AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,68

sur 221 notes
Ce roman est souvent présenté, avec le double assassinat de la rue Morgue, comme l'un des premiers textes à l'origine du roman policier. Paru en 1865 en feuilleton sans grand succès, il le connaîtra après remaniement l'année d'après. Gaboriau va persévérer dans ce qui est en train de devenir un genre en faisant paraître d'autres livres basés sur des enquêtes criminelles, qui auront pour principal personnage un certain Lecoq, qui ne fait qu'un passage très rapide dans ce premier opus.

Nous sommes en 1862. Une femme, dite la veuve Lerouge est retrouvée assassinée dans sa maison de Bougival. le juge d'instruction Daburon, assisté par le commissaire Gévrol sont appelés sur les lieux du crime. Un certain Lecoq, qui fait partie de l'équipe de Gévrol conseille au juge de faire appel aux talents d'un certain Tabaret, retraité qui s'est pris de passion pour la résolution d'énigmes policières, et qui grâce à des talents de déduction hors du commun a permis à la police de résoudre des affaires sur lesquelles elle bloquait. Tabaret appelé sur la scène du crime va arriver à des conclusions très fortes, qui sembleront mettre Gévrol sur la touche. Tabaret va faire encore plus fort, et semble-t-il un peu par hasard, grâce à un de ses locataires, fournir un coupable qui semble certain à la police.

Nous trouvons bien dans ce roman quelques d'éléments que l'on considère spécifiques au roman policier : un meurtre, un scénario de déductions rigoureux. Mais l'intrigue de Gaboriau présente aussi des caractéristiques de la littérature feuilletonnesque, du mélodrame en vogue à l'époque. le personnage de Tabaret est juste une esquisse du détective, comme le seront Sherlock Holmes ou Hercule Poirot : il ne vit pas de ce métier, qui lui coûte en réalité de l'argent, et il arrive à ce qu'il pense être la conclusion un peu par hasard, grâce à une de ses relations. Il disparaît quelque peu à un moment du roman, et c'est Gévrol qui amène des éléments décisifs. D'ailleurs Tabaret renoncera à ses velléités de résoudre des énigmes policières à la fin du livre. Ce n'est donc pas un personnage complètement abouti, c'est Lecoq, simple comparse dans cette première tentative qui deviendra un véritable archétype. Mais il pose un certain nombre de points qui seront importants dans l'évolution du roman policier : la justice et la police sont de lourdes machines, avec des fonctionnements routiniers, et il faut pour aboutir à la vérité, surtout dans une affaire qui sort d'un cadre connu, des personnalités hors normes, qui ont l'agilité et la liberté de penser en dehors des schémas convenus, pour arriver à damner la pion aux criminels inventifs, capables de tirer profit du caractère sclérosé des institutions.

Mais ce que l'on pourrait appeler l'intrigue policière n'est qu'une partie du roman. Ce dernier brosse aussi des portraits de personnages, de milieux sociaux, donne une représentation de la société, transmet une morale. Assez conventionnelle d'ailleurs. Et selon les règles du mélodrame, la justice et le bien triomphent, après des épreuves imposées aux personnages vertueux, qui sortent grandis de l'expérience. A l'inverse, les scélérats sont punis, et la victime a au final bien mérité son triste sort. le désordre provoqué par le crime se trouve résolu, et l'ordre est restauré, permettant un renforcement des hiérarchies sociales et des normes en vigueur.

Malgré certaines longueurs, cela reste terriblement efficace et prenant. Même si l'on se doute un peu du dénouement, Gaboriau ménage jusque la fin un suspens, une action trépidante, avec une maîtrise redoutable.
Commenter  J’apprécie          245
C'est avec ce roman que je découvre Émile Gaboriau, et je dois dire que j'ai aimé ! Alors d'accord, on découvre avant la fin qui est l'auteur du crime, mais j'ai apprécié les cheminements du romancier, sa façon de traduire certaines moeurs de l'époque et la psychologie des personnages.
Commenter  J’apprécie          200
Une femme, veuve, est assassinée chez elle. le commissaire Gévrol conclut rapidement au vol qui a mal tourné.
Mais Lecoq fait appel à un enquêteur amateur avec qui va relever des indices matériels probants et élimine le mobile du vol.
Suivra un incroyable concours de circonstances, de rencontre et de confidences qui permettront d'élucider l'affaire.

