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EAN : 9782709637992
377 pages
J.-C. Lattès (10/04/2013)
2.56/5   17 notes
Résumé :
Ne jamais avoir de liaison avec quelqu'un qui qui a moins à perdre que vous...

Après cinq années de passion secrète, Clive quitte Sally pour se consacrer à sa famille, laissant Sally en chute libre.
Tout commence par une promenade innocente devant chez lui, une petite visite à la brasserie où travaille son fils. Puis Sally se met à épier la femme et la fille de Clive sur Facebook. Mais rien de grave, n’est-ce pas? Tout le monde fait ça, non ? ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Dans une boite à livres, j'ai emprunté : La vengeance d'une maîtresse de Tamar Cohen.
Après cinq années de passion secrète, Clive quitte Sally pour se consacrer à sa famille, laissant Sally en chute libre.
Tout commence par une promenade innocente devant chez lui, une petite visite à la brasserie où travaille son fils. Puis Sally se met à épier la femme et la fille de Clive sur Facebook.
Mais rien de grave, n'est-ce pas ?
Tout le monde fait ça, non ?
La vengeance d'une maîtresse est un roman qui ne m'a pas convaincu du tout.
Oh que j'ai eu du mal avec cette lecture ! Je m'attendais à une machiavélique histoire de vengeance.. Raté !
Pourtant, le résumé me tentait. A un moment, en dessous le résumé, cet ouvrage est même comparé à.. Les liaisons dangereuses !
Ah oui.. vraiment ?
Je ne crois pas non lol
Ce roman est en fait le journal intime de Sally. Elle a été pendant cinq ans la maîtresse de Clive, un homme marié. Quand il la délaisse comme une vieille chaussette, Sally perd pied. Elle écrit son journal et c'est ce dernier que nous découvrons.
Je vais aller droit au but : je n'ai pas du tout aimé ce roman ! le coté journal intime m'a rapidement lassé.
Sally est une femme obsédée par son ex amant, par la famille de celui ci. Mais c'est une histoire de mal être, de colère, pas vraiment de vengeance ! le titre est trompeur.
Sally ne m'a pas du tout plu, à aucun moment je ne me suis attaché à elle ou à ses malheurs. Je l'ai trouvé inintéressante et j'ai vraiment peiné à suivre ce qui lui arrive.
Elle a été quitté au bout de cinq ans, certes c'est triste mais Clive était marié !
Ce n'est pas une gamine, elle devait quand même bien se douter que tout ça finirait un jour.
Plus que sa vengeance, nous suivons surtout.. sa dépression ! Et certains passages sont longs.. très.. très.. longs !
J'ai tellement peiné à lire ce roman que j'ai fini par le lire en diagonale et à me dire : tout ça pour ça !
Je ne vais rien ajouter de plus, je pense que vous avez compris que je n'ai pas aimé ce roman. Il va retourner bien vite dans la boite à livres où je l'ai emprunté.
Ma note : un tout petit deux étoiles.
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Tout d'abord, je trouve le titre très mal choisi, il n'est jamais vraiment question de vengeance. Pendant environ deux cents pages, Sally va se montrer de plus en plus obsédée par Clive, son ancien amant, et sa famille. Cent pages plus loin, elle s'est enfin rendue compte qu'elle avait un problème et que Clive n'avait ps été vraiment honnête. Les dernières pages sont celles des révélations au grand jour mais Sally n'y joue pas un grand rôle.


Dans ce roman, écrit sous forme de journal, Sally s'adresse à Clive en racontant ce qui lui arrive, ce qu'elle ressent, ce qu'elle pense qu'il fait ou pense, etc. Tout ce qu'elle a dans la tête y pas et on n'échappe donc pas à des digressions parfois un peu lourdes. J'ai trouvé que le ressenti de Sally était très bien transcrit, on voit très bien ce qu'elle vit mais il y a aussi des répétitions et après deux cents pages à la voir courir après ce qui n'existe que dans sa tête, je n'en pouvais plus. Sallyyyyyyyy la Soooooootte est un surnom qu'elle utilise pour elle même dans le texte beaucoup trop souvent et à des moments où je ne m'y attendais pas. Ca n'a l'air de rien mais ça a fini par me taper directement sur les nerfs et j'ai cru que j'allais jeter le livre par la fenêtre (et rien que d'en parler, mes poils se hérissent).


