J'ai retrouvé dans la description des pentes enneigées, de la montagne l'hiver, les photos imprimées dans ma mémoire de mes sorties de ski. J'ai vécu corporellement les sensations de Djer sur ses skis.
Laurent Gidon révèle dans ses remerciements le village qui lui a inspiré cette fiction. Lorsque je le découvre, une vague de souvenirs me submerge.
Et cela me conforte : nul ne peut exprimer de tels ressentis s'il n'a pas connu de telles émotions.
Une imagination ... qui ne s'invente pas (!)et qui fait toute la force de ce roman.
J'ai retrouvé dans les caractères des protagonistes, les traits caractéristiques des passionnés de pratique de pleine nature. Sauvage ou exubérant, taiseux ou démonstratif.
J'imaginerais bien une suite ... lorsque la neige aura fondu au village et que la saison d'été verra l'arrivée des alpinistes .