Richard Castle/5
14 notes
Résumé :
Cela fait 17 ans que Nikki Heat est persuadée que sa mère Cynthia est morte. Jusqu’au jour où elle découvre qu’en réalité celle-ci a été contrainte d’orchestrer sa disparition pour vivre dans la clandestinité. La plus célèbre flic de New York se lance alors dans une enquête qui va totalement bouleverser sa vie.
Avec l’aide de son irrésistible mari, le reporter Jameson Rook, et du consultant de la CIA Derrick Storm, Nikki découvre que sa mère a fui pou... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3)
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C'est curieux comme une bonne lecture ne tient pas à grand-chose, en effet, au début de ma lecture, j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire, mais je me suis rendu compte qu'il fallait que je sois dans le mood Castle, j'ai recommencé la série avec la saison une, et comme par magie, je suis rentré dedans. Au-delà du thriller habituel, j'ai compris qu'il fallait que je sois dans l'univers de Richard Castle pour profiter pleinement de l'histoire, et cela aurait été dommage de ne pas apprécier ce tome qui fait partie des meilleurs, pour moi. Au début je me suis dit que le fait d'avoir Heat et Storm en même temps serait lourd mais pas du tout, l'histoire est passionnante et le suspense palpitant, seul petite réclamation, pas assez de scènes entre Rook et Nikki. Et c'est déjà l'avant-dernier Nikki Heat à ce jour, je pense que j'essayerai les Derrick Storm ensuite.
Un sentiment plutôt mitigé sur ce tome. En effet, c'était plus un tome de Derrick Storm que de Nikki Heat. Même si notre intrépide capitaine tient grande place dans l'histoire, ce roman n'est pas dans le style habituel, surtout sur le sujet de la mère de notre héroïne. Par ailleurs, Rook tient ici un rôle secondaire et est quasiment absent sur la majeure partie de l'histoire. Seul l'arc final relève le niveau. Lecture en demie teinte donc.
Un bon thriller, bien écrit !
Citations et extraits (12)
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Les témoins changeaient de version ou disparaissaient. Le silence des complices était soit acheté, soit obtenu sous la menace. Ça ne rigolait pas avec eux. J’ai oublié comment on dit omertà en chinois, mais les sept de Shanghai savaient y faire. Il faut dire aussi qu’on était… disons… un peu paresseux. Il fallait creuser dur pour établir des liens entre les voyous des rues et les salauds qui se cachaient derrière tout ça. C’est comme ces pissenlits que tu arrachais tout à l’heure avec le rotofil. Si tu coupais la tête, tu pouvais aller trouver ton supérieur et lui dire avec le sourire : « Vous voyez, tout est nettoyé. » Et de loin, ça avait l’air parfait.
Ils formeraient un très beau couple, c’est sûr. Cette belle brune tout en jambes, aux yeux noisette et aux pommettes hautes si prisées dans les
agences de mannequins à travers le globe, avec le genre de physique de cet homme, si parfait que les auteurs se sentaient obligés de le décrire dès l’entame de leur livre… Ils feraient de splendides enfants, à la fois futés, brillants et forts. Néanmoins, la question ne se posait pas. Car malgré le physique de rêve de chacun, il n’existait pas la moindre attirance entre eux. On aurait dit qu’ils avaient été frère et sœur, qu’on les avait séparés dès leur plus jeune âge et qu’ils se rencontraient pour la première fois.
agences de mannequins à travers le globe, avec le genre de physique de cet homme, si parfait que les auteurs se sentaient obligés de le décrire dès l’entame de leur livre… Ils feraient de splendides enfants, à la fois futés, brillants et forts. Néanmoins, la question ne se posait pas. Car malgré le physique de rêve de chacun, il n’existait pas la moindre attirance entre eux. On aurait dit qu’ils avaient été frère et sœur, qu’on les avait séparés dès leur plus jeune âge et qu’ils se rencontraient pour la première fois.
À l’arrêt de la presse, on distingua mieux ce qui était en cours d’impression : des planches et des planches de faux billets de vingt dollars américains imités à la perfection. Le fameux papier composé à soixante-quinze pour cent de coton et vingt-cinq de lin, l’encre verte en relief, le fil de sécurité à l’intérieur, le portrait en filigrane, tout y était. Rien à voir avec les mauvaises contrefaçons réalisées sur une simple Hewlett Packard. Celles-là étaient totalement impossibles à distinguer de l’original produit par le Trésor américain. Elles avaient été créées à l’identique ou presque à l’aide de plaques gravées par des experts au talent exceptionnel.
À ses yeux, le fait que son poil se hérisse à l’idée de voir son mari s’offrir une résidence d’écrivain à la fac où il avait étudié était une faiblesse. Cet homme était son talon d’Achille. Or il n’était pas aisé pour elle d’accepter le fait d’avoir besoin de quelqu’un. Et son amour pour Jameson Rook ne l’avait en rien changée sur ce point. Aussi cela faisait-il parfois jaillir des étincelles entre eux. Pourtant, ils n’avaient pas encore creusé le sujet. Chaque fois qu’il tentait de l’aborder, elle se fermait comme une huître. Tant qu’on n’entrait pas dans les détails, la réalité semblait tenue à distance.
À la vérité, tout cela était un peu trop, un peu cliché. Doté d’un physique, superbe, de héros de films d’action et d’aventures, cet homme à la mâchoire carrée et à la dentition parfaite semblait tout droit sorti de la couverture illustrée d’un roman d’amour de Victoria Saint-Clair.
Sauf qu’il avait ce regard. Un œil taquin et malicieux, plein d’amour, même lorsque le reste de son attitude exprimait le plus grand sérieux. Ce qu’ils en avaient vu, ces yeux. Rien ou presque ne leur échappait.
Donc, oui, l’étranger avait beaucoup de charme. Un charme voyou, diraient certains.
Sauf qu’il avait ce regard. Un œil taquin et malicieux, plein d’amour, même lorsque le reste de son attitude exprimait le plus grand sérieux. Ce qu’ils en avaient vu, ces yeux. Rien ou presque ne leur échappait.
Donc, oui, l’étranger avait beaucoup de charme. Un charme voyou, diraient certains.
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Richard "Rick" Castle
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