chez les proches.



Ensuite le récit est détourné par une enquête policière plus classique.



C'est la musique notamment et l'amour qui vont permettre au jeune garçon de conserver un lien avec son père.



Un récit original par son thème, à découvrir...
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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Reborn : Le nouveau monde

Reborn





En 2064, la Terre n'est plus habitable. Seuls les plus riches ont pu se payer le transfert vers Reborn, la nouvelle planète. Pour offrir à leur fils un avenir, les parents de Chuong ont fait appel à un passeur. Mais sur la nouvelle planète, Chuong doit se cacher pour échapper aux intercepteurs, car il est invasif…







Chuong est un invasif (les humains qui se font chasser de Reborn), jeune qui doit survivre sur la nouvelle planète.

C'est mon personnage préféré car c'est celui qui apparaît le plus dans l'histoire, il doit survivre et c'est un adolescent.







L'auteur fait parler Chuong comme un adolescent normal, c'est un récit chronologique.







L'histoire m'a paru captivante car on veut savoir la suite. Ce livre m'a fait réfléchir un peu car si la Terre était plus habitable comment ferais-je, pourrait-on survivre ?





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C'est l'histoire d'un ado, Chuong,qui doit se débrouiller seul sur une nouvelle planète, Reborn, sans ses parents. C'est une variante quête : il doit s'échapper pour ne pas retourner sur la terre et rester sur Reborn. J'aime lire ce genre d'histoire mais ce livre ne m'a pas spécialement plu.

Chuong est une personne qui aime l'aventure, il est courageux, timide, maladroit est curieux. Chuong est plutôt renfermé, ses relations ne sont pas très bonnes, tout le monde le recherche pour le mettre en prison sauf Mme Nguyen qui lui donne de l'argent et Richard, un sans abri qui le loge dans une usine désaffectée. Je trouve que Chuong est méchant car quand Mme Nguyen n'est pas là, Chuong lui vole de l'argent.

L'auteur utilise des phrases très longues, son vocabulaire est plutôt vulgaire, les phrases ne sont pas marrantes, il y a beaucoup de flash-backs, il y a beaucoup d'intrigues.

Le narrateur est subjectif, Chuong est son propre narrateur.

Je trouve que l'histoire est étrange est émouvante. Ce livre ne m'a pas fait réfléchir mais j'ai eu de la peine pour Chuong car il a perdu ses parents et il m'a ému, il m'a pas fait rire, il ne m'a pas fait rêver.

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La planète n'est plus habitable, une famille n'a pas assez d'argent pour se payer une place pour partir habiter sur une nouvelle planète appelée "Reborn" donc elle décide d'envoyer son fils seul sur cette nouvelle planète. Mais il n'a pas son passeport pour y habiter donc il devra se protéger de la police avec ses amis qui l'ont accompagné mais eux non plus ne sont pas déclarés. C'est un livre de science fiction. Le schéma narratif du livre selon moi est celui d'une variante de quête : les personnages essaient de se sortir d'une situation apocalyptique. Mon personnage préféré de l’histoire est Chuong car c'est le plus courageux et il est gentil et héroïque. Il n'y a pas de chose que je n'apprécie pas chez les personnages de ce livre. Chuong a ses ami(e)s qui l'ont suivi. Je ne me suis pas senti proche vraiment d'un personnage. Les phrases sont plutôt normales selon moi. Il n'y a pas de moment drôle ce que je trouve regrettable. J'ai plutôt apprécié le livre car j'aime ce genre de chose dans les films ou les livres mais je ne mets pas 5 étoiles ou encore 4 car je n'aime pas vraiment lire mais sinon j'ai plutôt aimé...

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Le schéma type de ce livre c'est plutôt une quête : la quête est que les personnages doivent aller sur R E B O R N et faire de leur possible pour y aller mais ils ont quelqu'un qui va les en empêcher car il n'y a que les riches qui ont le droit d'aller sur R E B O R N .

Chuong est un bon personnage même si je pense que l'on n'a pas à le qualifier de héros, il paraît comme un bon personnage alors je dirais qu'il est courageux, qu'il est timide, fort, etc. Je n'ai pas de personnage préféré car ils sont tous mes personnages préférés sauf évidement les méchants dans l'histoire. J'ai aimé mais je n'ai pas vraiment compris l'histoire car l'auteur n'écrit pas facilement les choses, je n'ai pas vraiment compris mais ça partait d'un bon sens, l'histoire a 2 à 3 passages drôles mais pas trop non plus et puis ce sont de longues phrases. Il y a aussi des flash-backs le récit est plus dynamique qu'ennuyant. L'histoire est plutôt captivante et émouvante car il y a une part d'inégalité dans ce récit le livre m'a effectivement fait réfléchir à propos de mon père mais je ne veux pas en parler … le livre m'a fait sourire et je suis contre les inégalités entre les hommes et femmes et envers l'argent car : « l'argent ne fait pas le bonheur ».





