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EAN : 9782213682495
316 pages
Fayard (05/10/2016)
4.43/5   7 notes
Résumé :
Pour la première fois, la linguiste, psychanalyste, romancière Julia Kristeva – reconnue à l’étranger parmi les plus importants intellectuels de notre époque – dévoile des facettes intimes de sa vie, qu’elle éprouve comme un voyage. Trois quarts de siècle en affinité avec les vertiges identitaires de l’exil et de l’amour.
Ce livre nous donne à voir l’enfant née en Bulgarie, puis la jeune femme découvrant Paris et qui éclot dans le bouillonnement de Saint-Ger... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
L’état d’urgence de la vie
C’est le titre du chapitre 4 centré sur la mère que va devenir Julia Kristeva et la relation du couple face à la situation de handicap que va révéler leur fils David.

avec en exergue :
On n’imagine pas combien il est difficile de se tenir droite quand on est une femme avec un mari pas comme les autres, un enfant pas comme les autres, un métier pas comme les autres – et que ces divers points d’attache sont autant d’élévation que de handicap (étant entendu que chacun de nous est « pas comme les autres ») et qu’elle a ses fils à plomb « pas comme les autres ».

On ne l’imagine pas !
Julia Kristeva, Le Féminin et le Sacré

Julia Kristeva. La grossesse est la forme courante de l’extase », comme je l’ai écrit. Était-ce l’évolution du lien amoureux, l’approfondissement de mon analyse sur le divan, la vérité des mères chinoises étincelantes sous la carapace officielle de l’idéologie communiste ? J’avais la trentaine, le désir d’enfant est devenu central, irrépressible – la « petite fille » en moi qui préférait les livres aux poupées acceptait maintenant les landaus… Après deux avortements pénibles que nous avions décidés ensemble avec Philippe, car nous n’étions pas sûrs alors de vouloir devenir parents, désormais il était d’accord avec moi : c’était le moment.

S. D. Comment réagissait-il ?

J. K. Ni enthousiaste ni réticent, comme pour le mariage. Sollers aborde l’existence avec un sérieux que ses détracteurs ont tendance à lui dénier. [Nous échangions des pensées émues, des propos elliptiques, pudiques, ironiques, en attente de l’événement, riant avec les bébés et les jeunes enfants qui jouaient autour de nous à la plage de la Conche, près du phare des Baleines. […]

L’accouchement était parfait, c’est-à-dire douloureux, puis péridurale, beau bébé, photos, parents ravis. Mes parents ne pouvaient pas venir facilement, mes beaux-parents laissaient le jeune couple accueillir le nouveau-né, Philippe a choisi sans hésitation le prénom de David qui m’enchantait. David Joyaux, le nom de sa famille paternelle, fils de Philippe Joyaux dit Sollers, et de Julia Kristeva épouse Joyaux. D’emblée, sans se forcer, spontanément, le papa s’est montré attentif, contenant, d’une tendresse exceptionnelle. Je le vois encore maintenant, portant contre son cœur David, emmailloté, et lui chantant… évidemment pas Au clair de la lune, mais du Mozart : Mon cœur soupire la nuit, le jour… Et du Bach :Gloria Patri et Filio… Nous l’avons enregistré plus tard sur une cassette que David, enfant, aimait beaucoup écouter, qu’il connaît par cœur, qu’il chante encore parfois avec son père.!

[…]

S. D. Mais les dysharmonies dans le développement de votre fils sont apparues, et les choses sont devenues, très vite, plus compliquées.

J. K. À la maternité, on a diagnostiqué des problèmes de motricité. Malgré des examens approfondis, il n’y eut que des résultats négatifs, nous sommes sortis sans traitement. Par la suite, des états critiques et des dysharmonies psychomotrices, en effet, sont apparus. David a suivi une scolarité normale à la maternelle, à l’école primaire publique, et ensuite dans des écoles spécialisées. Après des traitements divers, le diagnostic reste imprécis : une de ces maladies neurologiques, dites « orphelines », qui l’a conduit plusieurs fois au coma. Cette situation est maintenant stabilisée, mais la proximité de la mort, épée de Damoclès au-dessus de nos têtes, nous fait vivre une autre vie, infiniment précieuse, plus sensible. Le combat héroïque de sur-vie (avec tiret) que David mène avec une vitalité extrême ne nous a pas seulement soudés, il a changé le sens de l’existence. Cette sur-vie signifie que non seulement David a encouru des risques mortels, mais qu’il en a recueilli un surplus d’énergie, une combativité, une affinité aiguë avec la souffrance des autres et une solidarité spontanée qui appelle ses parents, ses amis, son entourage à se surpasser, littéralement. Hors de soi : la vie. Je n’embellis pas les difficultés, et je fais – avec les spécialistes qui nous entourent – le nécessaire pour qu’il traverse au mieux ces moments de douleur, d’angoisse et d’interrogation. Je ne fais pas partie de ces parents d’enfants en situation de handicap qui, très croyants, proclament vivre la joie et la grâce. David m’a installée dans un temps vertical, un présent continu, un « maintenant » dans lequel la sur-vie fait apparaître le reste de l’existence comme une irréalité secondaire.

