J'avoue que ce conte me laisse mitigé. Je n'ai ni aimé ni détesté, mais j'ai été contente de le finir très vite.
Pourtant un conte de noël plait souvent, cependant, celui-ci ne m'a pas convaincu.
Ma déception vient peut-être du déroulement de l'histoire. Deux petites filles restent à la maison tandis que leurs parents vont a un enterrement. Toque à leur porte un vieille homme qui se dit commis du Père Noël et qu'il a perdu de vue les oies servant à faire la neige.
D'une les parents disent de n'ouvrir à personne et elles font le contraire tout ça parce que c'est " le commis du père noël". de deux, elles proposent leur aide, mais ce sont les animaux de la ferme qui font tout le boulot de recherche et manque de se faire mal ou tué.
Au final, je me suis demandé si il avait une morale, la seule que j'ai trouvé c'est que les animaux surtout les oies, ne devraient pas aider des petites filles au risque de se faire plumer à la place d'autres.
Commenter  J’apprécie         00
Il était une fois un petit café-restaurant, entre ville et campagne, refuge d'une poignée de drôles d'oiseaux que le monde moderne n'avait pas encore engloutis.
« On boit un coup, on mange un morceau, on écoute des histoires. Toutes activités qui s'accommodent mal du va-vite. Chacun offre son grain de temps au sablier commun, et ça donne qu'on n'est pas obligé de se hâter pour faire les choses ou pour les dire. »
Madoval, le patron, Mésange, sa fille, Comdinitch, Failagueule et les accoudés du zinc – braves de comptoir… « Pas des gueules de progrès », ces gens-là, mais de l'amitié, des rires, de l'humanité en partage et un certain talent pour cultiver la différence.
Jean-Pierre Ancèle signe un premier roman tendre et perlé comme une gorgée de muscadet, aux accents de Raymond Queneau ou de Marcel Aymé.
+ Lire la suite