Avertissement :
Cette critique contient beaucoup de concepts racistes, de gros mots, et d'invectives, et de comparaisons culinaires coprophages.
Bonjour, pour vous parler franchement j'ai toujours considéré les sud-américains comme des singes, et je crois pas que cela fasse de moi un raciste ! On a tous nos règles de vie ou de…, de morale, ou un truc dans ce goût-là. Certains ont la lubie de se laver les mains après avoir été aux toilettes dans une logique que je ne comprends pas et qui doit s'apparenter au trouble obsessionnel compulsif, pour d'autres, il s'agit de se brosser les dents après chaque repas, whathewer, pour moi, ma lubie, c'est de considérer la valeur d'un homme selon son rapport à la femme. Alors oui, j'en reviens à la première ligne de cette critique, et j'affirme en accord total avec cette philosophie que les sud-américains ne peuvent être considérés autrement que comme des putains de singes. Des genres de macaques hululant. Ou des chimpanzés hyperactif, suivant votre degré de sensibilité simiesque… Après ok, je SAIS que ce ne sont pas des singes, dans le sens biologique du terme, cependant je ne suis pas ce genre d'individu qui considère le spectacle d'un singe habillé en homme comme un truc attendrissant, ou marrant. Si tu me montres un singe déguisé en homme dans un cirque, je te dirais : " c'est monstrueux, c'est une bête féroce et malade déguisée en homme », et toi tu rétorquerais : " mais non on lui a coupé les couilles et la queue, et on lui a arraché les canines, plus on lui a partiellement lobotomisé le cerveau ! » Et moi alors je te répondrais : " ouais bah c'est une bête féroce et malade à qui on a coupé les couilles et la queue, arraché les canines et bousillé le cerveau, et on l'a déguisé en homme, mais ça n'en fait pas un homme – ni même une sorte d'enfant au physique anormal ! " Nonobstant le sentiment d'empathie profond qui saisit le français en considérant la politique de Trump – j'y reviendrai – la place du mexicain mâle de base est dans un zoo, ni plus, ni moins. Alors là je dis d'accord, et je pourrais presque payer du bon fric pour aller les voir, leur balancer des cacahuètes, coller ma queue contre la vitre de leur enclos ! Mais soyons réaliste, cette activité de moquage perd tout son charme dès que vous dépassez l'âge de 12 ans. Alors les bonnes gens diront que la place harmonieuse du singe ou du mexicain est dans son pays de désert et de jungle – genre loin des yeux, loin du coeur. Je ne sais pas. Je ne sais franchement pas si de telles créatures bâtardes méritent une place ailleurs qu'en enfer.
J'ai une autre règle vous savez, qui est de me méfier « par défaut » des peuples aux nourritures abrasives. J'ai déjà parlé ici du risque sanitaire que je prendrais en allant consommer de la nourriture indienne – résultat de ce constat (oui parce qu'en tant qu'égotique majeur, la cause part toujours de moi) – ainsi équipés d'une telle bouffe dégueulasse, en inde, ils baisent leurs propres petites filles ! Et avec la nonchalance du bobo barbu-tatoué qui se loue son vélib ! En inde, ils décrètent officiellement des souffres-douleurs, générations après générations, qui sont des pauvres, ou ceux qui ne croient pas en leur même connerie de religion de dégénéré. Je ne juge pas les indiennes qui tuent leurs nouveaux-nés féminins, un infanticide peut paraître monstrueux pour nous, occidentaux nourris à l'industrie culturelle des philosophes impuissants, mais selon moi passé un stade de douleur, l'infanticide est le seul geste d'amour qu'il te reste à offrir à ta petite fille quand tu es conscient des souffrances qu'elle devra endurer plus tard. Tu pourris tellement la vie de tes femmes qu'elles préfèrent en tuer leurs filles, Seigneur ! Si ça, c'est pas un bon peuple de macaques, je ne m'y connais pas ! Alors sans rien connaître du mexique, on peut déjà se méfier de leur appartenance à l'humanité juste en dégustant leur « spécialité culinaire », qui resitue géographiquement ce territoire en pays jouxtant l'inde. Par exemple leur plat fétiche : le chili. On dirait le résultat de la déjection d'un homme blanc qui se serait bâfré un cassoulet au boeuf ! Et je ne veux pas manquer de respect aux gens du sud-ouest de la France, car un cassoulet est sûrement un plat délicieux pour tout individu ayant balancé son amour propre au fond de la cuvette des chiottes en compagnie de dix litres d'une merde grumeleuse puis aurait tiré la chasse dessus – non, j'ai beaucoup trop de respect pour les gens du sud-ouest – les animaux torturés dans les corridas, l'ivrognerie et les viols collectifs qui s'ensuivent – et mon propos initial concernait le mexique. Donc, on dirait que leur chili est en fait de la chiasse d'homme blanc (un homme avec la peau bien blanche et bien dégueulasse comme du lait tourné), une chiasse récupérée puis assaisonnée d'un subtil mélange de piments ultra-puissants pour faire passer le goût de matière fécale. Je pense que la cuisine de ces tarés s'est façonnée une identité du temps des conquistadors, je pense qu'à cette époque, les mexicains récupéraient de la chiasse d'espagnols pour se nourrir convenablement – les mexicains prenaient les conquistadors pour des dieux, exactement comme un macaque considèrerait un homme au volant d'une citroen saxo !
Les mexicains sont tellement infâmes qu'il serait compliqué de faire un parallèle avec quelconque autre peuple. Les mahométans sont des seigneurs par rapport à ces mecs – eux au moins ne violent par leurs propres filles, ils se contentent de les transformer en bonniches, et de violer les petites filles des autres, des infidèles, des pauvres, ou celles qui n'ont pas d'hommes pour les protéger dans leurs familles – ouais en fait à l'écrire, je me rends compte maintenant qu'ils sont identiques. Pour comparer avec la France, c'est un peu comme si des bourgeois moches avaient tous pouvoirs sur un peuple protégé par aucune loi ! Imaginez qu'un macron, qu'un badiou ou qu'un fabrice lucchini au plus fort de sa dépression nerveuse devienne aussi puissant qu'un dieu ! Il ne se passerait pas dix jours avant que la France ne ressemble au dépotoir de Pandémonium !
La différence entre le mexicain mâle et le bourgeois français est la même qui existe entre un singe et un chien. le singe ne peut pas compter sur l'homme, alors que le chien est fort de son maitre, tout comme le bourgeois est fort de son petit réseaux mafieux. le mexicain, il doit tout arracher seul à force de cruauté et de méchanceté. C'est la raison pour laquelle les salopes occidentales fantasment le gangster sud-américain – ouais je pense à ceux qui considèrent scarface comme une image de virilité, ou encore, même s'il était bien français et non mexicain, à tous les débiles instruits qui affirment que sade était en réalité un libertin qui « combattait le puritanisme de son époque ». D'ailleurs le bourgeois français doit frémir d'envie de tout son corps de moche quand il entend que des mexicains utilisent les petites filles comme urinoir !
Ce qui me fait arriver à l'idée de forte proximité de race entre le mexicain et le bourgeois occidental. Je comprends trump et son projet de mur. Oh oui il faut un mur, et le plus haut possible, pour éviter que des troupeaux de mexicains mâles stupides n'envahissent les US ! Parce que les mexicains ont accepté de se transformer en singes, une fois passée la frontière ils se voient traiter comme des singes, et ne méritent aucun débordement d'humanité. Ces mecs qui partent en abandonnant leurs femmes et leurs filles au narcos-trafiquants, qui envoient certes quelques dollars durant quelques mois, avant d'abandonner complètement leurs familles à leurs sorts de violence, ceux-là ne sont pas des hommes, mais des baltringues qui ne pensent qu'à refaire leurs vies aux USA, à avoir une autre femme plus américaine, et d'autres enfants plus américains, ceux-là qui finiront vieux en oubliant la douleur des proches qu'ils ont abandonnés, leurs gros bides pleins de bières devant le superbowl, ceux-là ne se sont pas transformés en hommes, mais en américains – soit des singes qui se sont élevés au rang de porcs. Et malgré tout ils sont les moins mauvais, comparés à ceux qui rentrent de temps en temps à leurs villages, juste pour offrir le sida à leurs femmes, plus un robot ménager acheter 1 dollar !
