Qui sont les Mages du Trident Rouge ? Une secte, une association de disciples un peu fêlés, dont la particularité est de terminer leurs réunions en chantant et dansant sur l'air de la Belle Hélène d'Offenbach...Tous, adorateurs de Satan ! Comme ce tueur en série qui signe ses crimes d'une citation latine : Demon est deus inversus, le diable est dieu sens dessus dessous. Crimes particulièrement odieux et tellement sordides que la presse le surnomme l'Équarrisseur... Dans une nouvelle enquête, le Commandant Léon Crevette, aidé de son ami Eddy Baccardi, explore l'univers des Mages du Trident Rouge et va traquer l'Équarrisseur.
Voir le livre : https://cutt.ly/iF2vVLC
-------------------------------------------------------------------------------------------------------
Après une vie de haut fonctionnaire, Maurice Daccord consacre désormais son temps à l'écriture. Après Tantum ergo , salué par la critique, le Secret des Mages du Trident Rouge est le deuxième tome d'une série appelée à s'étoffer au fil du temps : les enquêtes de Crevette et Baccardi.
-------------------------------------------------------------------------------------------------------
Suivez-nous
Instagram : https://www.instagram.com/editions.ha...
Twitter : https://twitter.com/HarmattanParis
Facebook : https://www.facebook.com/Editions.Har...
Maurice DaccordUne enquête de Crevette et Baccardi tome 3 sur 3
/5 6 notes
/5 6 notes
Résumé :
Alors qu'il prend des vacances au bord de la Méditerranée, le Commandant Crevette est rattrapé par une actualité sordide. Confronté à des narco-trafiquants sans pitié, à un sénateur ripou sans scrupules, Léon Crevette devra faire preuve de beaucoup de ténacité, aidé en cela par Eddy Baccardi dont la perspicacité ne sera pas de trop pour suppléer le gendarme dans sa tâche. Les deux enquêteurs bénéficieront du soutien moral de leurs deux compagnes venues en renfort. T... >Voir plus
étiquettes
Ajouter des étiquettes
Que lire après Une enquête de Crevette et Baccardi : L'affaire des flambeaux noirsVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (6)
Voir plus
Ajouter une critique
En me lançant dans ce roman policier, je ne m'attendais pas à découvrir une enquête aussi riche que ce soit au niveau des jeux de mots, de l'humour de notre cher commandant ou du nombre de recettes évoquées à chaque page qui raviraient Maïté !
Dans l'Affaire des flambeaux noirs, nous faisons la connaissance de Crevette, un enquêteur à la langue très imagée que nous rencontrons finalement peu dans la littérature car nous sommes loin de l'image idéalisée et clichée du "flic parfait". Et pour cause, le commandant crevette est une personnalité des plus naturelles. A l'image de ses personnages, la plume de Maurice Daccord est très spontanée ce qui renforce les traits complètement décalés de Crevette et de son acolyte Baccardi, un psy qui va l'aider à résoudre l'enquête.
Même s'il s'agit du troisième tome d'une série, cette enquête assez courte peut se lire indépendamment des deux autres, ce qui a été mon cas.
Je tiens à remercier Maurice Daccord et les Éditions L'Harmattan Noir pour la découverte de ce roman idéal pour l'été qui vous fera passer un bon moment en bord de mer pour une investigation des plus singulières ;-D
Dans l'Affaire des flambeaux noirs, nous faisons la connaissance de Crevette, un enquêteur à la langue très imagée que nous rencontrons finalement peu dans la littérature car nous sommes loin de l'image idéalisée et clichée du "flic parfait". Et pour cause, le commandant crevette est une personnalité des plus naturelles. A l'image de ses personnages, la plume de Maurice Daccord est très spontanée ce qui renforce les traits complètement décalés de Crevette et de son acolyte Baccardi, un psy qui va l'aider à résoudre l'enquête.
Même s'il s'agit du troisième tome d'une série, cette enquête assez courte peut se lire indépendamment des deux autres, ce qui a été mon cas.
Je tiens à remercier Maurice Daccord et les Éditions L'Harmattan Noir pour la découverte de ce roman idéal pour l'été qui vous fera passer un bon moment en bord de mer pour une investigation des plus singulières ;-D
Un grand merci à Babelio pour m'avoir sélectionné lors de la "Masse Critique" et aux édition L Harmattan pour l'envoi de ce roman.
