Véronique Fiszman/5
8 notes
Alain Solesmes, écrivain de renom et grand manipulateur, est à court d'inspiration. Il décide de quitter Paris pour s'installer dans une maison en banlieue. Très vite immobilisé par un grave accident, il se trouve plongé dans les affres de l'angoisse et de la solitude. Il jette alors son dévolu sur ses voisins, la famille Namarre et le célibataire Paul Lagorce, pour en faire les personnages principaux de son prochai... >Voir plus
Résumé :
Alain Solesmes, écrivain de renom et grand manipulateur, est à court d'inspiration. Il décide de quitter Paris pour s'installer dans une maison en banlieue. Très vite immobilisé par un grave accident, il se trouve plongé dans les affres de l'angoisse et de la solitude. Il jette alors son dévolu sur ses voisins, la famille Namarre et le célibataire Paul Lagorce, pour en faire les personnages principaux de son prochai... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3)
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Alain Solesmes, un écrivain célèbre, décide de venir s'installer à la campagne pour fuir la page blanche et tenter de retrouver l'inspiration. Suite à un accident de voiture il se retrouve dans un fauteuil roulant et de retour à son domicile commence à s'intéresser à la vie de ses voisins qui pourraient probablement lui donner des idées pour son prochain roman à condition de modifier quelque peu leurs habitudes...s'engage alors un grand jeu de manipulation.
J'ai trouvé ce livre captivant et le retournement de situation très bien fait, une lecture plutôt inhabituelle.
J'ai trouvé ce livre captivant et le retournement de situation très bien fait, une lecture plutôt inhabituelle.
j'ai bien aimé ce livre pleins de rebondissements, le voisin est juste diabolique.
c'est diabolique !
Citations et extraits (4)
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Vous confondez Dieu et l'Eglise. Dieu ne montre rien à personne. Il a autre chose à faire. (...) Il pardonne parce qu'Il s'en fout. Et ceux qui crient au blasphème sont des imbéciles, parce que Dieu ne peut pas être offensé. Il ne peut pas être insulté. On ne peut pas gifler le vent.
Plutôt que de s'adapter aux règles, il décida de tirer toutes ses proies loin de leurs habitudes afin d'en extirper les instincts étouffés.
Un jour, peu de temps avant de mourir, il comprit que le pouvoir ne sert qu'à oublier sa mort, la liberté à la domestiquer. Le premier est une fuite, la seconde une issue.
Mais voyons chère Madame, la vertu n'existe pas, il n'y a que des manques d'occasions.
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