Résumé : "Dans ce deuxième volet de la trilogie Les Filles de Caleb, c'est la fille d'Émilie, Blanche Pronovost, qui nous entraîne sur les chemins aventureux de sa vie. Blanche rêve de médecine et si elle vient à Montréal au début des années trente afin d'y suivre un cours d'infirmière, c'est toutefois en Abitibi qu'elle ira pratiquer le métier qui la passionne. À La Sarre, dans son dispensaire « confortable et sans richesse », elle sera appelée à relever les défis les plus inattendus, parmi une population durement éprouvée. Dans la froideur de l'hiver abitibien, Blanche croisera un sourire irrésistible qui lui donnera à penser que « son hiver venait de fondre ». C'est celui d'un Franco-Manitobain au sens de l'humour irrésistible, Clovis Lauzé…"
Ce second Tome m'a bien moins passionnée que le précédent. Bien sur, on retrouve la plume si légère et passionnée d'
Arlette Cousture, mais l'histoire de Blanche, fille d'Emilie m'a semblé tellement fade, presque quelconque après avoir lu Emilie.
Blanche étudie pour devenir médecin. C'est rare et peu reconnu à cette époque qu'une femme fasse "un métier d'homme". Mais elle s'accroche et fini par travailler dans un dispensaire, où elle rencontre l'homme qui fera fondre son coeur.
Au delà de ça, je n'y ai trouvé aucun intérêt poignant. de plus, Emilie, sa mère et héroïne du Premier tome éponyme, est dépeinte ici comme une femme distante et non plus comme la passionnée et aimante que l'on connaissait... Cela m'a blessé, un peu comme si on s'en prenait à une amie.
Peut-être que cette impression désagréable a faussé mon jugement. Sans doute changerais-je d'avis une fois que je l'aurais relu...