(...) il est essentiel de retenir que (ces) peuples ne sont pas des entités immuables, des divisions stables de l'humanité mais le produit de contingences historiques et de processus sociaux et politiques, voire d'une action volontaire. Le plus souvent ces peuples anciens sont des formations sociales qui évoluent notamment en fonction de la nature et la structure des réseaux d'échange. (p. 109)