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International Guy tome 1 sur 12
EAN : 9782755637717
180 pages
Hugo Publishing (12/07/2018)
3.5/5   201 notes
Résumé :
Un homme au service des femmes.

International appartient et est dirigé par Parker Ellis, un homme à femmes doté d'un QI élevé et d'une énorme libido. Il est le coach le plus populaire et le plus efficace du monde en matière de vie et d'amour. Il est également suffisamment intelligent pour savoir qu'il ne peut pas gérer sa multinationale seul. Il engage donc deux de ses amis dont les compétences complètent les siennes. Ils forment à eux trois une équi... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (56) Voir plus Ajouter une critique
3,5

sur 201 notes
POURQUOI ON PEUT PAS METTRE ZERO ETOILE?^^

En temps normal, je ne chronique pas les livres que j'ai détesté et, si je suis obligée de le faire, j'essaie quand même d'expliquer ce qu'il y a de positif dans le livre (tout en restant honnête, bien sûr).
Aujourd'hui je vais vous parler d'un livre que j'ai vraiment, vraiment, VRAIMENT détesté. Je ne vais m'imposer aucune limite dans mon honnêteté, et ça va piquer.
Ce qui me rassure, c'est que l'auteure a un succès monstre (enfin ça me rassure... Non, ça m'inquiète en vrai. M'enfin.) et que je ne vais donc pas tacler une petite auteure qui tente de se faire sa place.

Bref... Allons-y gaiement.

Donc l'auteure n'est autre que Audrey Carlan, qui a connu un succès monstrueux avec ses Calendar Girls. Je n'ai lu aucun tome donc je ne jugerai pas cette série... Mais autant vous dire que je ne m'en approcherai JAMAIS sauf si je suis habillée d'une combinaison anti-radiations.


Comme je suis quand même vachement sympa, je vais parler du positif avant de lancer les hostilités. Attention, ça va être rapide : J'ai aimé le fait que le narrateur soit l'homme, pour une fois. Voilà. Attention hein, je n'ai pas aimé le narrateur (Ahahah. Non.) mais la narration de son point de vue sortait un peu du lot.
Le seul vrai point positif dans mon expérience était le format de ma lecture : je suis passée par Audible et j'ai donc découvert cette bouse ce livre sous un format audio. Je tire mon chapeau au lecteur - François Tavares - qui est peut être le seul à avoir (probablement, j'en sais rien, on n'est pas copinous) souffert davantage que moi au cours de cette Ô délicieuse aventure.



Alors, pourquoi ce livre m'a TERRIBLEMENT ÉNERVÉE :

Déjà, si ce n'est pas la preuve que certaines maisons d'édition se foutent complètement de la qualité de leur contenu tant qu'ils peuvent vendre... Je ne sais pas ce qu'il vous faut. Sans parler de toutes les choses qui m'ont agacées au cours de ma lecture, ce livre est surtout d'une médiocrité totale. Voilà pourquoi :

Dire que Internationnal Guys : Paris ne révolutionne pas le genre est le plus gros euphémisme des 3 derniers siècles. La moindre situation, la moindre pensée, la moindre scène « chaude », la moindre réaction, les figures de style employées... TOUT est lu, relu, rerelu et rererelu. Après, c'est assez souvent le cas avec la romance mais la plupart des auteurs trouvent un moyen de se démarquer d'une manière ou d'une autre – par une écriture intelligente, un humour piquant, des personnages marquants ou autres... Ici, Audrey Carlan n'a RIEN à offrir au lecteur. Bref, mon premier point est donc que ce roman est un dégueulis de clichés seulement interrompu par une fin aussi plate que le reste du livre. La femme qui trébuche et le héros mi-homme mi-ninja qui a assez de réflexes pour s'élancer et la rattraper, avant de la serrer contre son corps musclé alors qu'il devient dur et qu'il sent qu'elle est dans le même état même si ça fait 4 secondes qu'ils se connaissent, est un exemple parmi 856332 autres scènes clichées. Merci de votre attention.



