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    Norlane le 05 janvier 2022
    Pour moi, la plus belle poésie de tous les temps, c'est Verlaine mais comme Isacom : sans le challenge, je n'aurais peut-être pas ouvert ce recueil au titre peu engageant et c'est une magnifique découverte. Simplicité et profondeur dans un mélange unique : une poésie rare qui mérite bien un Nobel (oui je n'ai lu que ce recueil encore, et quelques poèmes épars qui avaient déjà croisé ma route sans que je garde le nom de la poète mais peu importe).
    Isacom le 05 janvier 2022
    Pas-chacha a dit :

    En tout cas tu as l'air enthousiaste !!

    Oh la la oui, on n'est que le 5 janvier mais ce sera forcément dans mon top 5 de 2022
    Isacom le 05 janvier 2022
    Allantvers a dit :

    Oui tu donnes envie Isacom  

    Y a pas de raison que je ne bassine que mes collègues de travail
    Isacom le 05 janvier 2022
    Norlane a dit :

    Pour moi, la plus belle poésie de tous les temps, c'est Verlaine mais comme Isacom : sans le challenge, je n'aurais peut-être pas ouvert ce recueil au titre peu engageant et c'est une magnifique découverte. Simplicité et profondeur dans un mélange unique : une poésie rare qui mérite bien un Nobel (oui je n'ai lu que ce recueil encore, et quelques poèmes épars qui avaient déjà croisé ma route sans que je garde le nom de la poète mais peu importe).

    Simplicité qui rend le recueil tellement magique, et profondeur du sens dont 5Arabella   détient les clés
    Myriam3 le 05 janvier 2022
    Ca donne envie de le lire! Je l'ajouterai dans la liste des Nobélisés poètes, merci!
    Isacom le 05 janvier 2022
    Myriam3 a dit :

    Ca donne envie de le lire! Je l'ajouterai dans la liste des Nobélisés poètes, merci!

    Il y est déjà, dans ta liste   (mais c'est une autre édition)
    Meps le 05 janvier 2022
    Bonsoir les gens !

    C'est bien, quelques validations seulement, mais plein d'échanges, j'adore ça !

    Isacom   : Les lectures de Nobels se suivent et ne se ressemblent pas. Bon en même temps c'est deux époques, deux salles, deux ambiances, même si les nationalités sont voisines (en tout cas à l'époque du premier des deux !): un soviétique de 1933 ou une Polonaise de 1994, la seconde avait quand même plus de chances sur le profil de te plaire ! Félicitations en tout cas pour ton pallier Beckett, tu t'extrais du pallier d'un Neruda dont la dernière lecture te pousse à le fuir... et en plus tu évites mes conseils vaseux en atteignant le pallier sans stagner au barreau précédent ! Pour ce qui est de Szymborska (si tu fais scrabble mot compte triple, tu gagnes la partie à coup sûr, je pouvais pas m'empêcher de la faire, désolé...), ta lecture enthousiaste m'amène à lancer un débat que j'ai commencé en commentaire de ta critique: les poétesses Nobel sont-elles moins abscons que leurs homologues mââââles ? (regardez déjà avec mon "abscons", on voit bien que je suis pas une poétesse...). Personnellement, mes lectures récentes de Quasimodo, Saint-John Perse ou dans une moindre mesure de Yeats m'ont paru un peu obscures et recherchant presque trop à rendre leurs mots impénétrables... alors que les avis récents sur Szymborska mais aussi Glück par exemple semblent décrire un style plus accessible. Après, c'est peut-être encore une question d'époque aussi puisque "mes" poètes sont des années 20 et 50-60, alors que les deux poétesses sont plus récentes. Je n'ai pas assez de points de comparaison mais vous toutes et tous peut-être que oui.

