Code Lupin : Un Da Vinci Code normand

Voilà un roman qui a du être commandé par l'office du tourisme du pays De Caux!
Ce roman m'a ennuyé et je l'aurais abandonné s'il ne faisait référence aux aventures d'Arsène Lupin. Trop d'incohérences, des personnages irritants, une liste interminable de lieux cités... Bref, un roman qui se traîne alors qu'il se présentait comme un roman d'aventure.
J'ai vraiment été déçue par ce roman, le premier de Bussi que je lis, le premier qu'il ait écrit?
Il m'a cependant permis de revoir les aventure d'Arsène Lupin et m'a donné envie d'aller visiter Etretat et ses environs...

Si on lit les Bussi dans l'ordre on peut être tolérant. Sinon, l'histoire est moyenne et les personnages sans relief. Je trouve qu'il en a écrit de meilleurs par la suite.

Si l'idée d'un code caché dans les romans de Maurice Leblanc est originale, le roman est assez plat, il ne s'y passe rien et l'intrigue en devient éprouvante 😩 


Les personnages, sans consistances, sont stéréotypés à souhait. Paloma minaude tout au long du roman.

Quant au professeur, désolée, mais quel agaçant personnage avec ces propos machistes « belle enfant » « ma colombine » etc 
(Une relation prof-élève qui en devient malsaine).


Sans compter l'invraisemblance et l'incohérence de cette enquête: suite à la découverte d'une pièce ancienne, un professeur va ressortir un dossier vieux de vingt ans et, grâce à son étudiante, qu'il trimballe à travers toute la Normandie, et ce via tous les moyens possibles (avion, moto, vélo, même des chevaux 🐴… ), va résoudre cette énigme en moins de 24h. 

On ne peut en tout cas pas nier l'implication de Bussi et le travail dont il a fait preuve et qui met en lumière la Normandie 

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Trouvé par hasard dans un bac à livres d'occasions au supermarché, connaissant et aimant déjà Michel Bussi je me suis dit : pourquoi pas ! ...

Avant de l'attaquer, j'ai décidé de lire Arsène Lupin, Gentleman Cambrioleur de Maurice Leblanc : c'était pas celui-là qu'il fallait lire donc j'étais perdu dès le début.

Tant pis ! Lancée, je continue mais très vite je m'ennuie : trop de lieux, trop de descriptions, pas assez d'action et de suspens, et une volonté un peu trop flagrante de vouloir copier le Da Vinci Code de Dan Brown (ou faire hommage ?) ...

Je me suis demandé si ce livre ne serait pas le premier roman de monsieur Bussi et après vérification : oui, mon intuition était la bonne.

De même que dans Skidamarink, de Guillaume Musso, avec Code Lupin on sent bien que l'auteur se cherche ainsi que son identité d'écrivain.

Je ne regrette pas de l'avoir lu : même si c'était long et que je me suis un peu forcée, je suis quand même fière d'avoir pu lire ce roman paru à seulement 7000 exemplaires.

Pour autant, il ne vaut pour moi pas plus d'étoiles car il faudrait avoir lu trop de nouvelles de Maurice Leblanc avant et connaître plus que par coeur Etretat et le pays De Caux.

Sans aucun doute je préfère les livres plus récents de Michel Bussi.

Un jour j'ai commencé Code Lupin, ça commence par un pièce d'or, cela me plait!! Mais que Bussi ne dévoile-t'il pas? Les intrigues de Maurice Lebalnc.... Je suis septique, ai-je envie de lire des spoilers sur Lupin? Alors j'abandonne...
Mon amie me raconte que c'est pas terrible, alors j'oublie...
Et puis là entre attirance et rejet, je tombe dessus à la médiathèque, et hop je l'emporte.
Je relis le premier chapitre, bien bien.... Puis le deuxième... hmm.. Je n'accroche pas... Ce professeur je sais tout... pas d'intrigue, pas de personnage brossé, juste quantité de faits, de chiffres, d'élucubrations, de clichés...
J'arrête, ce Bussi n'est pas pour moi, je vais rendre ce livre

Le livre et l'intrigue démarrent sur les chapeaux de roues avec la découverte d'une pièce en or, sur une plage normande.
Un binôme constitué d'un professeur et de son élève va tenter de percer un mystère : retrouver un trésor dont le lieu est caché dans les oeuvres de Maurice Leblanc, le papa d'Arsène Lupin.
Ça part fort !
Puis, très vite, on a le vertige. Et ça n'a rien à voir avec la côte d'Albâtre, que nous décrit Michel Bussi dans les moindres détails.

Le cheminement de l'enquête et le road-trip de ce duo ne sont que prétexte pour parler d'Arsène Lupin, et Code Lupin est digne d'un descriptif du Guide du Routard de la belle Normandie.
L'intrigue devient inaudible. On se perd.
Bussi fait la part trop belle aux dialogues. Il n'y a que ça et il ne fait que survoler ses personnages.
En revanche, quiconque se pose des questions sur l'histoire des côtes Normandes y trouvera du plaisir.
Ce premier roman d'un auteur, devenu à succès, se fait la très pale photocopie d'un Da Vinci Code.
J'ai lu jusqu'au bout, par principe … Avec la hâte d'arriver à la dernière page, tant la lecture était insipide.