En tout cas, Emile Gaboriau écrit toujours très bien. On peut trouver les énigmes relativement simplistes, mais le style est remarquable.

Pour se faire plaisir, quand on aime le polar un peu historique.


Commenter  J’apprécie          200
Audio gratuit sur Audible dont je ne connais absolument pas l'auteur. Je continue à explorer un peu tous les styles grâce à Audible et youtube.

L'histoire commence sur les chapeaux de roues avec le meurtre d'une femme dont on sait peu de choses. L'enquête débute donc doucement. On en apprend plus grâce à un détective amateur qui fait bien plus attention aux détails que les flics lourdauds du coin. Ça débutait bien mais au bout de 4h d'écoute, je l'ai abandonné. L'histoire partait dans des détails complètement insipides avec le changement de narrateur. Au moment de mon arrêt, il s'agissait de l'amante d'un avocat qui nous parlait de ses desiderata. Je n'ai vraiment pas compris le lien avec l'enquête, d'autant plus que le narrateur change quasiment à chaque chapitre. Tant pis pour moi mais je ne saurais pas le fin mot de cette histoire policière. Il faut croire que le style de cet auteur du 19ème siècle n'est pas fait pour moi.

Comme vous l'aurez compris, ce roman n'est pas réellement une déception puisque c'était une découverte, mais on ne peut pas dire que j'en tenterai un autre de cet auteur. Si vous êtes amateurs de polars du 19ème siècle, je vous conseille donc de découvrir cet auteur français et sa série sur son détective amateur. Pour ma part, je préfère encore Doyle avec beaucoup moins de détails inutiles.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Commenter  J’apprécie          152
Émile Gaboriau est un écrivain du XIXème siècle considéré comme le père du roman policier français. Sir Arthur Conan Doyle lui-même le citait en exemple !
Il fut l'un des premiers à mettre en scène des policiers et des magistrats dans de longues intrigues complexes inspirées des sujets favoris des romans-feuilletons très en vogue à l'époque…
Je redécouvre L'Affaire Lerouge, grâce aux éditions VOolume, via NetGalley.

La veuve Lerouge a été sauvagement assassinée dans sa petite maison de Bougival. La femme passait pour riche et la police a tôt fait de conclure à un cambriolage qui aurait mal tourné. Cependant, très rapidement, la thèse du meurtre crapuleux s'écroule…

L'intrigue de ce roman est particulièrement complexe. Il est question d'amours contrariées, d'infidélité, d'échange d'enfants…
L'enchevêtrement des péripéties, les liens entre les personnages, l'imbroglio narratif sont particulièrement réussis. J'ai également beaucoup apprécié le travail sur les psychologies et les questionnement des personnages ; ainsi le juge d'instruction développe des états d'âme particulièrement intéressants.
C'est cependant un peu long à lire d'une traite, l'abondance de détails se prêtant mieux sans doute à la publication en feuilleton… Dans cette version audio, la voix de Frédéric Kneip, bien que s'accordant parfaitement au style un peu suranné, m'a souvent endormie.
À noter pour les puristes, amateurs de l'oeuvre d'Émile Gaboriau que son personnage phare, Monsieur Lecoq, fait ses débuts dans ce roman avec un tout petit rôle d'aide de camp du chef de la sureté ; sa perspicacité est cependant décisive puisque c'est lui qui trouve les indices démontrant que le vol n'est pas le mobile du crime.

Encore une fois, je salue l'initiative de VOolume qui réédite des textes anciens, fondateurs de la littérature policière.