Je ne connaissais pas ces deux personnages que sont Léon Crevette commandant de Police et Eddy Baccardi retraité qui s'occupe en tenant un cabinet de "psychologie ". Je vais devoir rattraper mon retard, car je commence au tome 3, ce n'est pas très grave.
Crevette enquête donc sur un mort et un enlèvement, le père et le fils. le premier retrouvé mort dans une crique et le second évaporé dans la nature.
J'ai bien aimé l'ambiance, les personnages, les lieux (je suppose la Côte d'azur, près de Bandol puisque le vin du même nom est cité lors d'un repas au restaurant).
L'humour est présent à toute les pages, parfois, il faut tout de même se triturer les méninges, tant la finesse est aiguisée.
L'auteur avec qui aucune contestation n'est possible ni de la part du lecteur ni de lui. Donc, je suis d'accord, heu ! non c'est lui DACCORD maurice, bon, enfin, je suis du même avis que lui pour dire que de ne pas se prendre la tête est essentiel. C'est ce que l'on ressent en lisant ses lignes.
J'ai passé de bonnes heures à découvrir ses deux héros et leur entourage?
Je ne connaissais pas ces deux personnages que sont Léon Crevette commandant de Police et Eddy Baccardi retraité qui s'occupe en tenant un cabinet de "psychologie ". Je vais devoir rattraper mon retard, car je commence au tome 3, ce n'est pas très grave.
Crevette enquête donc sur un mort et un enlèvement, le père et le fils. le premier retrouvé mort dans une crique et le second évaporé dans la nature.
J'ai bien aimé l'ambiance, les personnages, les lieux (je suppose la Côte d'azur, près de Bandol puisque le vin du même nom est cité lors d'un repas au restaurant).
L'humour est présent à toute les pages, parfois, il faut tout de même se triturer les méninges, tant la finesse est aiguisée.
L'auteur avec qui aucune contestation n'est possible ni de la part du lecteur ni de lui. Donc, je suis d'accord, heu ! non c'est lui DACCORD maurice, bon, enfin, je suis du même avis que lui pour dire que de ne pas se prendre la tête est essentiel. C'est ce que l'on ressent en lisant ses lignes.
J'ai passé de bonnes heures à découvrir ses deux héros et leur entourage?
Quel plaisir de retrouver ce duo d'amis enquêteurs pour une troisième et sombre affaire.
Notre cher commandant Crevette se retrouve plongé, malgré lui, dans une drôle d'histoire alors qu'il était en vacances, le pauvre, jamais de répit...
On n'a, une fois de plus, aucun mal à s'immerger dans l'enquête proposée par l'auteur, une enquête travaillée, hautement intéressante, qui va nous tenir en haleine du début à la fin. Tout cela évidemment avec une énorme dose d'humour et de références culturelles chères à l'auteur. J'ai particulièrement apprécié les touches gastronomiques de ce tome, et je me suis régalée page après page avec nos habituels et truculents protagonistes.
Un polar à la Audiard qui ne laisse pas de marbre, un voyage surprenant sur la côte méditerranéenne qui commence par une noyade douteuse et une disparition au sein de la famille d'un sénateur influent... Tueurs, dealers, moult pistes à explorer au coeur d'un monde baigné par l'argent et la corruption, ne vont pas laisser beaucoup de temps libre à notre cher Crevette. Il va, bien sûr, se faire aider par son ami Baccardi, toujours aussi perspicace, dont l'épouse, tout comme la sienne, ne se trouve jamais bien loin.
Un roman policier décalé, bien rythmé et bien bâti avec des personnages croqués avec soin, qui m'a fait passer un très bon moment de lecture. Les pages se tournent toutes seules. Un style unique et reconnaissable entre mille qui fait mouche à chaque affaire. À découvrir sans tarder !
Notre cher commandant Crevette se retrouve plongé, malgré lui, dans une drôle d'histoire alors qu'il était en vacances, le pauvre, jamais de répit...