Ce premier roman de Bussi m'a noyée mais depuis, cet auteur sait nous submerger de talent ! L'honneur est sauf !
Et j'aime toujours autant la côte d'Albâtre, un de mes lieux préférés pour la dilettante et … la lecture !

J'avoue avoir été déçue lors de la lecture de ce livre. J'ai découvert Michel Bussi avec Ne lâche pas ma main, je l'ai encore plus apprécié lors d'Un avion sans elle. Et à la lecture de Code Lupin.....grosse déception. J'ai eu l'impression d'être plongée dans un mauvais film américain qui doit en jetter plein les yeux le plus rapidement possible !!! En même pas 24 heures, nos deux protagonistes réussissent à résoudre une énigme vieille d'un siècle. Pour se faire, ils vont tout de même (je le rappelle, en moins de 24 heures) rouler en Mazeratti, en moto, avion, cheval, vélo, bateau... La note que je lui ai attribuée n'est dûe qu'à la belle documentation sur Marcel Lupin, Maurice Leblanc et à la Normandie.

Le célèbre professeur Roland Bergton – on aura remarqué à coup sûr l'anagramme de Robert Langdon, héros de Dan Brown – est capable de vous réciter par coeur des passages entiers de l'oeuvre protéiforme de Maurice Leblanc : les aventures d'Arsène Lupin.

L'aiguille creuse d'Etretat, les tours de l'abbaye de Jumièges, le vieux phare de Tancarville, le tombeau de Rollon sous les ruines de Thibermesnil, la valleuse déserte de Parfonval, les îles englouties de la Seine, les marées d'équinoxes de la Barre-y-va… Voici le premier roman publié en 2006 – très régional – d'un auteur atypique qui ne va pas tarder à entrer dans le top 10 des meilleures ventes.

Michel Bussi n'était pourtant pas a priori destiné à devenir célèbre pour ses romans policiers : géographe et politologue, il dirige une UMR du CNRS à l'université de Rouen. Et, pour ce premier roman, il a convaincu un éditeur normand de publier cet étrange opus qui tient du pastiche – le Da Vinci Code – de l'ouvrage d'érudition – Michel Bussi enrage de constater que l'oeuvre de Maurice Leblanc est mieux étudiée à l'étranger que chez nous – et du guide touristique.

L'intrigue du roman est la recherche d'un trésor, un road movie conduit à train d'enfer et par autant de moyens de locomotion différents qu'il est possible d'imaginer, par deux personnages aux potentiels intellectuel et physique parfaitement complémentaires. le professeur et son étudiante bien roulée disposent d'une journée pour percer l'énigme, avec pour seuls indices une pièce d'or trouvée sous les falaises, une nouvelle inachevée de Maurice Leblanc… et la carte du pays cauchois.

Quelques années après les succès mérités des romans suivants de l'auteur, qui est aujourd'hui édité par les Presses de la Cité, son « découvreur » normand en profite pour remettre en circulation ses premiers ouvrages. C'est de bonne politique car, une fois que l'on a goûté du Michel Bussi – des histoires passionnantes, construites avec une rigueur toute mathématique et émaillées de retournements inattendus - on veut tout lire de lui. En revanche, et c'est une pierre dans le jardin de l'éditeur, certaines erreurs sont difficilement pardonnables. Dans Code Lupin, en 4 occurrences, on utilise le mot repère à la place de repaire (p. 53, 67, 80 et 105). Je sais bien qu'il s'agit d'une des surprise des logiciels de correction automatique, mais cela ne justifie pas l'absence de relecture par une personne réelle … Arsène Lupin aurait été furieux !

A lire comme document sur les premiers pas d'un écrivain populaire, comme on écoute d'une oreille pas vraiment passionnée les premières sonates de Mozart ...
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..

Une enquête style Da Vinci Code entraine le proffeseur Roland BERGTON et Paloma, jeune stagiaire sur les pas d'Arsène LUPIN. Pour découvrir le trésor d'Arsène, il doivent decripter un code secret. Les indices vont les conduire à travers tout le pays De Caux. C'est plutôt un guide touristique qu'un véritable polar. On pardonnera à Michel BUSSI, c'était son premier roman. Il a fait beaucoup mieux depuis.

Pas le meilleur Bussi...et de loin. A mi-chemin entre la thèse sur le Pays de Caux dans l'oeuvre de Maurice Leblanc et un guide du routard sur la même région, on peut avec profit s'en dispenser. L'intrigue est légère et les deux personnages sont superficiels. le code à décrypter est absolument indécryptable et donc le lecteur décroche assez rapidement.