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La cache

Deuxième lecture scolaire de mon Grand qui se conclut par ce commentaire sans appel, prononcé avec autant de dépit que de mauvaise humeur contenue : « La fin est trop nulle ! » « Ah bon ? » m’étonne-je. « Attends, je vais te la lire… » « Ah non, non ! Surtout pas ! Je le lis, si tu veux et on en discute après… » « Tiens ! » a-t-il conclu en me mettant sans ménagement « La cache » de Thierry Robebrecht entre les mains avant d’aller se coucher avec un autre roman plus à son goût… Bon…



Une petite heure plus tard, je referme ce livre, qui n’est pas tout à fait un roman mais plutôt une longue nouvelle et je comprends et partage toute l’intense frustration qui se cachait derrière la sentence prononcée par mon fils.



L’histoire est simple : un camp de migrants a été installé à deux pas de chez Elsa, 14 ans. Curieuse, l’adolescence s’y rend pour voir d’elle-même à quoi ressemble la vie des réfugiés et se retrouve face à une dure réalité qu’elle n’avait jusque là pas pu imaginer. Une seule idée lui trotte alors en tête : comme apporter son aide ?



Le texte de Thierry Robberecht illustre une thématique difficile à aborder avec les plus jeunes (et parfois même avec certains adultes) : les migrants. Et s’il est un reproche à adresser à ce livre, c’est justement qu’il survole beaucoup trop rapidement cette problématique : en 75 pages, on se prend en pleine figure la détresse des migrants démunis, entassés sans aucune considération dans des tentes au sein d’un camp, les descentes de police, le froid, la faim, l’extrême droite, le rejet mais aussi la découverte de l’autre, l’entraide, la solidarité, les moyens dérisoires pour aider, l’impuissance que l’on peut ressentir. Tout cela brosse un tableau très fidèle de la réalité et il y a beaucoup d’émotion dans ce texte mais il se termine de manière très abrupte et, au final, l’ensemble suscite encore plus de questions qu’il n’apporte de réponses.



En soi, ce n’est pas un problème et je suis réellement convaincue que cette lecture est très enrichissante mais, malheureusement, elle ne se suffit pas à elle-même : il faut vraiment l’accompagner d’une discussion, en prenant le temps de la décortiquer avec le jeune lecteur, en reprenant pas à pas toutes les facettes abordées à la va-vite, en discutant, en échangeant les points de vue, en sondant les émotions suscitées par la lecture. Ce prolongement de lecture, je n’hésiterai pas une seule seconde à le réaliser avec mon fils.
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Onnuzel

Drôle de titre me direz-vous. Effectivement.

N’étant pas Bruxelloise, je n’avais jamais entendu ce mot avant de recevoir le livre choisi sur Masse Critique et publié chez Weyrich.

« L’onnuzel, ignore tout, ne comprend rien, mais il est obstiné... ; » nous dit l’auteur. Onnuzel, c’est une expression bruxelloise très proche de « fada », qui vient du flamand et signifie « imbécile ».

Le gamin de 8 ans dont il est question ici est un peu niais, naïf et pas très futé. Mais il observe et cherche à comprendre ce qu’on lui cache. Ce que sa mère lui cache. Ce qu’il veut comprendre lui c’est pourquoi elle méprise autant les hommes. Où est son père ? Pourquoi est-il parti ? Qui était-il ? Qu’est-il arrivé quand il était petit et dont il ne se souvient pas ? Il a l’impression que s’il savait, s’il retrouvait ce père absent, sa vie changerait car ne pas savoir le bloque, le mine et occupe toutes ses pensées. Et la douleur que sa mère affiche chaque jour se dissiperait sans doute. « Il a disparu le père, mais il est partout. » Cette mère désespérée et désespérante, tellement enfermée dans ses remords et ses déceptions qu’elle élève ses enfants dans la haine du père disparu tout en donnant aux apparences celle d’une mère parfaite, se sacrifiant pour ses enfants. Pauvres petits déjà investis d’un si lourd passé qu’ils doivent porter malgré eux.