La seule chose triste dans la politique de trump, c'est qu'il ne maltraite que les quelques justes, ces mexicains qui prennent le risque d'emmener avec eux femmes et enfants. Dans une humanité censée, à ceux-là trump devraient automatiquement octroyer la nationalité, car si braver la mort seul n'est rien, il faut en avoir des tonnes de bravoure pour emmener femme et enfants dans ce périple mortel. Mourir dans le désert n'est rien, se faire abattre froidement par les gardes frontaliers américains n'est rien, mais se faire capturer par les zetas, ce gang mexicain, voir sa femme se faire violer, se faire brûler la cornée à la cigarette, et son enfant être dévoré vivant par des chiens, c'est une autre histoire. Car déployer de la violence contre son propre peuple, c'est bien ça, le passe-temps préféré de ces foutus dégénérés de mexicains.
Mais les bourgeois comme trump préfèrent les gangsters aux honnêtes gens, tout comme en france nous aimons recevoir dans les fastes des putains de génocidaires orientaux pendant que durant des années, 500 réfugiées syriennes femmes et enfants furent obligées de se prostituer pour survivre dans nos camps d'enfermement - on en peut pas soulager toute la misère du monde il parait, en revanche, on peut y contribuer !
Bien sûr les adeptes « du vivre-ensemble avec les singes » me diront que je ne connais pas le mexique – et j'ai pas envie, s'il existait un tour opérator pour l'enfer, je ne m'inscrirais pas – on n'est pas obligé de tout consommer sans sens ni logique – et si j'avais envie d'aller au mexique, je ne prendrais pas l'avion à respirer de la clim durant des heures en compagnie de connards hypers-connectés en produits apple. Si je voulais découvrir le mexique, il me suffirait d'acheter un billet de rer de me pointer à Thoiry, et de demander au personnel où se trouve leur foutu enclos à mexicains ! Mais ouais peu importe, les gros travelers diront que je n'y connais rien, ces amoureux du « partage culturel en sac à dos », ou ceux qui affectionnent les reportages géo sur les chaînes du câble ! Si ces bonnes gens m'emmenaient au mexique, ils me trimbaleraient sûrement dans le quartier riche d'une grosse ville, où ils me présenteraient à des types qui parlent quatre langues et adorent le gros lard van trier, ou me présenteraient bon nombre de blogueuses amoureuses de starbuck entre autres putains stupides car gratuites, et ils me diraient, un grand sourire aux lèvres " tu vois, c'est exactement comme en France ! " Et non ce ne le serait pas, ou alors autant que si vous emmeniez un touriste à
Saint Germain des Près en lui prétendant que les types infoutus de porter un costumes sans avoir l'air stupide et que leurs grognasses qui aiment berliner leurs nuits on quoi que ce soit à voir avec des françaises ou des français, ou même le genre humain.
Mais tout n'est pas horrible au mexique – car si c'était le cas on pourrait parachuter nos ordures et autres déchets nucléaires sur ce pays en n'en ayant rien à faire. Pour contrebalancer au mal absolu et à la lâcheté bien niché dans la plupart des ventres mâles mexicains, la nature leur a donné la femme. Et concernant les femmes mexicaines, tous les adjectifs positifs ne suffiraient pas à rendre compte de leur grâce. Des déesses incarnées, des créatures célestes muent par la vaillance légendaire des filles ! Chacune est une héroïne shakespearienne, dont malheureusement la tragédie ne peut être brisée – cette tragédie de naître femme sur la planète des singes.
Le roman " une prière pour celles qui furent volées » est dingue. Rien que pour ces femmes, j'aurais aimé que ce livre ne s'arrête jamais, ou qu'il fasse un milliard de pages ; une page pour chaque mexicaine vaillante et fière dont l'existence fut saccagée.
Achetez ce livre.
Il vous changera des auteurs français ridicules.
Sérieusement.