On n'a, une fois de plus, aucun mal à s'immerger dans l'enquête proposée par l'auteur, une enquête travaillée, hautement intéressante, qui va nous tenir en haleine du début à la fin. Tout cela évidemment avec une énorme dose d'humour et de références culturelles chères à l'auteur. J'ai particulièrement apprécié les touches gastronomiques de ce tome, et je me suis régalée page après page avec nos habituels et truculents protagonistes.
Un polar à la Audiard qui ne laisse pas de marbre, un voyage surprenant sur la côte méditerranéenne qui commence par une noyade douteuse et une disparition au sein de la famille d'un sénateur influent... Tueurs, dealers, moult pistes à explorer au coeur d'un monde baigné par l'argent et la corruption, ne vont pas laisser beaucoup de temps libre à notre cher Crevette. Il va, bien sûr, se faire aider par son ami Baccardi, toujours aussi perspicace, dont l'épouse, tout comme la sienne, ne se trouve jamais bien loin.
Un roman policier décalé, bien rythmé et bien bâti avec des personnages croqués avec soin, qui m'a fait passer un très bon moment de lecture. Les pages se tournent toutes seules. Un style unique et reconnaissable entre mille qui fait mouche à chaque affaire. À découvrir sans tarder !
Avec "les Flambeaux Noirs" je découvre un nouvel auteur de polar, Maurice Daccord, et des nouveaux enquêteurs, le commandant de gendarmerie Crevette et son copain Eddy Baccardy, psychologue amateur pour Dames, auxquels est joint pour l' affaire le lieutenant de gendarmerie Flocon.
Bref résumé : C'est l'histoire d' un pêcheur retrouvé noyé, de son jeune fils enlevé, du grand-père sénateur pas très honnête, d'une belle Leïla, d'un mystérieux docteur T, des compagnes de Crevette et d'Eddy, du restaurant tenu par les Belges, du lieutenant Flocon et du trafic de cocaïne.
Style récréatif débordant de sous-entendus au cinéma et à de textes de chansons que je ne suis pas sûre d'avoir entièrement décodés 😅.
Roman sympathique qui ne se prend pas au sérieux avec cependant un peu d'amertume vis à vis de sa hiérarchie pour le commandant dans les dernières pages.
Merci à Babélio et aux Éditions l'Harmattan de m'avoir adressé ce roman.
Bref résumé : C'est l'histoire d' un pêcheur retrouvé noyé, de son jeune fils enlevé, du grand-père sénateur pas très honnête, d'une belle Leïla, d'un mystérieux docteur T, des compagnes de Crevette et d'Eddy, du restaurant tenu par les Belges, du lieutenant Flocon et du trafic de cocaïne.
Style récréatif débordant de sous-entendus au cinéma et à de textes de chansons que je ne suis pas sûre d'avoir entièrement décodés 😅.
Roman sympathique qui ne se prend pas au sérieux avec cependant un peu d'amertume vis à vis de sa hiérarchie pour le commandant dans les dernières pages.
Merci à Babélio et aux Éditions l'Harmattan de m'avoir adressé ce roman.
C'est grâce à une Masse critique Babelio que j'ai eu la chance de recevoir ce livre. Dans le plus pur jus "polar" : couverture noire minimaliste, police jaune façon dactilo, un corbeau qui veille comme logo, le tout est plutôt engageant !
Il s'agit d'une aventure de Crevette et Baccardi, personnages créés par Maurice Daccord un ancien haut fonctionnaire. Ces personnages sont sympathiques, attachants, bien bâtis.
L'intrigue quant à elle tourne autour du meurtre d'un patron de pêche et de l'enlèvement de son fils. Gendre et petit fils d'un sénateur, le lecteur comprend rapidement qu'une histoire de trafic de drogue se cache derrière tout ça. Les quelques 200 pages s'avalent bien et nous tiennent en alaine.
Seul défaut de ce polar, l'abus d'argot et de citations, ça en devient fatiguant ! L'ex sous-préfet qu'est l'auteur essaie visiblement d'encanailler sa langue mais son écriture manque encore de naturel. Dommage car c'est bien le seul défaut !
Il s'agit d'une aventure de Crevette et Baccardi, personnages créés par Maurice Daccord un ancien haut fonctionnaire. Ces personnages sont sympathiques, attachants, bien bâtis.