Éloignez les féministes les plus engagées ou toute personne ayant un minimum de respect envers la femme... International Guys est un gros molard dans la face de l'indépendance de la femme. Déjà, on le sait à la base puisque l'agence même est composée de trois hommes uniquement là pour aider les femmes... Bon. Si il n'y avait que ça. Pourquoi pas, je ne suis pas contre le délire chevalier servant qui vient sauver sa princessounette – je sais ce que je vaux et ce que valent les femmes pour comprendre que ça appartient à la fiction et, surtout, qu'on a le droit d'aimer ça. C'est quoi alors le problème espèce de chieuse – me demanderez-vous ? Et bien l'auteure (ou l'autrice hein, sortez pas les chiens) nous offre le personnage féminin le plus MOU du monde. Ce n'est pas une femme, c'est un tapis. Et même pas un beau tapis d'Orient hein, non non non, une vieille carpette qui pue la pisse du teckel incontinent de mémé Yvette. Pendant un bon tiers du livre, Audrey Carlan offre à « l'héroïne » le moins de phrase possible et ne fait d'elle qu'une espèce de cruche qui ne parle pas mais qui met 3 secondes à tendre les fesses en arrière en apercevant le héros. Honnêtement, il faut le lire pour comprendre à quel point c'est abusé. Je vous assure. Donc, deuxième énervance (si, si, j'ai l'impression d'être un héros de guerre après m'être farci ce livre donc laissez-moi inventer des mots, je l'ai mérité): Une héroïne de merde.


Côté héros ? Ah ben ce n'est pas beaucoup mieux. Alors OUI, on le sait que les hommes à fort caractère, sûrs d'eux, taquins et un peu pervers sont à la mode dans les romans de ce style et que ça plaît plutôt aux femmes. Perso, j'crache pas sur un bad boy fictif. En vrai j'ai 27 amants qui existent sous forme de papier et on vit tous heureux et épanouis ensemble, merci pour nous. Malheureusement ici, le héros est carrément détestable... Pas le héros détestable qui rencontre l'amour et devient meilleur hein.. Non, non. C'est juste un con. Imbu de sa personne, persuadé que les femmes ne s'en sortiraient pas sans lui et qu'elles sont toutes prêtes à ouvrir les cuisses à la seconde où elles le voient. C'est romantique.
A 3h et quelques d'écoute, je me suis aperçu que les hommes dans ce livre au lieu de dire « les femmes », disent... Vous êtes prêts ? Non parce que moi j'étais pas prête ; je conduisais et j'ai ri si fort que j'ai dépassé la ligne blanche à l'approche d'un virage. C'est à dire qu'en plus de m'avoir volé du temps de ma vie et une bonne poignée de neurones, Audrey Carlan a failli me tuer. Vous croyez que je devrais porter plainte ? Pardon, je m'égare. Donc au lieu de dire « les femmes », ils disent « les poulettes »...
LES.
POULETTES.
Je prie pour que ce soit juste le choix de traduction d'une traductrice dont le cerveau aurait grillé après avoir dû travailler sur ce chef d'oeuvre pendant des jours.
ATTENTION LA C'EST LE MOMENT OU JE ME FÂCHE. Cachez les enfants, les animaux et toute personne âgé qui n'aurait pas mis à jour son pacemaker ces deux derniers mois. Au passage, je vais spoiler, vous êtes prévenus. L'héroïne, suite au décès de son père doit gérer son entreprise. Rapidement, elle se rend compte que l'un des employés harcèle sexuellement les femmes et est même allé jusqu'à en toucher (au moins) une. Là, l'héroïne soutient à fond la victime, lui dit qu'elle ne doit pas avoir honte bla bla. Très bien. Et normal. MAIS A LA FIN... le porc est viré et il y a toute une scène avec le père de ce dernier qui pèse dans les finances de la boîte nanana et qu'entends-je ? Je m'attendais à un « Machine va porter plainte contre votre porc de fils parce qu'on va pas lâcher l'affaire comme ça ». Non non non.
« La victime accepte de ne pas porter plainte contre le groupe ou votre fils tant qu'on la laisse tranquille »
J'en rajoute ? Est-ce bien nécessaire ? Non mais c'est QUOI le message que ça fait passer sérieusement ?


