« Ma folie, je la connais ! J’ai su l’apprivoiser. Devenue délire, elle m’accompagne sereinement et, elle seule, me permet de supporter cette inhumaine normalité ! »
Florilège de bons mots pour évoquer les intimes souffrances. L’auteur use de l’absurde pour défier l’angoisse. Avec humour, il dévoile ses émotions en quelques traits ravageurs, nous emporte dans une pensée qui tient tête au désarroi, malgré tout.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.