L'intrigue quant à elle tourne autour du meurtre d'un patron de pêche et de l'enlèvement de son fils. Gendre et petit fils d'un sénateur, le lecteur comprend rapidement qu'une histoire de trafic de drogue se cache derrière tout ça. Les quelques 200 pages s'avalent bien et nous tiennent en alaine.
Seul défaut de ce polar, l'abus d'argot et de citations, ça en devient fatiguant ! L'ex sous-préfet qu'est l'auteur essaie visiblement d'encanailler sa langue mais son écriture manque encore de naturel. Dommage car c'est bien le seul défaut !
Citations et extraits (6)
Voir plus
Ajouter une citation
— Bonjour Commandant, il veut vous voir.
— Je pose mes affaires et j’arrive.
— Il veut vous voir tout de suite.
Qu’est-ce qui peut agiter le bocal du chef de si bon matin se dit Léon, pensif et en aparté bien qu’il soit très loin de maîtriser cette langue, tout en frappant à la porte du bureau.
Son nouveau patron, le commissaire Tergaim, l’ancien étant au ballon pour un bon bout de temps, le reçoit immédiatement.
— Crevette, je viens d’avoir la DGGN, vous devez prendre contact avec le lieutenant responsable de la brigade du bled où vous étiez en vacances, un certain Flocon. Vous le connaissez ? Ce n’est pas banal comme nom au bord de la Méditerranée.
— Je l’ai rencontré et ma compagne a autopsié une de ses affaires, si j’ose dire, dans le cadre d’une enquête qu’il dirige.
— J’ai appris que le Docteur Maximova avait été réquisitionnée. Il est gonflé le proc ! Flocon est sur un meurtre et un enlèvement je crois ?
— Oui, les deux affaires sont liées à mon avis.
— Justement, selon la DGGN, cet officier ne s’en sort pas, il est, paraît-il, débordé. Débordé et perdu. Bref, on nous, on vous sollicite pour lui donner un coup de main. Ça ne devrait pas poser de problème, vous êtes un militaire, comme lui.
— Pourquoi moi ?
— Le susnommé Flocon n’a pas arrêté de dire partout qu’il a eu la chance de rencontrer l’homme qui a mis l’Équarrisseur hors d’état de nuire …
— Et ?
— Et ? Vous repartez en vacances petit veinard, elle est pas belle la vie ! En clair vous reprenez l’affaire, mais sans faire de l’ombre à ce jeune lieutenant. Ferme et fondant tout à la fois Crevette, comme le yaourt. Personnellement j’adore celui au caramel, et l’autre, à la crème brûlée, c’est une tuerie. Pas trop fondant quand même, avec Flocon !
Et le commissaire se marre.
Mon Dieu se dit Léon, bien obligé de se marrer avec lui… Sur une échelle de un à cent, l’humour du commissaire Tergaim est resté coincé entre l’almanach Vermot et les couvertures auxquelles vous avez échappé cette semaine.
— Votre train est à quatorze heures quarante-trois, Flocon viendra vous chercher à la gare, mon assistante vous a pris un billet et réservé une chambre à l’hôtel du village.
— Vous voulez dire l’hôtel-restaurant-tabac-épicerie-essence, patron… ?
— Désolé, le Hyatt était complet !
— Je pose mes affaires et j’arrive.
— Il veut vous voir tout de suite.
Qu’est-ce qui peut agiter le bocal du chef de si bon matin se dit Léon, pensif et en aparté bien qu’il soit très loin de maîtriser cette langue, tout en frappant à la porte du bureau.
Son nouveau patron, le commissaire Tergaim, l’ancien étant au ballon pour un bon bout de temps, le reçoit immédiatement.
— Crevette, je viens d’avoir la DGGN, vous devez prendre contact avec le lieutenant responsable de la brigade du bled où vous étiez en vacances, un certain Flocon. Vous le connaissez ? Ce n’est pas banal comme nom au bord de la Méditerranée.
— Je l’ai rencontré et ma compagne a autopsié une de ses affaires, si j’ose dire, dans le cadre d’une enquête qu’il dirige.