Le récit se passe dans les années 60, à Molenbeek, bien loin des « Golden Sixties ». Baudouin est roi, le Congo est indépendant depuis peu et les anciens, ceux qui y ont vécu, sont d’une grande nostalgie quand ils évoquent ces années-là. Thierry Robberecht dresse le portrait triste mais juste d’une société et d’une famille sans réelle joie, terne, vivant de souvenirs et de regrets. A l’image de la mère qui a fait un mauvais mariage et se retrouve perdue, seule dans la vie.

Le roman est raconté d’un point de vue de l’enfant, exposé à la condescendance des uns et à l’hostilité des autres. Un enfant à qui les adultes ont volé l’insouciance par leur non-dit étouffants et leurs reproches incessants.

Ce très court roman flirte avec le journal intime mais il est raconté à la 3e personne. C’est sans doute ce qui m’a gênée. Le récit lie intimement le regard naïf de l’enfant et celui de l’adulte a posteriori, le style haché, bref, d’une narration enfantine et les belles tournures, les figures de style léchées de l’adulte. C’est déstabilisant.

Cependant ce roman évoquant une relation toxique d’une mère enfermée en elle-même reste émouvant et fort tant le besoin d’amour et la haine restent proches d’un bout à l’autre.



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Terminale Terminus

Un livre jeunesse pour un public ado d'environ 13-14 ans.



Louis vient de mourir renversé par un 4X4. Sa soeur Alexia, un an de moins ne comprend pas ce qu'il faisait dans ce coin de la ville loin de chez eux.



Ses parents sont dévastés, elle aussi. La police classe l'enquête, le chauffard n'a pas été arrêté, alors elle enquête à son tour.



Son frère était le souffre douleur de sa classe les dernières années, cela avait changé cette année mais Alexia savait que son frère était malheureux et faisait toujours semblant que tout allait bien. Il ne disait rien à la maison, à quoi bon ajouter de la peine et des soucis aux gens qu'on aime.



Alexia va mener sa propre enquête, découvrir la face cachée de son frère, prendre des risques.



Mais qui était N ?, le seul ami de son frère ?



Le roman est construit comme un polar et nous donne peu à peu une idée de la personnalité de Louis.





En alternance la narratrice , investigatrice Alexia et le journal de Louis nous donnent des informations qui comme des pièces de puzzle, s'emboîtent et nous permettent de comprendre ce qui s'est passé.



Un récit à l'écriture grave, efficace, angoissante par moment. Un court roman efficace bien construit abordant la différence, la drogue, le harcèlement et la poésie.



Ma note : 9.5/10
Lien : https://nathavh49.blogspot.c..
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En fuite

Encore une découverte d’un magnifique roman en littérature jeunesse et d’un auteur dont j’ai très envie de découvrir les autres romans.

Inspirée d’un fait divers, cette histoire est celle d’un rapt parental avec les conséquences tragiques pour chacun, mais surtout pour les enfants. La description de ces conséquences à la fin du livre est d'un intérêt capital à mon sens.

Dans cette courte histoire, l’auteur aborde également les points de vue différents de chacun des protagonistes avec beaucoup de sensibilité et de justesse. Il m’émet pas de jugement sur les faits et gestes de chacun. Mais il nous amène au cœur des choix faits par chacun et des raisons qui les ont poussés dans cette direction. C'est pour moi le deuxième intérêt de ce livre : montrer dans quelles circonstances de tels choix peuvent être faits par un parent, sans cependant retenir cela comme une justification.
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Memo 657

Un peu déçu pour ce petit livre du prix des Incos qui m'avait un peu tapé dans l’œil avec cette première de couverture proche de la science fiction et qui promettait donc de belles promesses !



L'histoire est sympa, le titre bien utilisé dans le corps du texte, il reste néanmoins de grosses invraisemblances ... Le coup du robot qui peut manger des boulons du jour au lendemain, le quasi rapt des deux jeunes garçons en plein milieu de la nuit sans que cela n'émeuve pas plus que ça les autres adultes, la fin, que je ne dévoilerai pas mais qui reste pour moi une vaste blague ...



Bon je suis peut être un peu dure parce que j'en attendais plus mais voilà, ce n'est pas une lecture qui m'a fait tant d'effets que cela !

Mais pour laver son honneur je dois ajouter que les garçons qui l'ont lu (je l'ai proposé en 6ème cette année) l'ont réellement beaucoup aimé et se le sont conseillé entre eux, et ça c'est vraiment chouette !!



L'histoire est assez bien mené et elle est pleine de rebondissements et d'intrigues ce qui est vraiment sympa pour de jeunes lecteurs !