#LAffaireLerouge #NetGalleyFrance

Lien : https://www.facebook.com/pir..
Commenter  J’apprécie          150
Oulàlà!! on est clairement dans les tout débuts des romans policiers! C'est amusant, un peu écrit avec des digressions : le côté feuilleton. Mais le style est indéniablement là : les auteurs avaient un style beaucoup plus soutenu: une affaire d'époque.
Concernant l'intrigue: peu de personnages, mais un côté vraiment romanesque avec un échange d'enfants et des amours contrariées. L'auteur prend vraiment le temps de nous faire connaître chacun des personnages et de lui donner une vraie densité psychologique.
Finalement, peu d'empathie pour les personnages et une fin cousue de fil blanc, mais rien que pour le style et le contexte historique, ça reste très plaisant à lire!
Commenter  J’apprécie          140
Ceux et celles qui lisent régulièrement mes critiques littéraires (je ne sais pas s'il y en a) savent à quel point je ne jure que par le genre policier et que je suis passionné par la littérature populaire de jadis et par les personnages récurrents.

Du coup, les mêmes personnes doivent être persuadées qu'en tout premier lieu, j'ai dévoré toute l'oeuvre d'Émile Gaboriau et, en priorité, les enquêtes de son fameux Monsieur Lecoq.

Que nenni ! Si, effectivement, je connaissais l'auteur et savais tout ce que la littérature policière lui doit, lui, le créateur du roman policier ayant inspiré les plus grands depuis Conan Doyle à Georges Simenon, je n'avais, jusqu'ici, uniquement lu « le petit vieux des Batignolles » une nouvelle parue après la mort de son auteur.

Si j'avais adoré cette lecture, je n'avais pourtant pas remis le couvert avec un autre titre de l'écrivain devant la tâche immense qu'est celle de découvrir un maximum d'auteurs français de récits policiers.

Mais, l'erreur est désormais réparée puisque je viens de déguster « L'Affaire Lerouge », le premier roman policier de l'auteur, paru en 1866, après avoir été publié une première fois en feuilleton dans des journaux.

C'est le premier récit dans lequel apparaît Lecoq, de façon très brève puisque le personnage principal est plutôt son mentor, le Père Tabaret alias Tirauclair.

Lecoq, dans l'Affaire Lerouge, ne servira qu'à introduire dans l'enquête le Père Tabaret en vantant ses qualités d'analyse et de déduction.

Il est bon de noter que le crime de l'Affaire Lerouge et le père Tabaret semblent avoir été inspirés à l'auteur par un véritable crime sur lequel il fit un reportage pour le journal qui, le premier, publiera son feuilleton par la suite :

Les voisins de la veuve Lerouge sont inquiets de ne plus la voir depuis plusieurs jours. Ils parviennent à convaincre la police d'aller jeter un oeil chez la veuve. Les policiers vont la découvrir morte, égorgée. L'inspecteur Lecoq propose alors au juge d'instruction d'aller chercher le Père Tabaret alias Tirauclair, un civil qui est, selon lui, le meilleur enquêteur qui soit. En effet, le Père Tabaret, en quelques minutes, parvient à établir le schéma du crime ainsi que les motivations de l'assassin…

Le roman d'Émile Gaboriau débute de la meilleure des manières en présentant le crime dans son aspect le plus cru et le plus froid avec la découverte du meurtre et l'inspection de la scène de crime. L'apparition du Père Tabaret rehausse encore l'intérêt du roman de par son profil atypique (un riche civil à la retraite et qui, pour occuper son temps, n'hésite pas à dépenser sa fortune pour mener des enquêtes).

Hélas, la suite de cette première séquence se perd en digression autour de l'histoire de personnages subalternes, un processus qui, malheureusement, se répétera tout du long du roman.

Si le procédé est compréhensible pour l'époque et était inspiré des auteurs et des oeuvres romanesques à succès dans la première moitié du XIXe siècle, il était probablement également adopté pour faire de la ligne, pour remplir de la page puisque le récit était, à l'origine, un feuilleton pour les journaux.