S.D. poursuit l’entretien notant que David est né et a grandi à un moment où Julia Kristeva bâtissait les piliers de son œuvre avec Soleil noir, Pouvoirs de l’horreur, Histoires d’amour,sa trilogie surLe Génie féminin, ainsi qu’une carrière internationale de premier plan. Comment est-elle parvenue à « concilier son éducation et les moments de partage avec lui »– toutes choses qui lui tenaient « très à cœur » - « avec ses créations littéraires et productions intellectuelles ? »

Julia Kristeva répond sans détour pour éclairer cette part d’ombre, au cœur de sa vie et celle de Philippe Sollers, d’une lumière enveloppante, éclairante, discrète et intense. Infiniment touchante, aux confins de l’indiscible de la vie et de la mort*, de l’humain.

* « […] la vie avec handicap nous confronte à la mortalité, nous dit Julia Kristeva. Car leur mal-être – qu’il soit neurologique, sensoriel, moteur, psychique ou mental – est tel que, sans une aide technique (prothèses diverses) ou humaine (divers types d’accompagnement), ces personnes ne peuvent pas vivre. »
S.D. [Philippe Sollers] a-t-il été à vos côtés lors de l’éducation de David ? Avez-vous pu vous appuyer sur lui ? Vous a-t-il offert un étayage solide ?

J. K. Un étayage indéfectible.

[…] Sa façon d’aider David à grandir s’avérait souvent plus pertinente que la mienne : ne pas frapper sur les portes fermées, ne passer que par les portes ouvertes. La musique, les arts, le plaisir, le rêve, la révolte par la comédie. À moi le reste, c’est-à-dire l’intendance, autrement dit, tout.

S. D. Pas facile.

J. K. Pas facile, mais pas impossible.
[…]

Le handicap est une expérience existentielle et, au-delà, une épreuve qui éclaire la complexité humaine.

[…]

Le handicap confronte la personne qui en est atteinte, ainsi que ses proches, à une exclusion pas comme les autres. Depuis le XVIIIe siècle et la Déclaration des droits de l’homme, nous essayons – malgré beaucoup d’échecs – de mettre fin aux discriminations de classe, de race, de sexe, de religion. Il n’en va pas de même avec le handicap.

[…]

….faire de la vie un combat avec la présence de la mort et, tout compte fait, un engagement de tous les instants. Le seul qui vaille.

[…]

J’essaie d’être à la mesure de cet état d’urgence de la vie.

Un témoignage à découvrir absolument dans le texte intégral !
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J. K. [son père] déclarait que son but dans l’existence était de « sortir ses filles de l’intestin de l’enfer », sinistre métaphore de notre pays. « Il n’y a pas d’autres moyens de le faire que d’apprendre des langues, c’est clair, il faut que vous parliez des langues étrangères. Et d’être indépendantes financièrement, bien entendu. » Papa disait que cette expression était dans l’Évangile, mais je ne l’ai trouvée que chez Dante, dans le dernier chant de l’Enfer, au 9e cercle : l’intestin, en italien burella, répandu sur le sol, est l’image du « cœur brisé ». Était-ce son obsession, son « roman familial » secret ? Pour lui, le patronyme Kristev, littéralement « de la croix », « ça ne s’invente pas, ce nom nous vient des croisés qui portaient une croix cousue sur leurs vêtements, mais oui, il est établi qu’ils passaient par la Thrace (la région de son village natal), dès le XIe siècle ! » Ma mine incrédule le « fâchait tout rouge » : « Je n’ai pas besoin d’archives pour le savoir ! D’ailleurs, depuis tant de siècles, elles auraient disparu, je le sais, c’est tout. » À mes yeux, cette croyance sans preuves historiques aggravait son cas, mais cette étymologie hypothétique m’a impressionnée, tout de même. À tel point que je l’ai reprise dans Meurtre à Byzance !

Nota : Dante, un point commun avec Sollers qui au moment où sortait ce livre était l’invité de la Société Dantesque de France, à la Sorbonne. Et Kristev, un nom prédestiné pour le catholique baroque qu’est Sollers !