— J’ai appris que le Docteur Maximova avait été réquisitionnée. Il est gonflé le proc ! Flocon est sur un meurtre et un enlèvement je crois ?
— Oui, les deux affaires sont liées à mon avis.
— Justement, selon la DGGN, cet officier ne s’en sort pas, il est, paraît-il, débordé. Débordé et perdu. Bref, on nous, on vous sollicite pour lui donner un coup de main. Ça ne devrait pas poser de problème, vous êtes un militaire, comme lui.
— Pourquoi moi ?
— Le susnommé Flocon n’a pas arrêté de dire partout qu’il a eu la chance de rencontrer l’homme qui a mis l’Équarrisseur hors d’état de nuire …
— Et ?
— Et ? Vous repartez en vacances petit veinard, elle est pas belle la vie ! En clair vous reprenez l’affaire, mais sans faire de l’ombre à ce jeune lieutenant. Ferme et fondant tout à la fois Crevette, comme le yaourt. Personnellement j’adore celui au caramel, et l’autre, à la crème brûlée, c’est une tuerie. Pas trop fondant quand même, avec Flocon !
Et le commissaire se marre.
Mon Dieu se dit Léon, bien obligé de se marrer avec lui… Sur une échelle de un à cent, l’humour du commissaire Tergaim est resté coincé entre l’almanach Vermot et les couvertures auxquelles vous avez échappé cette semaine.
— Votre train est à quatorze heures quarante-trois, Flocon viendra vous chercher à la gare, mon assistante vous a pris un billet et réservé une chambre à l’hôtel du village.
— Vous voulez dire l’hôtel-restaurant-tabac-épicerie-essence, patron… ?
— Désolé, le Hyatt était complet !
— Crevette, je viens d’avoir la DGGN, vous devez prendre contact avec le lieutenant responsable de la brigade du bled où vous étiez en vacances, un certain Flocon. Vous le connaissez ? Ce n’est pas banal comme nom au bord de la Méditerranée.
— Je l’ai rencontré et ma compagne a autopsié une de ses affaires, si j’ose dire, dans le cadre d’une enquête qu’il dirige.
— J’ai appris que le Docteur Maximova avait été réquisitionnée. Il est gonflé le proc ! Flocon est sur un meurtre et un enlèvement je crois ?
— Oui, les deux affaires sont liées à mon avis.
— Justement, selon la DGGN, cet officier ne s’en sort pas, il est, paraît-il, débordé. Débordé et perdu. Bref, on nous, on vous sollicite pour lui donner un coup de main. Ça ne devrait pas poser de problème, vous êtes un militaire, comme lui.
— Je l’ai rencontré et ma compagne a autopsié une de ses affaires, si j’ose dire, dans le cadre d’une enquête qu’il dirige.
— J’ai appris que le Docteur Maximova avait été réquisitionnée. Il est gonflé le proc ! Flocon est sur un meurtre et un enlèvement je crois ?
— Oui, les deux affaires sont liées à mon avis.
— Justement, selon la DGGN, cet officier ne s’en sort pas, il est, paraît-il, débordé. Débordé et perdu. Bref, on nous, on vous sollicite pour lui donner un coup de main. Ça ne devrait pas poser de problème, vous êtes un militaire, comme lui.
— Justement, selon la DGGN, cet officier ne s’en sort pas, il est, paraît-il, débordé. Débordé et perdu. Bref, on nous, on vous sollicite pour lui donner un coup de main. Ça ne devrait pas poser de problème, vous êtes un militaire, comme lui.
— Pourquoi moi ?
— Le susnommé Flocon n’a pas arrêté de dire partout qu’il a eu la chance de rencontrer l’homme qui a mis l’Équarrisseur hors d’état de nuire …
— Et ?
— Et ? Vous repartez en vacances petit veinard, elle est pas belle la vie ! En clair vous reprenez l’affaire, mais sans faire de l’ombre à ce jeune lieutenant. Ferme et fondant tout à la fois Crevette, comme le yaourt. Personnellement j’adore celui au caramel, et l’autre, à la crème brûlée, c’est une tuerie. Pas trop fondant quand même, avec Flocon !
Et le commissaire se marre.
— Pourquoi moi ?
