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4,4

sur 3225 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Suite à un périple meurtrier, Marianne de Gréville se voit condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité. Karine Giébel nous invite à une plongée dans l'univers délétère des centres pénitentiaires où règne la violence, où vaincre l'ennui et s'évader se résume à la prise de substances illicites, où pour s'affirmer il faut se montrer impitoyable. Une première partie ou l'auteure nous dépeint le milieu carcéral avec ses travers, son inhumanité, sa perversité, où il ne se passe pas une seule journée sans meurtre, sans passage à tabac, sans humiliation, le tout avec un luxe de détails et de descriptions superflues d'actes de tortures barbares. Une compilation d'atrocités sans intérêt qui, comme dans Toutes blessent la dernière tue, finit par lasser.
La seconde partie du roman, qui débute comme un ersatz de Nikita, sensée être plus dynamique ne fait regrettablement que reprendre le même code narratif. Entre les déboires judiciaires, totalement invraisemblables, de Daniel et les égarements schizophréniques de Marianne, le récit tourne en rond porté par une surenchère de sévices répétitifs qui finissent par laisser indifférent et une histoire d'amour aussi équivoque qu'improbable. On s'accroche courageusement à la lecture dans l'espoir d'une flamboyante conclusion avec un scandale d'état fracassant et une opportunité de…rédemption pour les victimes expiatoires de cette machination politico criminelle. La naïveté et le manque de discernement consternants d'un flic soi-disant émérite nous privent de ce plaisir. Karine Giébel, fidèle à son style, se contente donc simplement d'un dénouement standard, bouleversant mais des plus prévisible.
Si on fait abstraction du manque de justesse des procédures pénales, de l'ineptie de certaines situations et des multiples clichés à la limite de la caricature, Meurtre pour rédemption n'est pas totalement un mauvais livre. L'histoire est bien construite, c'est bien écrit mais, l'ensemble est apathique, affiche des longueurs totalement artificielles, se perd dans une violence gratuite, d'aberrantes incohérences et ne présente ni le suspense ni le rythme ou la crédibilité essentiels à un thriller digne de ce nom.
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Comment dire... J'ai rarement lu un torchon aussi mal écrit.
Abandonné au bout de 80 pages.
Très mal écrit, dialogues pas crédibles, univers carcéral très mal décrit.
Un roman qui se veut noir mais qui est surtout très mauvais.
Dire que Marianne serait une nouvelle Lisbeth Salander est juste une insulte à Stieg Larsson.
N'est pas Ellroy qui veut...
Niveau roman noir dans l'univers carcéral, mieux vaut se tourner vers Edward Bunker (Aucune bête aussi féroce ou La Bête contre les murs) qui eux sont d'excellents polars.
Aucune chance que je tente de lire un autre roman de Mme Giebel.
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Abandon à 275 pages.
Vu la taille du livre et l'ennui que je ressens depuis le début, je ne vais pas m'infliger le reste de ce roman.

Trop de violence, trop de répétition au fil des pages, trop de choses invraisemblables ainsi qu'une espèce de romance impossible et tout ceci alors qu'il ne passe quasiment rien à part des tabassages.

Roman ultraviolent pourquoi pas mais il faudrait dans ce cas de la consistance.

Je sortais d'une lecture coup de coeur, la différence entre les deux écrits était trop flagrante.
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Livre prêté par ma voisine et que je n'aurais probablement pas lu dans le cas contraire.

J'ai peiné à rentrer dans l'histoire, le démarrage est très long. J'étais sur le point d'abandonner mais les centaines de critiques élogieuses sur Babelio m'ont donné envie de persister.

J'ai continué et j'ai fini le livre mais je dois dire ne pas avoir compris cet engouement. le livre se lit bien certes mais il est très lent et très long ! On passe par de nombreux passages très noirs, glauques, malaisants. Au final ce que je retiendrai du livres c'est beaucoup de sang, de sévices, de jeux psychologiques et de drogues.
Sûrement pas un livre que je recommanderai.

Heureuse d'entendre / comprendre des avis contraires.
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Pas facile de déboulonner un auteur qui rencontre un tel succès auprès d'un lectorat aussi enthousiaste. Pourquoi suis-je dans l'incapacité d'apprécier Karine Giebel, tellement encensée ? En tout cas, c'est sûr Meurtres pour rédemption est mon dernier Giebel, croix de bois, croix de fer, si je mens...


