Je remercie Babelio et la Masse Critique, ainsi que l'auteur et l'éditeur pour l'envoi de ce roman.
Honnêtement, je ne m'attendais pas à ça mais plutôt à l'histoire d'un anachorète comme il y en eut tant aux débuts du christianisme. J'ai été aussi très perturbée par le langage grossier du saint dans l'écriture de l'auteur, jusqu'au milieu du livre... et là, tout à fait par hasard, mes yeux se sont posés sur la 4° de couverture où il est écrit "ce roman... fait la part belle à l'ironie et à la satire". A partir de là, la lecture en a été grandement facilitée ! Mais je n'ai cependant pas été sensible à cet humour et n'ai pas compris le sens de ce roman ni où l'auteur voulait nous emmener...
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Un peu perplexe à la fin de cette lecture reçue dans le cadre de "masse critique", un ouvrage à la lecture laborieuse car on comprend mal où veut en venir le narrateur avec le récit de ce saint (inventé) qui n'en est pas vraiment un au regard de son comportement outrancier, caricatural, sanguinaire.
Ce n'est pas vraiment une fresque hagiographique car l'attitude de ce Tercorère ne s'y prête pas et le récit est trop court passant rapidement en revue les épisodes de sa vie dans une sorte de résumé qui empêche le lecteur d'entrer dans l'histoire. On s'attend à quelque chose de grandiose et d'inspiré et c'est assez trivial et peu chrétien, sans doute n'ai-je pas vu un second degré.
En tout cas ce ne fut pas une lecture plaisir, seule la présence physique de l'Afrique du Nord retient l'intérêt. Couverture trompeuse aussi car le lion n'est pas très présent et le passage où il entre en scène est assez plat.
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Un peu perplexe à la fin de cette lecture reçue dans le cadre de "masse critique", un ouvrage à la lecture laborieuse car on comprend mal où veut en venir le narrateur avec le récit de ce saint (inventé) qui n'en est pas vraiment un au regard de son comportement outrancier, caricatural, sanguinaire.
Ce n'est pas vraiment une fresque hagiographique car l'attitude de ce Tercorère ne s'y prête pas et le récit est trop court passant rapidement en revue les épisodes de sa vie dans une sorte de résumé qui empêche le lecteur d'entrer dans l'histoire. On s'attend à quelque chose de grandiose et d'inspiré et c'est assez trivial et peu chrétien, sans doute n'ai-je pas vu un second degré.
En tout cas ce ne fut pas une lecture plaisir, seule la présence physique de l'Afrique du Nord retient l'intérêt. Couverture trompeuse aussi car le lion n'est pas très présent et le passage où il entre en scène est assez plat.
André-Joseph Dubois nous parle de son roman L'Oeil de la mouche.