Je terminerais juste par dire qu'à ce qu'il paraît, si on en croit le héros, l'héroïne aurait – au niveau de ce qu'il se passe dans sa culotte – un « goût de miel et de soleil ».



Allez, j'arrête là (mais je pourrais continuer des heures. Bisou.
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3 beaux mecs virils, intelligents et accros aux femmes décident de créer une entreprise pour leur redonner confiance en elles: International Guy. Dans ce tome 1 ils vont aider une jeune héritière à reprendre les rênes de la société de son père. Une histoire tirée par les cheveux et totalement improbable mais qui se lit vite et qui change les idées. Dans la même veine que Calendar Girl.
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Oui, je sais, j'aurais dû m'en douter, après la lecture de Calendar Girl comment pouvais-je espérer un virage complet de l'auteure ? J'avais bien dis, haut et fort, après être allée jusqu'au bout du voyage et la grosse déception s'amplifiant au fil des chapitres, qu' Audrey Carlan, non merci, plus pour moi ! Et pourtant voilà-t-il pas que je m'y recolle ? La faute à ma binôme, en qui j'ai confiance dans le jugement vu que nous avons les même goûts et surtout les même attentes livresques, assez éloignées coté New Romance du public actuel. Je ne veux blesser personne, mais pour moi une histoire ne suffit pas, il faut qu'elle me soit racontée avec style, que je vibre pour les personnages, que mon petit coeur tombe amoureuse du mâle de service. Je veux du suspens, de la cohérence et de l'érotisme aussi, mais sciemment dosé, pas qu'il prenne toute l'histoire.
Exigeante moi ? À peine !
Donc avec toutes ces attentes, eh bien forcement c'était couru d'avance. Pourtant j'y ai cru. Eh oui l'idée est originale. Nous faire partager les aventures d'un trio de choc, d'une équipe talentueuse en coaching qui aime les femmes, cherche à les sublimer, leur donner confiance en elles. le sexe n'est pas une option. Bref c'est là où d'entrée le bât blesse, parce que Parker n'a que cette idée en tête dès qu'il pose le regard sur Sophie. La petite bombe insignifiante, (oui c'est 2 mots ne vont pas bien ensemble, je le concède, soit on est insignifiant soit on est une bombe) le fait b.... à mort !
Eh voilà le ton est donné très vite.
Notre trio est super efficace. À peine débarqués ( après 7 heures de vol quand même) les voilà sur le pied de guerre. Les objectifs sont déjà établis, avant même d'avoir rencontrée la cliente.
Bo, le Love Maker s'attache au relooking, tandis que Parker met son grain de sel, se frotte tant et plus à la sublime Sophie (eh oui, déjà !)
Tout aussi vite Royce maîtrise la complexité de l'entreprise que Sophie Rolland a reçu en héritage (dès le lendemain, c'est qu'ils sont brillantissimes nos nos coachs !), met en avant les problématiques de relations et autres, que notre belle Sophie va régler bien évidement comme la femme compétente qu'elle est.
Quel est le rôle de Parker dans tout ça ? À part mettre la cliente dans son lit ? Une cliente effacée, transparente qui se révèle néanmoins être dès le premier soir une bombasse au pieu (eh oui, mesdames, mesdemoiselles, des Louboutins et une robe rouge ça vous rend sexy et audacieuse, il ne vous reste qu'à tester, coût de l'opération 600 euros, ça va non ? On est loin de la paire de Jimmy Choo à 4000 euros !) Bon revenons à la mission de Parker, eh bien je cherche encore. Ok, c'est le Dream Maker ! Et donc ? Je n'ai toujours pas de réponse.
