C'est une nouvelle série d'une brutalité et d'une violence sans nom. Les amateurs apprécieront sans doute avec une scène d'ouverture qui ne fera pas dans la dentelle. En ce qui me concerne, c'est trop.
Il s'agit encore d'une banale histoire de vengeance sur fond de guerre urbaine entre gangs avec un petit zeste de fantastique. Notre anti-héros revient de la guerre d'Irak où il est hanté par des visions cauchemardesques. Après les horreurs de la guerre, voici les horreurs de la rue. le cadre sera celui de Los Angeles qui fait plutôt figure de ville de démons.
Je pense que c'est le type de BD qu'on aime ou qu'on aime pas. Trop horrifique et trop outrancier. D'ailleurs, plus de second tome paru depuis 2013: autant dire que la série a été abandonnée.
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Les cauchemars et les « pouvoirs » d’Ismaël font basculer le récit dans un thriller quasi horrifique et outrancier, où les scènes d’ultra violence s’enchaînent gratuitement, sans autre but que d’en appeler d’autres.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Premier volet d’un diptyque pour le moins rugueux, Sin piedad réussira peut-être à susciter la curiosité des lecteurs de comics particulièrement « rentre dedans ». Les autres ne devraient pas pousser l’expérience au-delà du feuilletage.
Lire la critique sur le site : BDGest
La force naît par violence et meurt par liberté .
Junot Diaz - part 6
Non sous-titré