Emprunté à la bibliothèque pour petit bout, je ne pensais pas trouvé un texte aussi magique. le poète argentin fait d'un geste simple (dessiner sur une vitre embuée) un moment fort.
Quant aux illustrations, elles rendent grace au poème. Toujours sur des doubles pages, s'étalent une ville, puis une maison, une vitre où l'on voit ce petit garçon qui attend sa maman (je dis petit garçon mais on pourrait dire enfant, je me suis peut-être trop identifiée). Il voit sa mère au travers du croissant de lune qu'il a dessiné sur le carreau et l'efface (ou l'agrandit) pour y faire entrer sa mère.
Magique, touchant…
Lien :
http://boumabib.fr/2010/03/1..