Stéphane Distinguin/5
8 notes
Résumé :
« Et si on vendait la Joconde ? C’est la question que je me suis posée, face au Louvre, un matin du printemps 2020, alors que le monde entier s’était presque arrêté de respirer et se préparait à connaître une crise économique sans précédent. Publiée dans la presse, ma proposition a été reprise aux quatre coins du globe sous des airs de scandale.
Je venais d’ouvrir la boîte de Pandore. Pourtant, j’étais animé par une seule préoccupation : comment trouver... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5)
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Avis : Interressant.
Ici nous sommes avec un essai qui pose la question de la vente de la Joconde. L'auteur y répondra en partant de beaucoup de point de départ comme : pourquoi la Joconde est plus aimé que Ginevra ? Et si la Joconde perdait de la valeur suite à un scandale sur de Vinci ? Et si on divisait la Joconde en part numérique (à revendre) comme pour les bitcoins ou la cryptomonnaie ?
Vous l'aurez compris, beaucoup d'informations et de sujets sont exploités par l'auteur, pour mon plus grand plaisir !
Ici nous sommes avec un essai qui pose la question de la vente de la Joconde. L'auteur y répondra en partant de beaucoup de point de départ comme : pourquoi la Joconde est plus aimé que Ginevra ? Et si la Joconde perdait de la valeur suite à un scandale sur de Vinci ? Et si on divisait la Joconde en part numérique (à revendre) comme pour les bitcoins ou la cryptomonnaie ?
Vous l'aurez compris, beaucoup d'informations et de sujets sont exploités par l'auteur, pour mon plus grand plaisir !
Je n'avais pas compris, en lisant le résumé, qu'il s'agissait d'un essai. J'en ai donc été assez surprise. Je pensais plutôt à un roman dans le style de Dan Brown…
Pour autant, le voyage dans le monde de l'art est intéressant, on apprend beaucoup ! de quoi passer un bon moment et se dépayser.
Pour autant, le voyage dans le monde de l'art est intéressant, on apprend beaucoup ! de quoi passer un bon moment et se dépayser.
Cette critique est susceptible d'être biaisée. Babelio ne garantit pas son authenticité
J'ai lu ce livre avec envie et gourmandise. Cette gourmandise d'en apprendre toujours plus : sur l'histoire de l'art, les techniques de peinture, le commerce d'art, les musées, le droit, les artistes, les galeries d'art, le monde d'hier et demain.
Tout est en érudition, savoir et curiosité. La langue est précise, pointue sans être assommante. Vous voyagez à travers les époques, les moeurs et les enjeux du moment grâce à un auteur qui aime le sujet qu'il traite et surtout le maîtrise.
Stéphane Distinguin est un lettré amoureux qui vous fait aimer l'art dans toutes ses dimensions.
Et si on vendait vraiment la Joconde ?
Tout est en érudition, savoir et curiosité. La langue est précise, pointue sans être assommante. Vous voyagez à travers les époques, les moeurs et les enjeux du moment grâce à un auteur qui aime le sujet qu'il traite et surtout le maîtrise.
Stéphane Distinguin est un lettré amoureux qui vous fait aimer l'art dans toutes ses dimensions.
Et si on vendait vraiment la Joconde ?
Cette critique est susceptible d'être biaisée. Babelio ne garantit pas son authenticité
La multiplicité des domaines de réflexion m'a particulièrement plu, notamment celui sur le marché de l'art dont je n'avais pas la moindre idée. J'aurais attendu un peu plus d'explications dans le passage sur les aspects financiers d'une entreprise, celui qui parle entre autres de la valeur alpha.
Le style est très bon. Pendant les premiers chapitres, j'ai remarqué les phrases courtes et précises. Et puis j'ai cessé d'y faire attention en passant à une lecture spontanée et donc exempte de quelque obstacle.
Le style est très bon. Pendant les premiers chapitres, j'ai remarqué les phrases courtes et précises. Et puis j'ai cessé d'y faire attention en passant à une lecture spontanée et donc exempte de quelque obstacle.
Cette critique est susceptible d'être biaisée. Babelio ne garantit pas son authenticité
Vendre la Joconde pour sauver la culture ? La culture comme levier de relance de l'économie Française et Européenne ? Un voyage fascinant dans le territoires - de l'Europe de la Renaissance à la Corée du Sud contemporaine -, dans les technologies - de la blockchain aux NFTs -, et principalement dans le secteur de la culture et comment il peut être un levier important dans la relance économique. Je recommande !
Citations et extraits (2)
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Un manifeste engagé et très positif en faveur de l’histoire, de la culture, de la technologies et de la création !
Au delà du titre « accrocheur » ce livre est un véritable manifeste très instructif. Il retrace l’histoire de la Joconde et ses périples (certes). Mais surtout, il offre une perspective beaucoup plus large, il interroge et éclaire notre rapport à l’art aujourd’hui.
Dans un monde où les technologies évoluent très vite (rappelons-nous que l’iPhone n’a « que » 14 ans) et où les terrains de création sont multiples : il est primordial de rappeler et mettre en lumière ce qui constitue notre culture et son histoire et de la confronter aux innovations actuelles. Et c'est ce que propose cet ouvrage.
Quand j’ai lu le titre la première fois je me suis dit “vendre la Joconde ? Je dirais plutôt non”. Mais de la manière dont l’auteur présente et argumente les sujets - le texte est très documenté et contextualisé - finalement je me dis aujourd’hui : “plutôt oui… mais sous certaines conditions”.
Merci pour ce texte qui replace la culture et les nouvelles technologies au centre du débat et qui raisonne avec l’actualité !
Au delà du titre « accrocheur » ce livre est un véritable manifeste très instructif. Il retrace l’histoire de la Joconde et ses périples (certes). Mais surtout, il offre une perspective beaucoup plus large, il interroge et éclaire notre rapport à l’art aujourd’hui.
Dans un monde où les technologies évoluent très vite (rappelons-nous que l’iPhone n’a « que » 14 ans) et où les terrains de création sont multiples : il est primordial de rappeler et mettre en lumière ce qui constitue notre culture et son histoire et de la confronter aux innovations actuelles. Et c'est ce que propose cet ouvrage.
Quand j’ai lu le titre la première fois je me suis dit “vendre la Joconde ? Je dirais plutôt non”. Mais de la manière dont l’auteur présente et argumente les sujets - le texte est très documenté et contextualisé - finalement je me dis aujourd’hui : “plutôt oui… mais sous certaines conditions”.
Merci pour ce texte qui replace la culture et les nouvelles technologies au centre du débat et qui raisonne avec l’actualité !
L’enjeu étant collectif, la mégalomanie est acceptable, voire souhaitable.
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