Un des grands classiques de la littérature mondiale que je voulais lire depuis longtemps. C'est chose faite. A travers un fait divers - un jeune homme assassine sauvagement deux femmes (à la hache !) apparemment par appât du gain -
Dostoïevski nous parle non seulement de misère sociale mais aussi de culpabilité, de remords et de rédemption. Ce n'est rien de dire que
Dostoïevski est un génie d'exception de la littérature mondiale ; c'est aussi un peintre de l'âme humaine. Et, croyez-moi si je vous dit que ces 577 pages sont aussi passionnantes qu'un polar.