    Allantvers   : Mais même si tu ne l'avais pas annoncé, tu as totalement le droit de trahir tes propres résolutions, c'est même le principe des résolutions de début d'année non ? En plus de te faire progresser au général, elle contribue également à te permettre de défendre ta deuxième place au QLMLP.

    le_Bison   : Ca se voit très bien que tu en as sous le coude et plein de lectures que tu ne nous as pas indiqué puisque tu nous exhumes une critique de 2012 de Coetzee. Je me doute bien que dans tes 889 critiques, il y a bien plus de Nobels que tu ne nous en a révélés... mais tu as totalement le choix de nous les distilles uniquement au compte-gouttes. Toujours au pallier Dylan avec ce nouvel auteur lu, et maintenant seul 39ème au QLMLP (et donc isallysun  , ninosairosse   ou Marylou26   peuvent à tout moment expulser les deux autres du top 40, quel suspense ! ) Petit rappel pour toi également, tu peux même nous donner des lectures plus anciennes sans critique sur Babelio, on fonctionne à la confiance ici (bon on réclame un peu les critiques pour les lectures plus récentes, mais c'est surtout pour nous aider et nous guider dans nos lectures). Et allez pour finir également, puisque tu passes rarement nous voir, il y a comme proposition un top 3 de tes auteurs Nobels préférés que tu peux nous donner avec pour chacun l’œuvre qui t'as le plus marqué. L'exercice n'est pas évident mais il permet de guider les autres vers des livres qu'on estampille chefs d’œuvre !

    Voilà Isacom, tant pis pour toi, tu me pousses à me lâcher, 3 validations seulement, mais plein de bavardage !
    Isacom le 05 janvier 2022
    On est deux bavards Meps  il me semble
    Il me semble aussi que j'avais quitté le désagréable Neruda pour le charmant Beckett en lisant William Butler Yeats   justement, donc il y a bien un mois, et il me semble donc avoir grimpé une marche jusque Steinbeck ?
    J'ai ressorti mon Excel-lent grimoire :
    Auteurs lus : 60 Palier Steinbeck
    Auteurs relus : 34 Dynamite Saramago
    Livres lus : 147

    Et si Saint-John Perse   m'a semblé illisible, par contre j'ai adoré William Butler Yeats   au point de le mettre dans mon top 5 de 2021 : il n'est pas abscons du tout, lui, je t'assure (quand on aime les sorcières et les licornes).
    5Arabella le 05 janvier 2022
    Isacom a dit :


    Simplicité qui rend le recueil tellement magique, et profondeur du sens dont 5Arabella   détient les clés


    Je suis très loin de détenir toutes les clés, tant cette poésie est riche. Mais en effet simple et abordable pour tout lecteur. Partant du quotidien, du vécu de chacun. Après, il y a des références, un sous-texte, une multiplicité de lectures, que je pense on épuise jamais, on peut reprendre ces poèmes et y voir autre chose à un autre moment. Mais on peut en retirer du plaisir spontanément, sans non plus avoir besoin de se lancer dans des références culturelles poussées. C'est la grande force de ces poèmes, pouvoir parler à des lecteurs différents, de différentes manières.
    xalatan le 06 janvier 2022
    Nuageuse a dit :

    J'espère que xalatan  ne va pas nous laisser tomber sinon on va s'ennuyer...


    Merci Nuageuse   :)

    un peu moins présente c'est vrai, pour cause soucis de santé :(
    et les autres challenges/groupes de Babelio :) :)
    mais j'espère finir Le Pavillon des femmes de Pearl Buck
    aujourd'hui ou demain et valider du coup un Nobel
    et une lecture nord-américaine :)

    Bonne année
    Meps le 06 janvier 2022
    Isacom a dit :

    On est deux bavards Meps  il me semble
    Il me semble aussi que j'avais quitté le désagréable Neruda pour le charmant Beckett en lisant William Butler Yeats   justement, donc il y a bien un mois, et il me semble donc avoir grimpé une marche jusque Steinbeck ?
    J'ai ressorti mon Excel-lent grimoire :
    Auteurs lus : 60 Palier Steinbeck
    Auteurs relus : 34 Dynamite Saramago
    Livres lus : 147

    Et si Saint-John Perse   m'a semblé illisible, par contre j'ai adoré William Butler Yeats   au point de le mettre dans mon top 5 de 2021 : il n'est pas abscons du tout, lui, je t'assure (quand on aime les sorcières et les licornes).