Non, Parker ne me séduit pas. je n'accroche pas à son personnage trop superficiellement traité. Je dois faire partie des extraterrestres qui n'ont pas été touchés par le bel Apollon comme la majorité des lectrices. Et à l'histoire, au départ intéressante ? Non plus.
Le décor est féerique, LE Paris magique ! Comment ne pas rêver de plus beau décor ?
Tous les ingrédients pour une belle aventure sont là. Il ne restait donc qu'à lier la sauce. Malheureusement, les part des différents éléments sont trop disproportionnées les unes par rapport aux autres et le résultat final s'en trouve très déséquilibré. Trop de sexe, 2/3 pour 1/3 de descriptions (merci Mon Dieu ! l'auteure ne connait pas nos vins français, nous permettant ainsi d'échapper à l'énumération des 6 verres prévus lors du repas Chez Jules Verne), oui la description c'est nécessaire mais trop détails, vestimentaires, culinaires, c'est du remplissage quand l'action manque au menu. Et donc le dernier 1/3 est consacré à la mission ( j'avoue que j'ai été large sur le partage, à vrai dire, c'est plutôt moins qu'un tiers, mais bon on évalue tout ça à la louche, hein vous m'en voudrez pas ?).
Et c'est de cette construction déséquilibrée que vient ma déception. J'aurais aimé cette partie là, plus développée en accord avec ce qu'on nous a vendu, voir l'évolution de la personnalité du personnage féminin sous l'influence de ses coachs. Une différence entre, avant et après, une protagoniste à la personnalité plus affûtée, après le travail de coaching.
À vrai dire aucun des personnages n'est abouti. Tout est terriblement superficiel, voire même truffé d'incohérences. Comment Parker, peut-il s'extasier sur les beautés architecturales des Galeries Lafayette, certes une petite merveille, il faut bien le reconnaître, mais notre PDG semble si ébloui qu'il en embrasse Sophie sous un coup de tête ! Et d'abord qui vient acheter des jeans aux Galeries, quand on vient de claquer des sommes folles chez Dior, Gucci et Cie ? Les temples de monde pour les gens aisés ? Ils ont pas de jeans chez Dior ? Coté incohérence, je tiens à signaler que notre working girl parle 5 langues dont l'anglais et pourtant Parker la corrige sans cesse pour l'emploi erroné de son vocabulaire ? Bizarre non ?
Oui je sais, je fais ma chi...se. Je suis dé..so...lée, mais c'est trop énorme et tout est si inintéressant que je ne peut m'empêcher de relever les faiblesses du texte.
L'entrée en scène de la cliente suivante est quant à elle, des plus prévisible et l'évolution de la série cousue de fil blanc, tout à fait dans la lignée de Calendar girl, avec son style affligeant et je me désole de voir que pour beaucoup peu importe le contenu pourvu qu'on ait l'ivresse. Après tout, c'est ce qui a fait le succès d' Audrey Carlan. Malheureusement pas d'effet pétillant chez moi, ni aucune émotion pour ce premier tome, cette mise en bouche. Néanmoins, comme je suis très curieuse, et que j'ai le tome 2 dans ma PAL, je vais aller voir ce qui se passe et peut-être que Bo et Royce vont m'amuser dans le prochains tomes avec des rôles plus audacieux.

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Dans le même état d'esprit que Calendar Girl, International Guy est une saga aux tomes courts alors c'est certain qu'il ne faut pas s'attendre à beaucoup de profondeur, ni de développement d'intrigue. Il faut aller à l'essentiel. Exit ceux qui trouvent que ça va trop vite, qu'on n'en sait pas assez, etc. en moins de 200 pages c'est impossible. le but de ces romans, c'est de passer une petite heure à lire quelque chose de léger et sans chichi, histoire de passer le temps ou un entre deux bouquins qu'il faut digérer avant de se replonger dans un bon roman.

