Qu'on l'aime ou non, cet album ne laisse pas indifférent.
Je l'ai adoré. Déjà parce que j'ai trouvé les illustrations sublimes, puissantes et riches de détails aux multiples références et inspirations.
On y trouve deux histoires tragiques, en miroir : "La mère et la mort" et "le départ", qui traitent toutes les deux....suspens : de la mort évidemment, mais aussi de la maternité et de son besoin irrépressible à protéger le fruit de sa chair, son enfant, voire même de se sacrifier pour lui.
Le texte est court et incisif mais aussi poétique, en particulier dans "La mère et la mort" avec ce passage en randonnée où le texte se répète à l'image d'une musique lancinante.
Un bijou emprunté en bibliothèque universitaire que je risque fort d'acquérir.
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Dans un album saisissant, les argentins Laiseca et Chimal signent deux contes macabres effroyables et fascinants, sublimés par les encres de Nicolas Arispe.
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