Sally est un personnage peu attachant, elle est trop pathétique pour ça, j'avais deviné la vraie personnalité de Clive au bout de quelques pages alors qu'elle croyait encore en lui après trois cents pages. Pour supporter ses lamentations, son obsession de Clive et son désintérêt total pour ses enfants et son compagnon, il faut essayer de la comprendre et surtout ne pas la juger. Si vous commencez à juger tout ce qu'elle dit ou fait, cette lecture sera une torture. Si vous comprenez que c'est juste une femme qui n'a vécu que pour l'amour durant plusieurs années qu'a duré sa liaison et qu'elle croit encore l'homme qui lui avait tout promis, ça se passera beaucoup mieux. Surtout que l'entourage de Sally ne l'aide pas.

Daniel, son compagnon, est passif. Il ne voit rien ni ne fait rien en voyant Sally aller de plus en plus mal. Et quand la situation familiale est devenue chaotique, il réalise enfin qu'il aurait peut être dû s'interroger et faire quelque chose. La thérapeute ne sert à rien, elle donne des leçons de morale inutiles. Susan, la femme de Clive, est aveugle à tout. Emily, leur fille, est totalement inintéressante. Hormis les enfants de Daniel et Sally, qui ont des raisons d'aller mal et qui n'y peuvent rien, les autres personnages sont inintéressants et peu attachants. le pire bien évidemment, c'est Clive, hypocrite et menteur, qui mériterait plus d'une paire de baffes.


Il faut donc supporter Sally et sa dépression, très bien rendue à l'écrit, qui devient vite lourde. Les évènements sont toujours racontés de son point de vue avec plus ou moins d'honneteté donc rien n'est vu en direct. Et comme il n'y a aucune indication de temps dans ce journal, on se perd parfois et on ne sait pas combien de temps s'écoule.


Ce que j'ai particulièrement aimé, c'est la toute fin, avec un joli retournement de situation pour Clive et Sally. C'était plutôt bien amené.

En bref, le ressenti de l'héroïne est extrêmement bien rendu par le texte mais sa descente aux enfers peut être difficile à supporter pour le lecteur, et la lecture devient vite oppressante. Surtout que les autres personnages sont eu intéressants (en même temps, du point de vue de Sally, rien ne compte hormis cette liaison) et que Sally se laisse porter par les évènements. Jamais elle ne provoque intentionnellement quelque chose et à aucun moment on ne peut parler de vengeance.
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Livre qui n'est pas trop mal écrit en soi mais plusieurs choses me posent problème..

Attention spoil...

Tout d'abord, c'est bête, mais l'absence de séparation (chapitre ou autre), ça ne structure pas le texte et on a l'impression de lire une page sans fin. Par ailleurs, le texte est assez "lourd" à lire mais en soi c'est la psychologie du personnage qui fait cela aussi donc ce n'est pas forcément un point négatif. Mais une structure, ça ne serait que des dates en haut (puisque c'est un journal), n'aurait pas été de trop.

Ensuite, pour rester sur la forme, le titre --> le livre ne traite pas du tout d'une vengeance mais plutôt de la description du développement d'une dépression et d'une descente aux enfers. le livre porte donc très mal son nom. Il est également présenté sur base de journal intime alors que rien ne le laissait le présager dans la structure du texte.

Toujours sur la forme, intercaler tous les x temps "Sallyyyy la soooootttttteeee" qui, visiblement, était un surnom "pour rire" que lui donnait son amant, tape très vite sur les nerfs. Surtout que ce n'est pas toujours bien placé et un peu trop répétitif à mon goût.

La fin du livre me déçoit, étant donné la psychologie du personnage et la descente aux enfers qu'elle subit (+ le fait qu'elle se désillusionne) il est très peu probable psychologiquement que "soudainement" elle lâche l'affaire parce qu'elle voit un pied de bébé remuer. Vu le passif et l'obsession du bébé qui finalement n'existait pas, un bébé réel aurait probablement eu un impact psychologique dans l'autre sens (càd aggraver les choses).
Le retournement sur les dernières pages est bien écrit, bien ficelé, mais il n'est pas réaliste. Qu'elle ne finisse pas en prison et se remette l'air de rien, n'ait plus d'affection pour Clive, etc. ça n'a pas de sens. le minimum aurait été, pour la cohérence du personnage, qu'elle continue à lui écrire alors qu'il est en détention.