Donc à mettre dans les mains de nos petits même si les adultes passeront peut être leur tour sur celui-ci !
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Terminale Terminus

Noir, fort et profondement injuste. L'histoire de cette soeur qui est passée à côté de son grand frère, de son malaise et qui essaie de lui redonner une fierté dans la mort.

Ce grand frère devenu souffre douleur, mûré dans ses silences. Qui était il ? Comment recréer les zones d'ombre qui entourent sa mort accidentelle ?

On ne ressort pas de ce petit roman indemne car on ressent vraiment la souffrance des personnages, le deuil de la famille, leur incompréhension et la lassitude du héros qui s'est englué dans ses mensonges. La petite soeur enquête animée par une certaine rage et rancoeur, courage que son frère ne semble pas avoir eu. Super bien écrit et efficace malgré une fin un peu trop télévisée.
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Lefranc, tome 23 : L'éternel Shogun

Dans les années 50, Lefranc part pour le Japon, où il enquête sur le vol de l'armure du dernier Shogun. C'est un album plaisant avec beaucoup d'action et de rebondissements. Lefranc verra le retour de son meilleur ennemi Borg, qui donne un coup de main aux Nazis et aux Japonais pour déclencher une nouvelle guerre.
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Mon Père Noël à moi !

Un album sympathique pour rappeler que noël est, et doit rester, un moment de partage.
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Reborn : Le nouveau monde

De nombreuses parties de la Terre devenues inhabitables, une nouvelle planète est colonisée par les Humains. Elle sera baptisée « Reborn ». Les premiers colonisateurs sont les plus riches. Ils ne souhaitent pas partager avec de nouveaux arrivants et prétextent le manque de place pour les refouler. Ceux qui parviennent malgré tout à s’installer sur « Reborn » sont appelés « invasifs » et sont traqués d’autant plus efficacement que les citoyens ont une puce d’identification dans le nombril, qui fait défaut aux invasifs. Ce sont des robots qui « coursent » ceux-ci sans relâche, leur passant le nombril au détecteur... Les "invasifs" sont ainsi tenus de vivre dans la clandestinité. Ils constituent une main d'oeuvre à bon marché pour les citoyens sans scrupules... Heureusement, il y a aussi des citoyens qui n'acceptent pas le rejet des invasifs...

Le lecteur est nécessairement scandalisé du sort injuste réservé aux « invasifs »…

Voilà une bonne façon d’inviter la jeunesse, public cible de ce roman, à faire tous les parallèles avec ce que nous vivons aujourd’hui avec la crise migratoire !

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Le kleptomane

Voici un polar bien ficelé qui accroche le lecteur autour d'un sujet peu traité : la kleptomanie.

Le malade ici est le père et l'enquête menée par Mathieu et Frédéric est une véritable preuve d'amour filial. L'intrigue fonctionne et passionne jusqu'au bout mais un léger excès sur les impacts de cette kleptomanie est à déplorer...un peu exagéré mais toutefois crédible.
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Je ne peux rien faire !

Mais qu'elle est délicieusement vilaine, cette petite là!

Elle existe sur une idée de Thierry Robberecht et est mise en image par Annick Masson.

Elle ne rêve que de bêtises.

Être calme, polie et bien élevée est une dure mission de tous les jours.

Chaque adulte de la famille lui prodiguent les conseils et consignes d'éducation adéquats mais la demoiselle trouve cela peu amusant.

Elle prend le comportement animal pour témoin, eux au moins, ils ont la vie belle. L'hippopotame peut avoir mauvaise haleine,

les singes faire des grimaces,

le lama craché quand il est fâché,

le paresseux ronfler toute la journée.

Même son petit frère peut lui aussi tout faire.

Nous sourions de la malice de la petite chipie qui termine ainsi son catalogage des grandes obligations à se brosser les dents ou de se lever pour aller à l'école.

L'imagination de la petite mécontente déborde de sa page de gauche, cela pourrait très bien se loger dans une bulle de BD livrant ainsi ses pensées les plus chères.

Si si, elle invite même les lecteurs à se livrer à quelques grimaces au final.

Une vraie coquine, une histoire drôle et un petit moment de lecture agréable.
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La Smala, tome 7 : Tapage nocturne

Vraiment chouette .
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Reborn : Le nouveau monde

Dans un futur sombre, les humains ont provoqué de tels dérèglements climatiques qu’ils sont contraints de quitter la Terre pour une autre planète, baptisée Reborn. Or dans ce nouveau monde, seules les classes privilégiées ont la possibilité de s’offrir le voyage…

Roman d’anticipation et de société, cet ouvrage aborde les thèmes de l’immigration clandestine et plus largement des droits de l’Homme. C’est également un triller bien ficelé qui nous tient en haleine jusqu’aux dernières pages !

