Quatre ans après la crise de 2007-2008, la classe moyenne apparaît comme la grande perdante d’un débat de société qui n’a jamais eu lieu.
Le constat est simple : depuis la crise, nous sommes entrés dans un monde à deux vitesses. D’un côté, le financier qui décide, dicte ses conditions et se sert allègrement des fonds publics pour éponger ses propres pertes. De l’autre, les classes moyennes qui réalisent que l’étau se resserre progressivement sur leurs acquis....
>Voir plus