A l'instar de Calendar Girl qui était exclusivement du point de vue de Mia, personnage féminin, International Guy se présente d'un point de vue exclusivement masculin, et autour de 3 personnages : Parker, Bo et Royce, trois associés qui ont monté leur société et dont chacun possède un rôle bien défini. Ce premier tome s'ouvre avec le personnage de Parker, qui est le Dream Maker, c'est à dire qu'il coach ses clients en matière de vie. Et même si ce tome est exclusivement de son point de vue, Bo et Royce vont aussi devoir apporter leurs mains à la pâte car Sophie Rolland a besoin d'eux pour reprendre en main la société familiale.

Somme toute l'histoire est assez basique. Quand on sait que ces 12 tomes vont alterner les grandes villes, et les points de vue entre nos 3 personnages, il n'est pas difficile de deviner que ces derniers ne sont pas des hommes à vivre une grande histoire d'amour avec le personnage féminin du tome. Parker apparaît comme étant le cerveau de l'entreprise. Il donne l'impression que c'est lui qui dirige ses associés. Honnêtement, je n'ai pas su m'attacher à lui ou lui trouver un quelconque intérêt. Aussi jolie que puisse lui apparaître Sophie - même si elle apparaît comme fade et quelconque - le cerveau de Parker rentre dans les types clichés masculins : il ne pense qu'à se la taper. Il n'y a aucune substance (mais ça, je l'ai déjà dit, et c'est ce qui est attendu), mais j'ai trouvé ce côté là pas mal redondant et limite lassant. À tel point que j'en suis venue à penser : "mais saute-la et on en parle plus." Alors que lorsqu'on nous présente ce personnage, il est censé être le gentleman du groupe ! Parker est hyper suffisant, j'ai pas mal de fois lever les yeux au ciel. Il se targue d'être le meilleur, mais honnêtement, je me demande à quoi il sert bien précisément... si Bo et Royce ont des rôles bien défini (l'un s'occupe de la garde robe et l'autre des finances), Parker lui... je cherche en quoi ses leçons de vie servent exactement puisqu'à part les parties de jambes en l'air... on ne peut pas dire qu'il apporte grand chose à l'histoire !

Sophie, timide, réservé, et désireuse de vraiment bien faire en reprenant la tête de la société de son père, s'en remet totalement aux mains de nos IG et ne tarde pas à succomber aux charmes de Parker - en même temps, vu la façon dont il lui fait du rentre dedans, elle donne aussi parfois de ne pas avoir le choix que d'avoir son attention portée sur lui et n'a absolument aucune chance d'apprendre à connaître Bo ou Royce puisque Parker ne désire qu'elle ne voit que lui... - mais elle est consciente qu'il ne peut lui offrir aucune attache ou même aucune relation sentimentale et accepte sans problème.

Attention : si vous êtes féministes, ce tome va aussi vous faire grincer des dents ! Clairement, pour IG, il est impossible qu'une femme s'impose en portant des jeans et des baskets ! C'est talons de 10 cm et vêtements sexy obligatoires ! L'objectif de nos garçons, c'est de transformer Sophie, femme douce et timide, en une véritable croqueuse de diamant en ... une semaine ! Oui oui... (On se rappelle bien sûr que le roman ne fait pas 200 pages et qu'on a pas le temps pour étoffer et donner du contenu !) Enfin toujours est-il que le scénario est un peu dur à avaler, même si je dois bien reconnaître avoir lu ce roman avec un additivité certaine puisque j'ai enchaîné les pages et que j'ai tout de même passé un bon moment lecture. La plume d'Audrey Carlan fait son job. Quand on a déjà lu Calendar Girl, on sait déjà à quoi s'attendre.