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Reborn : Le nouveau monde

Reborn nous raconte l'histoire de Chuong un jeune garçon débarqué clandestinement sur une nouvelle Terre, la planète bleue connaissant ses dernières heures. Chuong n'est, bien entendu, pas le bienvenu sur cette planète. Le postulat de départ n'est pas original mais le livre est plutôt plaisant à lire : l'histoire est simple, courte et efficace, alternant descriptions futuristes (sans trop de détails) et péripéties. Cependant je suis restée sur ma faim : le dénouement est vraiment trop facile voire invraisemblable. En résumé, un livre facile à lire mais qui ne laissera pas de souvenir impérissable.
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En fuite

"En fuite" est un récit fort qui ne tombe pas dans le piège du "pathos", de la douleur outrancière qu' impliquerait peut-être un sujet aussi dramatique. Une histoire inspirée de faits réels racontée avec beaucoup de pudeur, de sincérité et une maturité imposée par la situation du héros. Thierry Robberecht livre les pensées de cet adolescent qui se trouve malgré lui piégé par les décisions d'adultes qui ne se comprennent plus, ne s'aiment plus, mais aiment trop leurs enfants sans doute pour faire preuve de sagesse.

C'est Mathieu qui devra se montrer fort, dès lors que son père décide de fuir avec ses enfants, afin que subsiste un cercle familial avec ce trio en cavale, gérant les doutes de son père et les manques maternels de sa petite soeur.

Le jeune homme des bois veillera sur ce père sincère et malgré tout courageux, victime du chantage de vraies crapules reconnaissant les fugitifs. Il gérera également ses propres émotions, ne s'autorisant pas à être l'adolescent qu'il devrait être, posant une maîtrise constante par le mensonge et le non-dit, lui évitant de succomber aux larmes. Ce père n'est pas un criminel mais par la force des choses, là où les passions sèment la discorde, les raisons du coeur, le devient au regard de la Loi. La douleur de la mère n'est pas éludée bien sûr et l'auteur réserve des retrouvailles émouvantes en happy end. L'épisode des frères maîtres chanteurs fait monter le suspens d'un cran et accorde une petite distance à cette fiction. Une réalité dépassant la fiction, une fiction prôche du réelle.

Un road movie qui se tient!A découvrir!
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Memo 657

J'ai été très déçu du style d'écriture de ce livre car on a vraiment l'impression de lire une rédaction d'un élève de collège.

Le récit est écrit à la première personne ; d'habitude c'est plutôt fait pour que le lecteur vive de l'intérieur l'histoire, mais ici, tout est lent, plat, sans action… il n'y a aucune énergie et aucune émotion qui ressort de ce roman. Je ne me suis pas du tout attaché aux personnages ou à leur sort.

Ensuite l'histoire est extrêmement prévisible et bourré de clichés. Une histoire très simpliste qui regorge aussi d'incohérences : Jonas qui revient comme si rien n'était chez lui ; Jeff retrouvé à la casse ; les parents qui libèrent facilement les enfants, sans oublier une fin très (trop) facile… Bref, une écriture très simpliste et une histoire tout aussi naïve pour un roman d'anticipation qui manque clairement d'originalité.

Heureusement - et c'est pour cela que je l'ai lu complètement - le roman est très court (à la limite d’une nouvelle).
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Lefranc, tome 23 : L'éternel Shogun

L'après guerre est compliquée pour le Japon, il se reconstruit lentement sous la tutelle des États-Unis qui occupe le pays.

Cela n'est pas au goût de tout le monde. Les héritiers de l'aristocratie ainsi que quelques nazis de haut rang ont une idée derrière la tête pour reprendre le pouvoir. Lefranc est quant à lui sur les lieux pour réaliser une reportage auprès du service culturel du palais impérial.



C'est un très bon tome de Lefranc, le scénario est passionnant à suivre jusqu'à la dernière page. Graphiquement irréprochable, j'aime particulièrement les albums inspiré de l'histoire ou se passant dans des villes connues car les auteurs excellents pour restituer les lieux avec minutie.
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Lefranc, tome 24 : L'enfant Staline

Lefranc débarque en 1953, en Russie, où il va être au cœur d'une affaire pour le moins originale. J'ai trouvé cette lecture passionnante. J'apprécie plus les intrigues teintées de réalisme, où Borg brille par son absence, qui sont pour moi beaucoup plus crédible.
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