    Oups désolé, j'avais du retard dans mes MAJ du coup puisque je t'ai oublié un pallier ! Bienvenue donc chez Steinbeck, un auteur dont on ne sait pas trop ce que tu en penses puisque tes lectures datent et sont donc sans critique. Le moment est peut-être venu de le relire (pourquoi pas avec d'autres romans) pour nous donner un avis ?

    J'ai lu une sélection de poèmes de William Butler Yeats   et l'ai trouvé en effet plus abordable dans beaucoup de poèmes que Salvatore Quasimodo   ou Saint-John Perse   mais ce n'était pas le cas de toutes ses époques. J'ai surtout beaucoup aimé quand il mêlait son engagement politique pour l'Irlande à son amour pour Gonne, figure féminine du nationalisme irlandais.

    Merci Nuageuse   de me citer Nelly Sachs   qui semble en effet moins accessible. C'est donc vraisemblablement une question d'époque (puisque Sachs a été récompensée dans les années 60) ou même plutôt d'une évolution des goûts de l'Académie: du classicisme de Sully Prudhomme   à l'origine, à l'hermétisme de Saint-John Perse  et au romantisme teinté de religieux de Nelly Sachs   , pour finir avec la modestie de Wislawa Szymborska   et l'intimisme de Louise Glück.
    Meps le 06 janvier 2022
    xalatan a dit :


    un peu moins présente c'est vrai, pour cause soucis de santé :(
    et les autres challenges/groupes de Babelio :) :)
    mais j'espère finir Le Pavillon des femmes de Pearl Buck
    aujourd'hui ou demain et valider du coup un Nobel
    et une lecture nord-américaine :)

    Bonne année

    Une bonne année à toi et un bon rétablissement, il faut se préserver dans ces mois difficiles, hiver et pandémie mélangés, rien de bon pour nos organismes.
    J'ai déjà lu Pavillon de femmes, j'avais trouvé le livre dans une boîte à livres. Curieux que je n'en parle pas dans ma critique, je mettais à l'époque beaucoup moins de contexte perso dans mes critiques. Comme quoi notre style évolue, comme celui des auteurs, je commence à devenir un critique nombriliste, comme certains auteurs français !
    J'attends en tout cas une critique argumentée pour comparer nos impressions ! Je ne te mets pas la pression... mais un peu quand même !
    xalatan le 06 janvier 2022
    J'ai aimé :

    Pavillon de femmes  

    de Pearl Buck   - Nobel 1938

    Mon avis
    xalatan le 07 janvier 2022
    J'ai aimé :

    Home  

    de Toni Morrison   - Nobel 1993

    Mon avis
    Isacom le 07 janvier 2022
    5Arabella a dit :

    Isacom a dit :



    Simplicité qui rend le recueil tellement magique, et profondeur du sens dont 5Arabella   détient les clés



    Je suis très loin de détenir toutes les clés, tant cette poésie est riche. Mais en effet simple et abordable pour tout lecteur. Partant du quotidien, du vécu de chacun. Après, il y a des références, un sous-texte, une multiplicité de lectures, que je pense on épuise jamais, on peut reprendre ces poèmes et y voir autre chose à un autre moment. Mais on peut en retirer du plaisir spontanément, sans non plus avoir besoin de se lancer dans des références culturelles poussées. C'est la grande force de ces poèmes, pouvoir parler à des lecteurs différents, de différentes manières.