Pourtant, je l'ai découverte dès ses débuts, et ses premiers romans, bien qu'à mon sens souvent inaboutis, bâclés, me laissaient cependant espérer que l'expérience venant, elle finirait par approfondir ses sujets et fignoler son écriture. J'ai persévéré avec obstination, bravant avec bienveillance les situations irréalistes, les impasses et incohérences dans les scénarios, la psychologie ultra-light des personnages, le style très perfectible. A chaque fois, je me disais que le prochain opus serait le bon, sûre que j'étais que cette fille en avait sous le capot et qu'il suffisait qu'elle trouve sa voie pour lâcher toute sa puissance.


Avec Meurtres pour rédemption, je découvre tardivement que Karine Giebel a choisi son camp, celui de l'ultra-violence, de la description inutile d'actes de tortures, voire de barbarie, avec un luxe de détails ébouriffants. Voilà ce que j'appelle un roman démagogique, complaisant, voyeur, dans l'air du temps, qui flatte ce qu'il peut y avoir de malsain en chacun d'entre nous, particulièrement sous la ceinture. Que sait-on de l'héroïne ? L'histoire de sa vie tient en deux lignes, ses parents sont morts. Par contre, ce qui lui arrive en prison est décrit avec une précision chirurgicale. L'histoire d'amour ? Quelle histoire d'amour ? Pas crédible pour un rond, je n'ai éprouvé aucune sympathie pour ces deux là, autant tordus l'un que l'autre.


Je n'en pouvais plus, à me demander quand tout cela allait enfin s'arrêter. J'ai sauté allègrement des dizaines de pages quand la nausée devenait trop forte. La répétition serinante de la vie de l'héroïne en prison où il ne se passe pas une seule journée sans meurtre, sans passage à tabac, sans au moins un viol a été éprouvante, insupportable.


Tout m'a déçue dans ce livre. Je reste convaincue qu'une grande auteure est passée à côté de son destin en ayant choisi la facilité de commettre ce qui n'est pour moi qu'un catalogue de toutes les violences imaginables. Catalogue non exhaustif bien sûr puisqu'à chaque nouvelle parution elle est obligée d'en rajouter une couche pour faire honneur à sa réputation et tenir ses admirateurs en haleine. Désolée Karine, j'en resterai là. J'ai mon compte. KO technique.
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1er livre de cette auteure pour moi et c'est un sacré pavé !
Bon je commence et je m'immerge dans cette prison avec Marianne.
1/4 du livre. Quand est ce que ça commence ? Parce qu'un quart, ça fait déjà pas mal de pages et pour le moment, à part les descriptions des violences physiques et psychologiques, il ne se passe pas grand chose.
Bon, je continue. Mais, en fait je suis en train de lire une histoire d'amour ! Pourtant ce ne sont pas les éditions Harlequin...
J'arrive difficilement à la fin et j'ai l'impression de mettre faite avoir. Il ne se passe pas grand chose, et c'est une histoire d'amour assortie de violence.
1er contact avec cette auteure pas très réussi. Et pourtant, ce livre m'avait été conseillé maints fois...

Pioche de septembre 2021 choisie par Caro29
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J'ai un peu honte de mettre une si mauvaise note au vu de la note globale de ce livre... Mais celui-ci est un pavé, 1000 pages. 500 premières ou celà tourne cruellement en rond dans une prison morbide. Impossible de voir le scénario avancer. D'ailleurs y en a t il un dans cette première partie de roman ? C'est bien écrit, mais impossible de lire plus de 2 chapitres d affilé. Après plusieurs mois dessus à me dégouter de la lecture, j'ai décidé d'arreter, peut etre avant la partie qui a conquis tout le monde. Puis Chattam m'a réconcilié avec la lecture 😁
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Trop long,trop répétitif....j ai attendu des 100aines de pages qu il se passe quelque chose mais rien....et chose rare,je l ai laché avant la fin cet énorme pavé.
Je n y ai même pas vu le côté thriller,si ce n est la surenchère de violence, inutile et cliché...
Le style Giebel me laisse perplexe,j ai aimé certains de ses romans,en particulier Toutes blessent la dernière tue, mais d autres ,pas du tout,je trouve qu on est souvent dans l exagération,la répétition,le toujours plus....
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Mais que c'est long et laborieux. Et répétitif...
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Abandon, ce qui est très rare.
Je suis à la moitié, et je ne vois pas où cela mène : le milieu carcéral avec les brimades, les humiliations, les privations, la violence. C'est long, c'est redondant. Je m'ennuie.
La 2de partie est semble-t-il, plus dynamique, mais comme je suis mal partie avec cette lecture, j'arrête.
Bref grosse déception surtout pour une auteure que j'apprécie

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