Les Noirs décrit sans euphémisme le spectacle de la corrida. Le « noir » dont il est question ici représente aussi bien la couleur de l'oeuvre que celle des toros.
La poésie de Patrick Espagnet rend un hommage resplendissant au campo, aux picadors, à Julio Robles et Nimeno, à Séville et aux gradins ensoleillé de Pampelune. Le prosateur partage avec nous son oeuvre luisante, charnelle et rythmée sans jamais être empesé.