Bo et Royce semblent davantage intéressants, et je pense continuer la saga uniquement pour découvrir ces deux autres personnages qui m'ont intrigué. Je ne reste pas sur mes apriori quant à ce premier tome car Audrey Carlan a déjà su me surprendre une première fois avec Calendar Girl et la tournure qu'avait prise sa saga, donc pourquoi pas être surprise à nouveau avec IG ? Pour l'instant, je jugerai qu'Internation Guy n'est pas du tout une lecture à prendre au sérieux, et qu'elle est juste là pour passer un peu le temps sans se prendre la tête.
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Depuis le premier jour où j'ai vu la publicité pour cette nouvelle saga, je savais que j'allais me laisser prendre au jeu. En même temps, comment résister à une phrase d'accroche comme celle là : “ Un homme au service des femmes.”

Je me suis donc lancée dans sa lecture dès sa sortie. L'été j'aime que les histoires que je lis soient plus légères dans le fond. Toute l'année, je cultive ce besoin d'aller vite pour avoir l'impression de perdre moins de temps. Je suis parisienne, maman de deux enfants, je tiens difficilement en place, j'aime apprendre et profiter des avantages qu'apporte la vie dans la capitale. Quand arrive le mois de juillet, je m'autorise à prendre du temps et à prendre mon temps et ça se reflète dans ma PAL estivale.Cette lecture m'a apportée tout ce que je recherchais.

Ce premier tome nous dévoile les personnalités des 3 personnages qui composent international Guy ainsi que sa création. Audrey Carlan a décidé de ne pas faire de jaloux sur ce coup ci en nous proposant des héros aussi différents que complémentaires. le dream maker, Parker est l'homme qui a eu l'idée un jour de créer cette société. le love maker, Royce est celui qui d'un coup de baguette vous transforme en business woman accomplie et le money maker, Bo, est celui qui manie les chiffres comme personne. Tous trois se sont associés, après l'acquisition de leurs diplômes respectifs, pour monter cette agence, afin de coacher des femmes qui occupent des postes à hautes responsabilités.

L'écriture est certes légère et fluide mais le contenu du récit n'en reste pas pour autant plat et sans saveur, au contraire, un thème qui rentre dans l'actualité y est abordé et est fait de façon très juste.

Pour ce premier coaching, nous les suivons dans Paris. le travail de description des décors fait par l'auteure est à souligner car je me suis vraiment sentie embarquée au travers des rues et des monuments parisiens. On fait un très joli tour de la capitale en leur compagnie. J'espère que les prochains tomes me feront autant voyager.

Parker est le narrateur du récit, je trouve que ça change beaucoup d'avoir seulement le point de vue d'un homme, déjà le langage qui par moment peut paraître un peu brut, de plus Parker est un homme à femme donc ses pensées sont souvent obscènes mais n'allez pas me faire dire que tous les hommes sont comme ça, les femmes aussi peuvent l'être ! En tout cas, je trouve que ce choix de narration est très judicieux.

La première femme que l'on rencontre, Sophie, est une jeune héritière de parfumerie de luxe. Sa place reste secondaire et pourtant les héros réussissent à la sublimer. La femme est vraiment mise en avant et la promesse faite au départ d'un homme au service des femmes est respectée.

Cette saga se compose de 12 tomes qui se dérouleront dans différentes villes du monde et qui sortiront chaque mois. J'aime l'idée de commencer cette lecture en été et qu'elle me suive tout au long de l'année. Chacun de notre côté, nous vivrons nos vies et ses aléas mais nous aurons toujours en tête le moment de plaisir que nous avons pris durant la lecture du 1er tome, en vacances, au soleil.

Je vous laisse à votre tour découvrir le premier volet d'international guy qui nous promet de belles aventures.


Bouquineusement vôtre !

Clari ♥
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Paris est magnifique au printemps. Et ce n’est pas un cliché. Les cerisiers du Japon sont en fleurs, la Seine grouille de bateaux et, partout, les femmes portent des robes ou des jupes. C’est ce que je préfère, voir des jambes libérées des pantalons de l’hiver, un buffet à volonté de peaux soyeuses que je m’imagine embrasser et caresser.

