"Seul le diable le savait " raconté à la première personne, est un mélange de réalité, de rêves, de contes.
C'est cette forme autant que les thèmes - même la présence un peu choquante ou au moins inattendue d'un lesbianisme africain - qui fait de Calyxthe
Beyala une nouveauté dans la littérature, anglophone aussi bien que francophone, de l Afrique occidentale.
Très peu d'oeuvres s'écartent d'une forme traditionnelle, souvent même d'une autobiographie à peine déguisée,
Calixthe Beyala a peu de pair, personne à ma connaissance, parmi les femmes du Tiers Monde, en anglais ou en français.
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