Cependant, le procédé sera toujours utilisé des décennies plus tard, par Albert Boissière, par exemple, mais il est encore à la mode dans certains romans, certaines séries ou certains films, dans lesquels l'action démarre sur les chapeaux de roues avant que de nombreux flash-back permettent de découvrir l'histoire des différents protagonistes du drame.

Bref.

Je n'ai jamais été fan des narrations non linéaires et je ne le suis toujours pas, même quand elles sont de la plume d'Émile Gaboriau.

Je dois bien avouer que ces digressions m'ont fait un peu sortir du roman, mais heureusement, la qualité de plume de l'auteur et la poursuite de l'enquête m'ont permis de conserver les braises de mon intérêt jusqu'à ce que l'enquête reprenne, puis soit à nouveau interrompue par une digression sur un autre personnage, etc., etc.

Mais il est difficile d'en vouloir à un feuilleton de trop digresser comme il est impossible de reprocher à un récit fasciculaire d'être trop direct, trop concis.

Aussi, quand on s'attaque à un genre littéraire, il faut savoir en accepter les défauts (défauts pour moi, mais qui peuvent être des qualités pour d'autres).

On pourra aussi reprocher que, dès le premier roman policier, le hasard soit le grand guide de l'enquêteur, car, si Tirauclair est, effectivement, un enquêteur de génie, il n'en demeure pas moins qu'il est rapidement aidé par le hasard qui le fait entrer en possession d'éléments capitaux pour la compréhension du crime…

Et le hasard continuera à jouer des tours au juge d'instruction et à d'autres personnages du roman.

Pourtant, malgré ces défauts (pour moi), force est de constater que la qualité de la plume de l'écrivain ainsi que l'attrait pour son personnage principal, le père Tabaret, ont largement emporté la timbale puisque c'est avec un évident plaisir que je poursuivais ma lecture.

J'aurais pu être quelque peu déçu par certains rebondissements un peu trop prévisibles, par une intrigue au final assez simple, mais il s'agit là d'un roman policier et non d'un Thriller.

Je rajouterais enfin que certains personnages sont insupportables, notamment et surtout la maîtresse du jeune avocat..

Au final, un premier roman policier qui a les défauts de ses origines (le récit feuilletonnisant), de son époque (les digressions autour du passé des personnages) et de son genre (le hasard comme premier allié des enquêteurs), mais qui se révèle pourtant un bon roman policier notamment grâce à une première scène efficace, une plume très agréable et un personnage principal attachant.
Commenter  J’apprécie          130
Dés les premières lignes se dessinent les silhouettes d'inspecteurs et aventuriers qui deviendront les références du genre, leur genre, celui du gentleman aventurier et inspecteur et détective tout terrain.

Conan Doyle ne s'y trompera pas, et son héros naîtra aux trace d'un Tirauclair au flegme sans pareil. Edgar Alla Poe se retrouvera facilement sur les routes d'Orgeval, Paris ou Saint Germain et de cette veuve, aujourd'hui, Lerouge.

L'auteur inspiré et inspirant pour bien d'autres par la suite, nous fait suivre pistes et rebondissements avec humour et simplicité, tel un Rouletabille voire un certain Maigret.

A suivre dans cette innovation de style dans un contexte d'alors encore régit par des carcans littéraires et sociaux bien ancrés dans leurs monopoles.
Commenter  J’apprécie          130
La veuve Lerouge vient d'être retrouvée assassinée, qui a tuer cette dame, pourquoi, à cause de quoi ? Quelle mystère se cache derrière ce meurtre, au fil des interrogatoires des voisins, les langues se délie est ont s'aperçois que cette dame avait des fréquentations assez louches, mais de la a passez au meurtre ……. L'inspecteur Lecoq et le père Tabaret détective amateur à ses heures vont devoir enquêter pour démêler ce drôle d'histoire.
Commenter  J’apprécie          121
Madame Lerouge est une femme un peu spéciale. A l'aise financièrement, juste ce qu'il faut pour vivre paisiblement, veuve tranquille. du moins en apparence car pour le voisinage Madame Lerouge a tendance à recevoir des gens louches, des hommes il va s'en dire. Un jour, ses amies inquiètes du silence autour de sa maison, des voltes fermés et de son absence de réponse vont trouver les policiers du coin. Ces derniers entrent chez Madame Lerouge pour la découvrir...assassinée. Sauvagement assommée au point de ne plus se relever ! Mais qui donc a bien pu commettre pareil crime ? Et c'est là qu'intervient l'inspecteur Lecoq, le détective amateur Taburet dit Tirauclair et le juge Daburon.

