Citations les plus appréciées
Si vous êtes angoissé parce que vous n'avez aucune confiance en vous et pensez que rien de ce que vous faites ne réussira, réfléchissez un peu.
Essayez de voir pourquoi vous vous donnez perdant dès le départ.
Vous ne trouverez aucune raison valable. Le problème vient de votre façon de penser, non d'une incapacité réelle.
Soyez vous-même, les autres sont déjà pris
On croit toujours que certaines relations sont si fortes qu'elles pourront résister à tout, mais ce n'est pas vrai. La confiance qui s'étiole, la lassitude, les mauvais choix, les soleils trompeurs de la séduction, la voix chaude des sales cons, les longues jambes des sales connes, les injustices du destin : tout concourtà tuer l'amour. Dans ce genre de combat inégal, les chances de victoire sont minces et tiennent plus de l'exception que de la règle.
Perdre quelqu'un qu'on a aimé est terrible, mais le pire serait de ne pas l'avoir rencontré
Jamais il n'avait eu le courage de lui avouer son amour. Certains jours, il pensait qu'elle était amoureuse de lui, mais comment en être certain ? Surtout, il ne se sentait pas de taille à supporter un refus. Il l'aimait trop pour ça.
Invictus – Nelson Mandela
Dans la nuit qui m'environne,
Dans les ténèbres qui m'enserrent,
Je loue les dieux qui me donnent une âme
À la fois, noble et fière.
Prisonnier de ma situation,
Je ne veux pas me rebeller.
Meurtri par les tribulations,
Je suis debout, bien que blessé.
En ce lieu d'opprobre et de pleurs,
Je ne vois qu'horreur et ombres.
Les années s'annoncent sombres,
Mais je ne connaîtrai pas la peur.
Aussi étroit que soit le chemin,
Bien qu'on m'accuse et qu'on me blâme;
Je suis le maître de mon destin,
Je suis le capitaine de mon âme.
William Ernest Henley ( 1849-1903 )
C'est ça le problème avec la gnôle, songeai-je en me servant un verre. S'il se passe un truc moche, on boit pour essayer d'oublier; s'il se passe un truc chouette, on boit pour le fêter, et s'il ne se passe rien, on boit pour qu'il se passe quelque chose.
On peut tuer un homme mais pas des idées
« En Afrique traditionnelle, l’individu est inséparable de sa lignée, qui continue de vivre à travers lui et dont il n’est que le prolongement. C’est pourquoi, lorsqu’on veut honorer quelqu’un, on le salue en lançant plusieurs fois non pas son nom personnel (ce que l’on appellerait en Europe le prénom) mais le nom de son clan : « Bâ ! Bâ ! » ou « Diallo ! Diallo ! » ou « Cissé ! Cissé ! » car ce n’est pas un individu isolé que l’on salue, mais, à travers lui, toute la lignée de ses ancêtres. »
Le doute est une force. Une vrai belle force. Veille simplement qu'elle te pousse toujours en avant.
Ou bien parais tel que tu es, ou bien sois tel que tu parais.
Toutes les grandes personnes ont d'abord été des enfants. (Mais peu d'entre elles s'en souviennent.)
c'est drolement dangereux de s'attacher à quelqu'un , c'est incroyable ce que ça peut faire mal . rien que la peur de perdre l'autre est douloureuse . sans nouvelles d'elle ; tout s'écroulait autour de moi . c'est moche de guetter un signe de quelqu'un pour se sentir heureux .
La maladie ne se guérit point en prononçant le nom du médicament, mais en prenant le médicament.
- Tant qu'on ne l'allume pas, la cigarette ne tue pas, a-t-il déclaré, quand maman est arrivée à ma hauteur. Et je n'en ai jamais allumé une seule de ma vie. C'est une sorte de métaphore. Tu glisses le truc qui tue entre tes lèvres, mais tu ne lui donnes pas le pouvoir de te tuer.
Il y a des gens dont le regard vous améliore. C'est très rare, mais quand on les rencontre, in ne faut pas les laisser passer.
J'ai toujours craint ceux qui ne supportent pas d'être seuls et demandent au couple, au travail, à l'amitié voire, même au diable ce que ni le couple, ni le travail, ni l'amitié ni le diable ne peuvent donner : une protection contre soi-même, une assurance de ne jamais avoir affaire à la vérité solitaire de sa propre vie. Ces gens-là sont infréquentables. Leur incapacité d'être seuls fait d'eux les personnes les plus seules au monde.
Quand l'amour vous fait signe de le suivre, suivez le,
Bien que ses chemins soient rudes et escarpés.
Et lorsqu'il vous étreint de ses ailes, abandonnez-vous,
Bien que l'épée cachée dans ses pennes puisse vous blesser.
Et quand il parle, croyez en lui,
Bien que sa voix puisse briser vos rêves comme le vent du nord dévaste le jardin.
Je suis tombée amoureuse pendant qu'il lisait, comme on s'endort : d'abord doucement et puis tout d'un coup.
Il aimait la mort, elle aimait la vie.
Il vivait pour elle, elle est morte pour lui.