La descente aux enfers du personnage principal est par contre bien écrit, je sentais ses émotions transpirer le papier, et c'est pour cela que je laisse 3,5 étoiles mais la fin est décevante car pour moi incohérente psychologiquement avec les 300 pages qui précèdent...
+ le fait qu'il n'y a pas de structure, c'est définitivement un livre que je ne lirai pas une deuxième fois.
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Obsession … Addiction … Amour destructeur … Passion ... Désespoir … Folie … Psychologie … Vengeance … La vengeance d'une maîtresse c'est tout cela à la fois, un journal intime où nous suivons Sally (ou comme elle aime s'appelait Sally la Soooootte!). L'amour c'est à la fois un sentiment inouï, sublime qui vous fait vivre les montagnes russes et qui à la puissance et la force de nous rendre vivants. Mais, l'amour peut être destructeur, dévastateur et devenir une souffrance absolue. Il peut causer une souffrance tellement forte et douloureuse qu'elle peut nous rendre fous et nous faire perdre la raison. C'est ce que va nous montrer Sally. Son obsession, sa fureur et sa haine sont transmises tout le long du récit.

Tamar Cohen a choisit une narration à la deuxième personne, ce qui est au départ très destabilisant et rend le récit encore plus oppressant. Dans son journal, Sally parle à Clive. Elle lui écrit sa souffrance et sa descente aux enfers après leur rupture. Cette narration nous met donc à la place de Clive et donc de coupable. Dès les premières pages, j'ai été prise dans le récit. On se sent visé, pointé du doigt et j'ai vraiment eu l'impression d'être sur l'échafaud à écouter les plaintes contre moi. Tamar Cohen ne nous fait pas languir et nous plonge directement dans l'ambiance du récit : froid et sombre.

La psychologie de Sally est intelligemment construite et développée. J'oscillais entre la compassion et l'inquiétude. Sally est inquiétante, gênante et destabilisante. J'en suis venue à penser qu'elle était complètement dingue ! Et je pense qu'elle l'est, un peu... Beaucoup ! La folie la guette et elle se noie de plus en plus dans sa souffrance, ne faisant rien pour s'en sortir. Elle est obnubilée oubliant son entourage, les personnes qui comptent pour elle. Elle veut Clive, sa vie, la place de sa femme, être avec lui et rien d'autre ne compte. Et même si ses actes sont répréhensibles, c'est difficile de la juger et de la blâmer. Après tout, le cerveau humain est plein de secrets et la psychologie est pleine de mystères. Là en tant normal, je dirais que tout est disproportionnée, qu'elle fait n'importe quoi et qu'il faudrait l'interner mais sommes-nous vraiment à l'abri ? N'est-il pas possible que nous nous retrouvons dans la même obsession après une souffrance, un choc ? Je ne le sais pas... En tout ce qui est sûre c'est que j'espère au grand jamais devenir comme ça !

Je ne peux pas dire que je me suis attachée à son personnage et je ne pense pas que le récit soit fait pour qu'on l'apprécie. Elle m'a fait lever les yeux au ciel et elle m'a sacrément énervé quand on voit ce qu'elle fait subir à son entourage avec son addiction. J'ai eu de la peine pour Daniel, Tilly et Jaimie. Ces trois personnages sont des victimes collatérales de cette souffrance.

Le rythme du récit est plutôt lent. On se replonge dans ses souvenirs tout en suivant son présent et plongeant dans son gouffre. Ses actions sont malsaines et gênantes. Je m'attendais à une autre sorte de vengeance, ici, elle est psychologique. le gros rebondissement arrive dans les dernières pages. J'ai été choquée d'un passage, en me demandant si sérieusement elle allait le faire, oser car plus nous avançons plus la tension augmente et la haine et le désir de vengeance sont omniprésents. Certaines de ses pensées sont terrifiantes ! Je ne m'attendais pas à cette fin. J'ai été surprise, c'était bien joué de la part de l'auteure. ​

En conclusion, Tamar Cohen nous entraîne dans les profondeurs de la souffrance de l'âme humaine après un amour destructeur. La psychologie de l'héroïne ou plutôt de l'antihéroïne est soigneusement travaillé pour nous mettre mal à l'aise. J'ai été dérangée et gênée tout au long de ma lecture !
Lien : http://croqueuse-livres.weeb..
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Sally, la quarantaine, se retrouve dans une situation intenable. En effet, après de belles promesses son amant, Clive, la quitte pour s'occuper de sa famille. Elle était pourtant prête à quitter son propre mari et sa famille pour partager sa vie avec lui. A partir de là commence la chute d'une femme blessée et meurtrie.

