où l'on nous confirme ce que chacun savait, dans les allées du pouvoir, depuis Versailles, on se parfume beaucoup pour cacher les remugles.
Un journaliste obséquieux, voire complaisant, un ancien flic puissant qui contrairement au titre sait probablement beaucoup de choses mais ne dit strictement rien qu'on ne sache dans ce livre.
La seule info inédite (pour moi) est que dans les grandes heures de la CGT, financée par l'axe de Moscou, FO était quand à elle financée par les américains ... après on s'étonne que les syndicats manquent d'assise en France ...
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Chez L. Ruquier, Y. Bertrand parle de son livre Je ne sais rien mais je dirai tout