Margaret Mead et Gregory Bateson furent tous deux, de leur vivant, des légendes : deux anthropologues devenus, progressivement, par le retentissement de leurs œuvres, des maîtres à penser. Ces deux styles de vie, ces deux recherches, ces deux façons de voir le monde, par bien des points opposés, sont ici évoqués par leur fille, Mary Catherine Bateson.
Nous voyons la manière dont l'un et l'autre traduisent leurs intérêts et leurs passions en images qu'un enfan... >Voir plus
Marie-Catherine Bateson parle, il me semble, d'avantage de sa mère (Margaret Mead) que de son père alors qu'au départ je recherchais des infos sur Grégory Bateson. Intéressant mais j'ai un peu trainé pour le lire jusqu'au bout...
à réserver aux inconditionnels du couple d'anthropologues Bateson-Mead.
C'est au début de cette période que Grégory commença à s'intéresser à la nature du « jeu », entreprenant de filmer les loutres du zoo de San Francisco alors qu'elles retrouvaient puis reperdaient leur tempérament ludique. Il s'interrogeait sur la notion de méta-message : quel était le signal permettant d'identifier tel segment particulier du comportement communicatif comme « jeu » ou « parade sexuelle » ou encore « menace », alors que les comportements n'étaient pas, en eux-mêmes, très différents ?
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.