    Oui c'est tout à fait ça, la poésie de Wislawa Szymborska   est emplie de références, et pourtant accessible et parlant à tout le monde, avec plein de niveaux de lecture mais autant de plaisir pour chacun.
    Isacom le 07 janvier 2022
    Nuageuse a dit :

    J'espère que xalatan  ne va pas nous laisser tomber sinon on va s'ennuyer...

    Concernant la poésie, j'aime la musicalité des mots. Je ne vois pas forcément les métaphores, la symbolique. Après, il y a des poèmes qui peuvent s'avérer incompréhensibles (comme ceux de Nelly Sachs par exemple), du moment que les mots sonnent bien, je ne regrette pas de n'y rien comprendre. 
    Un peu comme Beckett et son absurdité.

    Bien vu le parallèle avec Beckett je trouve !
    Isacom le 07 janvier 2022
    Meps a dit :

    Oups désolé, j'avais du retard dans mes MAJ du coup puisque je t'ai oublié un pallier ! Bienvenue donc chez Steinbeck, un auteur dont on ne sait pas trop ce que tu en penses puisque tes lectures datent et sont donc sans critique. Le moment est peut-être venu de le relire (pourquoi pas avec d'autres romans) pour nous donner un avis ?


    Merci Meps   pour le passage de palier, oui oui relire John Steinbeck  est prévu, mais pas prioritaire - je crois que j'ai lu les deux chefs-d’œuvre et je crains d'être déçue par d'autres...
    xalatan le 08 janvier 2022
    un dynamitage avec du théâtre :

    Fin de partie  

    de Samuel Beckett   - Nobel 1969

    Mon avis
    Claire45 le 08 janvier 2022
    Je découvre avec plaisir le Nobel 2O21 :
    Paradis - Abdulrazakk Gurnah

    Mon avis

    B
    onnes lectures à tous
    Musa_aka_Cthulie le 08 janvier 2022
    Bonjour,

    Me revoilà !  Je ne suis pas sûre d'avoir bien fait le compte, mais j'ai visiblement oublié de passer par ici depuis longtemps pour signaler mes lectures de Nobel. Je mets donc tout ça à jour :

    93. Souterrain-blues de Peter Handke (Nobel 2019, nouvel auteur pour moi)
    Ma critique

    J'ai détesté, passons.

    94. Fleurs de ruine de Patrick Modiano (Nobel 2014, et pas du tout un nouvel auteur...)
    Ma critique

    Un Modiano de plus, on sait à quoi s'attendre, quoi !

    95. Pillage de Nadine Gordimer (Nobel 1991, seconde lecture de cette auteure pour moi)

    Désolée, pas de critique ce coup-ci, j'ai beaucoup trop traîné sur ce recueil de nouvelles (et aujourd'hui ma lecture remonte à trop loin) qui m'a semblé insipide, fouillis, agaçant aussi. J'ai eu l'impression que Gordimer avait pris plein de textes dont elle ne savait pas quoi faire pour publier un livre, et la première nouvelle m'a franchement hérissée (une histoire de femme aisée travaillant dans l'aide au développement, avec tous les clichés que ça peut receler). J'ai pas du tout vu l'intérêt de ce bouquin.

    Il me reste un Kawabata dont je compte écrire la critique (c'était une bonne surprise, en tout cas). * Et à part ça, ben ça fait des mois que je n'ai pas lu de Nobel, et rien ne me fait très envie en ce moment ; pourtant j'avais prévu de lire Böll, Gide, et d'autres en 2021. Peut-être devrais-je revenir à mes fondamentaux pour quelques temps. Et Meps va peut-être trouver de quoi me remotiver... 

    Bonne soirée à tous !


    Stéphanie

    * Euh non, en fait j'ai écrit n'importe quoi, La beauté, tôt vouée à se défaire de Kawabata a déjà été comptabilisé dans mes Nobel, il me reste juste... à écrire la critique.





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