Vont se croiser gens de la noblesse, avocat, fils de.., fils de personne, mère souffrante et mourante, épouse bafouée,femme amoureuse mêlés à des histoires et secrets bien enfouis qui reliés au meurtre de Madame Lerouge risquaient de causer beaucoup de tort à l'un.e d'entre eux/elles. L'éternel secret de famille et ses failles souvent dramatiques.

L'affaire Lerouge est un roman qui peut paraître fortement désuet car écrit au 19ème siècle est bien ancré dans son siècle. Mais il a plusieurs choses intéressantes dont :

E.Gaboriau est considéré comme le Père du roman policier, bien avant C. Doyle et son Sherlock Holmes. Et fait important, E. Gaboriau plonge le lecteur dans ce qui est le début de la police scientifique. Il n'est pas là pour raconter des sornettes mais pour produire un roman policier sérieux.Par ailleurs, il s'attache aux portraits de ses personnages, sur un plan social, culturel et psychologique. Certains ont dit qu'il avait un côté naturaliste dans l'écriture. Ce qui n'est pas faux. Sans dire qu'il y a du profilage, E. Gaboriau propose quand même à son lecteur de réfléchir aux humeurs, aux ressorts mentaux, à la psychologie de ses personnages.

Il conduit son histoire et l'enquête avec précision. Il y a beaucoup de réalisme dans son roman. E. Gaboriau s'étant inspiré d'un fait divers authentique pour écrire l'affaire Lerouge et cela se retrouve bien dans la lecture.

Des thèmes sociétaux quelque peu avant-gardistes pour l'époque sont évoqués ou collent à la vie de certains personnages : la liberté de vie et de moeurs de la victime. le roman date des années 1860-70. La crainte de l'erreur judiciaire, la lutte contre la peine de mort, la police moderne et méthodique etc...

On retrouve aussi facilement des éléments qui vont être empruntés par d'autres plus tard. Personnellement j'ai pas mal pensé à Maurice Leblanc en lisant L'affaire Lerouge et apparemment je ne me suis pas trop loupée sur ce coup-là car en faisant quelques recherches, effectivement M.Leblanc va s'inspirer des romans de E.Gaboriau. Mais aussi Simenon , bon là...je ne l'avais pas vu venir mais après recherches.....

Le tout arrosé de ce style des écrivains du 19ème siècle, ce style élégant, fin ce qui donne un roman agréable à lire et bien tourné même si l'intrigue peut sembler commune. Mais le crime ne tourne-t-il pas toujours autour des mêmes mobiles et des mêmes thèmes ? L'affaire Lerouge vous le rappelle en vous envoyant au 19 ème siècle certes mais au 21ème siècle quels ressorts expliquent les faits divers ???

J'ai passé un bon moment mais j'avoue que j'ai eu du mal à me détacher de l'esprit des romans policiers actuels donc par moments je trouvais que cela traînait un peu et manquait de rythme. Mais c'est bien mon esprit de lectrice d'aujourd'hui qui me jouait quelques tours.

A lire pour (re)découvrir et se dire qu'avant A.C. Doyle il y a eu Emile Gaboriau.
Commenter  J’apprécie          111




Lecteurs (591) Voir plus



Quiz Voir plus

Inspecteur Lecoq, à la Proust N° 8

S'il était un dossier ?

Le dossier clos
Le dossier vide
Le dossier truqué
Le dossier noir
Le dossier 113

10 questions
14 lecteurs ont répondu
Thème : Emile GaboriauCréer un quiz sur ce livre

{* *}