Cancer ! Ce mot sonne le glas, comme une sentence, presque une condamnation à mort pour beaucoup qui s'en savent atteints. Des dizaines d'années de recherche, des masses d'argent englouties, et pourtant, ce «mal» progresse dans toutes les statistiques mondiales sans qu'on puisse vraiment le prévenir. Les chercheurs se perdent en conjectures. Pourquoi tel individu joyeux fêtard peut atteindre un âge avancé sans trop de dommages, alors qu'un autre sans problèmes extérieurs apparents peut, du jour au lendemain, être atteint d'un cancer fulgurant ?
Souvenons-nous que la vaccination a été inventée par les Chinois, il y a plusieurs milliers d'années. Mais on pourrait dire que «trop de vaccinations tue la vaccination». Il ne faut pas oublier que, selon les principes de la physiologie traditionnelle chinoise, ce sont des agents pathogènes que l'on introduit dans les couches les plus profondes du corps et qui pourront, plus tard, être à l'origine de maladies bien plus graves que celles préalablement prévenues.
Au contraire, la médecine traditionnelle chinoise considère que l'homme est un microcosme qui vit en symbiose avec son environnement et lui ressemble à bien des égards.