– Regardez, la tour Eiffel ! s’extasie Bo en la montrant du doigt à travers la fenêtre de la limousine qui nous a récupérés à notre hôtel.

Sophie Rolland n’a pas lésiné sur les moyens. Sa société nous loge dans un hôtel cinq étoiles, nous disposons chacun d’une suite luxueuse, avec minibar approvisionné et cuisine équipée pour un séjour prolongé. Un tel niveau de service va rendre le retour difficile pour Bo. Nous sommes tous les trois célibataires par nature, mais Bo l’est à un tout autre niveau. Moi, j’aime revenir à la maison, passer du temps dans mon appartement, traîner avec mon père et m’improviser un match de base-ball avec des contacts professionnels. À l’inverse, Bo pourrait voyager toute sa vie dans le monde sans foyer digne de ce nom. Il a un appartement dans le même complexe que le mien, mais il n’y vit que très rarement.

– Elle est plus petite que ce que je pensais.

Royce regarde par la fenêtre opposée tandis que j’observe le paysage par la vitre teintée du milieu.

– Je la trouve plutôt grande. Robuste. Solide. Exactement comme je l’imaginais. Les Français sont très forts pour les beaux monuments. Il n’y a qu’à voir notre Statue de la Liberté ou le Christ Rédempteur au Brésil.

– C’est eux qui ont fait le Christ de Rio ? demande Bo en fronçant les sourcils.

– Ouais, j’ai appris ça en cours de communication internationale. Attends… mais tu suivais le même cours !
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Ce roman est une honte absolue.
Je ne me sens pas militante féministe mais je respecte la condition de la femme (j'en suis une) et je n'ai jamais lu autant de stupidité dans ce bouquin. Au bout de 20 pages, le narrateur se permet de toucher la protagoniste, de la sentir, de lui prendre la main de l'appeler ma belle ou ma chérie et de la prendre par la taille.
On vit dans quel monde ? Même moi si je me sentais sexuelle ment attirée par un inconnu mon instinct de survie m'interdirait de me laisser toucher comme ça aussi facilement !
J'en suis d'autant plus choquée que c'est une femme qui a écrit cette horreur. C'est vraiment dommage car la plume est présente mais le scénario n'est pas crédible voir même catastrophique !
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J’aime les femmes. Jeunes. Âgées. Petites ou grandes. De la geek studieuse à la bombe sexuelle, je ne suis pas difficile. Qu’elles soient grandes, minces ou pulpeuses… je les ai toutes essayées. J’ai touché, dragué, embrassé et couché avec tous les genres possibles et imaginables. Il paraît qu’on a tous, sur terre, un don, quelque chose d’unique. Le mien, c’est de comprendre les femmes. Je m’appelle Parker Ellis et je suis un sacré veinard.
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- Tu vas y arriver. N'oublie pas que tu es la fille du grand Jacques Rolland qui a créé cet empire. Toi, ma douce Sophie, tu vas honorer cet héritage et le rendre encore plus précieux. Aie confiance en toi ! Tu peux le faire, je le sais ; nous le savons tous les trois. Bientôt tous tes employés et les membres du conseil le sauront.
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Dans le monde, nombreuses sont les femmes qui ont besoin d’un homme sûr de lui, solide et doté d’une grande attention pour leur venir en aide. Un homme comme moi.
Je suis le Dream Maker. »
« Sophie sourit tendrement. C’est un peu comme se prendre une gifle d’une princesse Disney.
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Le quatrième et dernier tome de la saga Wish, d'Audrey Carlan ! Après avoir suivi les aventures des trois soeurs Suda Kaye, Evie et Isabeau, venez faire la connaissance de... leur mère ! https://www.hugonewromance.fr/wish4/
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