L’apprentissage du français

J.K. Je serai à jamais reconnaissante à un professeur de français qui a formé mon goût pour la littérature et la culture européennes du XXesiècle. Cyrille Bogoyavlenski était un Russe blanc, un aristocrate échoué à Sofia. Adolescente, j’ai suivi régulièrement ses cours de langue et littérature françaises à l’Alliance, où il y avait d’autres professeurs remarquables, mais c’est son visage et sa voix qui me reviennent aujourd’hui, quand je ferme les yeux. J’étais sa préférée, allez savoir pourquoi ! […] C’est lui qui m’a transmis pour de bon le désir de France. La littérature française qu’il me révélait me ramenait à la magie du français qui m’avait effleurée en maternelle, c’était désormais un univers nouveau, terriblement exigeant et pourtant proche, la clarté des rêves.

[…] le Gavroche de Victor Hugo, auteurque Bogoyavlenski nous faisait lire et recopier, m’a paru légendaire et cependant accessible.

[…] Pendant longtemps, j’ai gardé un cahier de textes, rempli de phrases recopiées à la plume, de mon écriture de petite fille appliquée. Quand je suis arrivée à Paris, je ne pouvais pas m’empêcher d’apercevoir Gavroche auprès de l’éléphant disparu, et de ressentir « l’effet que l’infiniment grand peut produire sur l’infiniment petit ». Je cherchais le banc au Luxembourg où s’étaient croisés Cosette et Marius. Définitivement réaliste pourtant, le premier poème que j’ai appris à mon fils David fut de Victor Hugo : « Sur une barricade, au milieu des pavés… » Il le récite encore, mi-pathétique, mi-comédien :


« Mais le rire cessa car soudain l’enfant pâle,
Brusquement reparu, fier comme Viala,
Vint s’adosser au mur et leur dit : Me voilà.
La mort stupide eut honte et l’officier fit grâce. »
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Les Samouraïs

S. D. Dans votre roman Les Samouraïs (1990) [2] apparaissent les membres de la revue Tel Quel et de nombreux intellectuels qui gravitaient autour de son créateur, Philippe Sollers : Jean-Louis Baudry, Marcelin Pleynet, Jean Ricardou, Jacqueline Risset, Denis Roche, Pierre Rottenberg, Jean Thibaudeau… Ainsi que les exclus dissidents, tels Jean-Edern Hallier et Jean-Pierre Faye, mais aussi des personnalités qui ont croisé ce mouvement, comme Jacques Derrida, Michel Foucault, Pierre Guyotat, Jean-Joseph Goux, François Wahl ou Umberto Eco… Dans la réalité, comment s’est passée votre rencontre avec le groupe ? Comment ont évolué les relations avec chacun d’entre eux ? Sur une photographie de l’époque, vous figurez au milieu de ces hommes, souriante, rayonnante, solaire.

J. K. Le groupe n’était pas « groupal » et je n’ai jamais assisté aux réunions du comité de rédaction, mon nom n’a figuré sur la liste du comité que tardivement. Les relations avec chacun, chacune – je pense à Jacqueline Risset que j’aimais énormément, je n’accepte toujours pas son décès brutal –, étaient très différentes, spécifiques, incomparables, pas l’ombre d’une communauté. Mais vous tournez autour de l’essentiel : Philippe Sollers !

S. D. […] Comment avez-vous été amenée à rencontrer Philippe Sollers ?

J. K. Gérard Genette m’avait conseillé de le lire et de l’interviewer, ce que j’ai fait, après avoir lu dansClartéun entretien de ce jeune écrivain. Nous y reviendrons. À Tel Quel, Sollers m’a d’abord présentée à Marcelin Pleynet, ainsi qu’à Jean-Louis Baudry et sa femme, qui étaient très proches de lui. Mais, surtout, nous nous voyions souvent avec Roland Barthes, de longs dîners amicaux au restaurant Le Falstaff, à Montparnasse, où nous parlions de littérature, de leurs

Nota : S.D. interroge ensuite Julia Kristeva sur sa relation avec Roland Barthes. Confidence à découvrir dans le livre, ainsi qu’un long passage sur Jacques Derrida.

SD invite alors Julia Kristeva à développer plus en détail sa vie entre Tel Quel, la thèse qu’elle préparait, la vie parisienne, au-delà de qu’elle en dit dans Les Samouraïs, son roman d’inspiration autobiographique de 1990

« un jeu extrême avec l’impossible et la mort. Celui des samouraïs du soleil levant, excellents dans l’art de la guerre qu’ils pratiquent aussi en poésie, en calligraphie et même dans le rituel du thé. À l’opposé de la génération des « mandarins » qui aspiraient à donner des leçons et gouverner l’enseignement, la cité, la pensée. » dit-elle.
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L’arrivée à Paris « …c’était la catastrophe »