— Le susnommé Flocon n’a pas arrêté de dire partout qu’il a eu la chance de rencontrer l’homme qui a mis l’Équarrisseur hors d’état de nuire …
— Et ?
— Et ? Vous repartez en vacances petit veinard, elle est pas belle la vie ! En clair vous reprenez l’affaire, mais sans faire de l’ombre à ce jeune lieutenant. Ferme et fondant tout à la fois Crevette, comme le yaourt. Personnellement j’adore celui au caramel, et l’autre, à la crème brûlée, c’est une tuerie. Pas trop fondant quand même, avec Flocon !
Et le commissaire se marre.
— Bonjour Commandant, il veut vous voir.
— Je pose mes affaires et j’arrive.
— Il veut vous voir tout de suite.
Qu’est-ce qui peut agiter le bocal du chef de si bon matin se dit Léon, pensif et en aparté bien qu’il soit très loin de maîtriser cette langue, tout en frappant à la porte du bureau.
Son nouveau patron, le commissaire Tergaim, l’ancien étant au ballon pour un bon bout de temps, le reçoit immédiatement.
— Crevette, je viens d’avoir la DGGN, vous devez prendre contact avec le lieutenant responsable de la brigade du bled où vous étiez en vacances, un certain Flocon. Vous le connaissez ? Ce n’est pas banal comme nom au bord de la Méditerranée.
— Je l’ai rencontré et ma compagne a autopsié une de ses affaires, si j’ose dire, dans le cadre d’une enquête qu’il dirige.
— Je pose mes affaires et j’arrive.
— Il veut vous voir tout de suite.
Qu’est-ce qui peut agiter le bocal du chef de si bon matin se dit Léon, pensif et en aparté bien qu’il soit très loin de maîtriser cette langue, tout en frappant à la porte du bureau.
Son nouveau patron, le commissaire Tergaim, l’ancien étant au ballon pour un bon bout de temps, le reçoit immédiatement.
— Crevette, je viens d’avoir la DGGN, vous devez prendre contact avec le lieutenant responsable de la brigade du bled où vous étiez en vacances, un certain Flocon. Vous le connaissez ? Ce n’est pas banal comme nom au bord de la Méditerranée.
— Je l’ai rencontré et ma compagne a autopsié une de ses affaires, si j’ose dire, dans le cadre d’une enquête qu’il dirige.
Et le commissaire se marre.
Mon Dieu se dit Léon, bien obligé de se marrer avec lui… Sur une échelle de un à cent, l’humour du commissaire Tergaim est resté coincé entre l’almanach Vermot et les couvertures auxquelles vous avez échappé cette semaine.
— Votre train est à quatorze heures quarante-trois, Flocon viendra vous chercher à la gare, mon assistante vous a pris un billet et réservé une chambre à l’hôtel du village.
— Vous voulez dire l’hôtel-restaurant-tabac-épicerie-essence, patron… ?
— Désolé, le Hyatt était complet !
Mon Dieu se dit Léon, bien obligé de se marrer avec lui… Sur une échelle de un à cent, l’humour du commissaire Tergaim est resté coincé entre l’almanach Vermot et les couvertures auxquelles vous avez échappé cette semaine.
— Votre train est à quatorze heures quarante-trois, Flocon viendra vous chercher à la gare, mon assistante vous a pris un billet et réservé une chambre à l’hôtel du village.
— Vous voulez dire l’hôtel-restaurant-tabac-épicerie-essence, patron… ?
— Désolé, le Hyatt était complet !
Videos de Maurice Daccord (2)
Voir plusAjouter une vidéo
autres livres classés : romans policiers et polarsVoir plus
Millénium, tome 1 : Les hommes qui n'aimaient pas les femmes
Stieg Larsson
813
critiques
202
citations
Millénium, tome 2 : La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette
Stieg Larsson
408
critiques
121
citations
Les plus populaires : Polar et thriller
Voir plus
Les Dernières Actualités
Voir plus
Autres livres de Maurice Daccord (7)
Voir plus
Quiz
Voir plus
Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )
Roger-Jon Ellory : " **** le silence"
seul
profond
terrible
intense
20 questions
2873 lecteurs ont répondu
Thèmes :
littérature
, thriller
, romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre2873 lecteurs ont répondu