Avec ce dernier tome on comprend que l'intérêt de ce cycle est la découverte de l'Inde, et le voyage est agréable, ça donne envie de le voir. Il a été question en sous-entendu d'acceptation de l'autre et de ses traditions, de respect.
Les éléments sont conclus, l'enquête aussi. Mais l'intrigue globale manque un peu d'un but.
Les dessins ont été parfait pour nous immerger dans ce pays fascinant avec des paysages différents.
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Voici le dernier tome de ce second cycle de India Dreams. Ce dernier marque le dénouement de l'enquête sur le personnage de Percy. de ce côté, la solution semble quand même un peu tirée par les cheveux. La probabilité de recoupement entre les deux enquêtes évoquées dans l'album est extrêmement faible. On pardonne aux auteurs qui savent si bien nous rendre compte d'une ambiance teintée de nostalgie pour les Indes britanniques. On voyage à travers cet album dans le temps et dans l'espace et on passe au final un très bon moment
Il faut certes être attiré par les dessins dans le style des aquarelles. Mon fils de 6 ans en jetant un regard sur l'album m'a dit : on dirait des vieilles peintures ! le tout renforce le caractère nostalgique de l'histoire.
J'espère pour ma part que l'aventure des India Dreams ne s'arrêtera pas là car oui, cette Inde là nous fait rêver.
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Ce tome est la fin d'un cycle.
L'inspecteur Pimlicott qui s'est lancé sur les traces de Percy, arrive en Inde.
Heureusement, le juge Byle se doute qu'elle n'a pas commis le meurtre qu'on lui attribue.
Il va même deviner ce qui s'est passé et réorienter le fameux inspecteur, sur de nouvelles traces.
Quelques rebondissements dans ce tome, qui fleure bon le polar, mais qui continue également à nous présenter les coutumes de l'Inde du 19ème siècle.
Une très belle chute pour ce cycle d'India Dreams.
A noter que les dessins sont toujours aussi beaux.
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Il s’agit d’abord d’une grande fresque romanesque, un appel à traverser ces lointains horizons (...) L’histoire évite, d’ailleurs, les clichés et la facilité.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Ce très joli livre complète idéalement la série, tout en en représentant le point final.
Lire la critique sur le site : Auracan
En bon chasseur, il le laisse encore se fatiguer. L’assassin les emmena dans une région de grottes creusées dans la roche. Elles avaient été occupées autrefois par des moines pendant la mousson.
L’étau se refermait. Le pasteur se sentit pris au piège.
A bout de course, exténué, il alla se réfugier dans une grotte, mais dans cet endroit sinistre…
…les dessins rupestres lui apparurent comme un avant-gout de l’enfer et dans sa frayeur, il se mit à hurler telle une bête blessée…
…au moment où les chasseurs arrivaient.
-Sybellius mon ami, vous risquez votre vie!
-Mon cher Aldo, la vie n'est que peine et douleur, conséquences des changements qui nous sont imposés. L'enfant qui vient de naitre a raison de pleurer. C'est la première vérité qui s'impose à lui.
Mon cher Aldo, la vie n'est que peine et douleur, conséquences des changements qui nous sont imposés. L'enfant qui vient de naître a raison de pleurer. C'est la première vérité qui s'impose à lui.
Bienheureux celui qui au terme de sa vie est parvenu à accomplir sa quête. Il est écrit qu'il reviendra plus sage et plus serein dans sa prochaine existence.
Dans le 152e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente La sage-femme du roi, album que l'on doit au scénario d'Adeline Laffitte, au dessin d'Hervé Duphot et c'est édité chez Delcourt dans la collection Mirages. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album Deviens quelqu’un ! Que l’on doit à Daniel Blancou et aux éditions Sarbacane
- La sortie de l’album Dehors ! que l’on doit au scénario de Ludovic Piétu, au dessin de Jika et c’est sorti aux éditions Rouquemoute
- La sortie du cinquième tome de la série Stern que l’on doit au scénario de Frédéric Maffre, au dessin de son frère Julien Maffre, un cinquième tome baptisé Une simple formalité qu’édite la maison Dargaud
- La sortie de l’album L’animateur que l’on doit à Juanungo et aux éditions Delcourt dans la collection Shampooing
- La sortie de L’incroyable histoire de la bière que l’on doit au scénario de Benoist Simmat, au dessin de Lucas Landais et c’est sortie aux Arènes BD
- La sortie de l’intégrale de War ans dreams que l’on doit au scénario conjoint de Maryse et Jean-François Charles dont ce dernier en signe aussi le dessin, une intégrale sortie chez Casterman.
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