S. D. […] Vous partez de Sofia pour Paris. Je vous lis : « Elle déposa les deux valises de cuivre et feuilles mortes sur le comptoir bagages, effleura du bout des lèvres les joues humides de papa-maman, fit à Dan un clin d’œil amoureux, escalada sans se retourner la passerelle du Tupolev, passa trois heures et demie dans l’avion sans songer à égrener les minutes – la tête vide, rien que la saveur au tanin du thé dans la bouche – et atterrit dans un Paris gris, boueux. Les flocons ne cessaient de tomber et de fondre. La Ville lumière n’existait pas, les Français ne savaient pas déblayer la neige. La déception fut totale, elle la sentit au sel dans sa gorge. Évidemment, Boris ne l’attendait pas à Orly, et elle n’avait que cinq dollars en poche. Il n’y avait pas de quoi rire. C’était la catastrophe. »

Nota ; un ange gardien devait veiller sur elle. Miracle de rencontres de hasard pour guider ses premiers pas. Un véritable récit d’aventure à découvrir dans le texte intégral. Parmi ces soutiens de la première heure Tzvetan Todorov.

S. D. Tzvetan Todorov, qui finissait Théorie de la littérature, textes des formalistes russes (« Tel Quel », Seuil, 1965), vous parle de Tel Quel et de Roland Barthes. Vous allez aussitôt à son séminaire comme à celui de Lucien Goldmann. Barthes devient vite un ami très proche et attentif, Gérard Genette vous conseille de vous intéresser à « l’après-Nouveau Roman » et de rencontrer Philippe Sollers. Au cours de Roland Barthes, vous présentez votre premier exposé sur Bakhtine, à partir duquel vous forgerez les concepts de dialogisme et d’ intertextualité, et l’article sera publié dans la revue Critique (20, XIII, 239, avril 1967). Reprenons ces premières rencontres qui vous ont profondément marquée.

J. K. Juste avant les vacances de Noël, je suis allée au séminaire de Roland Barthes ; il se tenait dans une petite salle en hauteur, dans l’aile gauche de la Sorbonne, bondée d’un auditoire cosmopolite – étudiants allemands, anglais, italiens, espagnols et, bien sûr, français. Tous excités par une récente interprétation de Mallarmé par un certain Philippe Sollers, dont j’entendais le nom pour la première fois. Un « fameux personnage », selon leurs dires.
[…]
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Venir en France

Samuel Dock. Venons-en à une date décisive : la veille de Noël 1965. Vous prépariez alors une thèse sur le Nouveau Roman. Votre directeur de thèse vous a envoyée à l’ambassade de France pour tenter d’obtenir la bourse « De Gaulle » qui était accordée à certains jeunes des pays de l’Est afin d’étudier en France. L’attaché culturel a été surpris en constatant que vos connaissances ne s’arrêtaient pas à la fin du XIXe siècle (moment où, du point de vue communiste, commence la « décadence bourgeoise ») mais qu’elles allaient jusqu’à Blanchot, Sartre, Camus, et le Nouveau Roman. La bourse vous est accordée, et vous voilà contrainte de quitter précipitamment laBulgarie, en catimini. À votre arrivée, de la neige sale et des lumières, pas assez nombreuses, et dans votre poche, seulement cinq dollars…

Julia Kristeva. L’Histoire s’accélérait. Au XXe Congrès du PCUS, en 1956, Khrouchtchev proclame la « coexistence pacifique » : on va éviter une troisième guerre mondiale… Au XXIIe Congrès, en 1961, la momie de Staline est discrètement retirée du mausolée de Lénine ; l’URSS dépassera la production des États-Unis par habitant… De Gaulle, de son côté, tout en se méfiant du projet européen, « visionne » déjà une Europe s’étendant de l’Atlantique à l’Oural, et fait venir des jeunes étudiants de l’Est parlant français. Le gouvernement bulgare réservait ces bourses aux cadres méritants, pas vraiment jeunes et parlant à peine le français, et ces candidats n’étaient pas retenus par l’ambassade de France à Sofia. Personne ne partait, ou très peu de monde.

[…]

Et pourtant, elle débarqua à Paris
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Vidéo de Julia Kristeva
Dans un ouvrage en trois tomes, l'écrivaine et psychanalyse Julia Kristeva s'interroge sur ce qu'elle appelle le "génie féminin". Un choix affectif et personnel la conduit à se pencher sur trois cas singuliers, trois femmes à l'oeuvre et à la vie extraordinaires : Hannah Arendt, Mélanie Klein et Colette.
Pour en parler, Géraldine Muhlmann reçoit : Aurore Mréjen, ingénieure de recherche à l'Université Paris Nanterre et chercheuse au Laboratoire du Changement Social et Politique (Université de Paris) Frédéric Maget, directeur de la Maison de Colette Julia Kristeva, écrivaine, psychanalyste, professeure émérite à l'Université de Paris et membre titulaire et formateur de la Société Psychanalytique de Paris
Visuel de la vignette : Getty
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