Nous avons donc un sujet qui peut paraitre un peu stéréotypé mais au final le thème abordé est mine de rien assez lourd avec tout ce qui tourne autour de la dépression, du déni total, d'un égoïsme face à sa propre famille et de la prise d'antidépresseurs et de somnifères. La psychanalyse est d'ailleurs souvent tournée en dérision.

En réalité, il s'agit d'un journal adressé à Clive. En effet, tout le long du roman Sally s'adresse à lui à la première personne. Ce roman ne comporte aucun chapitre. A première vue c'est assez déroutant. Cependant, nous avons tout de même des sauts de ligne pour nous avertir qu'elle écrit à des moments différents. Mais si on se met à la place du personnage principal, qui est dans un état lamentable, il est compréhensible qu'elle ne prenne pas le temps de noter les dates de rédaction. Ceci pose parfois problème au lecteur pour se situer dans le temps.

Sally n'est pas un personnage attirant. Elle se laisse aller, ne s'occupe plus de ses enfants, ment à son mari à tout va. Par contre, on a forcément à un moment ou à un autre de l'empathie pour cette femme mais aussi de la pitié face à ce qui lui arrive. En effet, nous avons sous les yeux une femme en pleine souffrance qui tombe petit à petit dans la folie.

L'écriture est fluide. Ce roman se lit très vite et est très bien écrit. On se prend tout de même au jeu de savoir jusqu'où ira Sally. Un fort suspens à la fin est mis en place. Mais seulement à la toute fin. C'est franchement dommage. le début est plutôt intéressant et prometteur mais le schéma mis en place par l'auteure devient vite répétitif. La situation n'avance pas. Tamar Cohen aurait dû aller plus loin dans son sujet. Ce roman aurait mérité d'être plus fouillé surtout vu le sujet.

Je n'ai vraiment pas compris le rapport entre le titre du roman et son contenu. En aucun cas, je n'ai ressenti de la part de l'héroïne une quelconque agressivité. La plupart du temps elle est complétement abattue, paumée et ne sait pas ce qu'elle fait. Certes elle continue de s'immiscer dans la vie des proches de son ex-amant mais c'est davantage pour garder un lien avec lui que pour lui faire du mal.

Une lecture en demi-teinte pour moi donc. Un bon sujet de roman qui aurait pu être palpitant d'autant plus que l'auteure a une écriture très agréable. Les sentiments me paraissent plutôt bien retranscrits et la mise en forme du récit est intéressante et intelligente. Dommage que le titre induise le futur lecteur en erreur, que Sally ne soit pas plus attachante et que le véritable suspens n'arrive qu'à la fin.
Lien : http://netherfieldpark.wordp..
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Je me demande si ta thérapeute d’Haley Street te dit ce genre de trucs. Tout ce baratin sur le fait d’assumer tes actes. C’est l’une des bêtes noires de Helen : mon refus d’ »assumer la responsabilité » des choses que je fais et que j’ai faites. Ça me donne un peu l’air d’une squatteuse, non ? Prendre possession de ma vie. Remarque, si j’étais une squatteuse, je pourrai jeter un coup d’œil rapide par l’entrebâillement de la porte de ma vie, décider que ce n’était pas vraiment ce que j’avais en tête, et trouver quelqu’un d’autre pour en prendre possession. Quelqu’un de mieux.
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Si je ne t'avais pas rencontré, je n'aurais jamais pris conscience de ce que j'étais capable de ressentir. Je sais que c'est un peu cliché, mais je suis persuadée que pour savoir ce qu'est réellement l'amour, même la parodie grotesque de l'amour qu'est devenu le nôtre, il faut en avoir connu la perte. L'amour, comme le bonheur, ne peut s'appréhender qu'à posteriori.
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"J'adore te regarder dormir, disais-tu. J'aime te protéger." N'était-ce que dans ma tête ? Tes yeux attendris ? Tes mains tremblantes ?
- Les gens changent, n'arrête pas de me répéter Helen. Mais ça ne veut pas dire pour autant qu'ils n'ont jamais été sincères.
Les gens changent. D'accord. Mais s'ils nous avaient promis de nous aimer pour toujours ? S'ils nous avaient dit que jamais ils ne nous quitteraient ? S'ils avaient menti, et menti, et menti encore ?
Les gens ne devraient-ils pas avoir à rendre des comptes ?
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Les gens changent. D'accord. Mais s'ils avaient promis de nous aimer pour toujours ? S'ils nous avaient dit que jamais ils ne nous quitteraient ? S'ils avaient menti, et menti, et menti encore ?
Les gens ne devraient-ils pas avoir à rendre des comptes?
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