Lucky Luke, tome 23 : Les Dalton courent toujours

Cet album regroupe les récits "Les Dalton courent toujours" et "Les Dalton et les Indiens" réalisés par Morris et Goscinny en 1962 … 3 récits d'affilée sur les Dalton, reprenant les mêmes gags ? Ça sent la panne d'inspiration hein !
Dans "Les Dalton courent toujours", après avoir été confronté à la froideur canadienne le quatuor de bandits est confronté à a chaleur et à la sécheresse mexicaine... Les seuls éléments qui ne sentent pas le réchauffé viennent du fait que les Dalton ne sont pas évadés mais graciés par le nouveau Président des États-Unis d'Amérique, et qu'au lieu de voler tout ce qui bouge ils s'établissent en gérants de saloon avant de creuser un tunnel vers la banque que Lucky Luke change tous les jours d'emplacement... C'est sympa mais c'est vraiment trop peu !!!
Dans "Les Dalton et les Indiens", les Apaches du chef Tichose attaquent le pénitencier dans lequel sont incarnés les Dalton qui profitent de l'occasion pour s'évader une nouvelle fois avant de se retrouver prisonniers des Peaux Rouges toujours adeptes du scalpage et de l'alcoolisme (j'en ai marre des ces clichés suprématistes à la con typique de la BD franco-belge bien-pensante !!!). On joue encore énormément sur la stupidité d'Averell et sur la stupidité de Rantanplan, mais aussi sur le célèbre Gambit de Dieu qui ici est paresseusement utilisé : les Apaches considèrent Averell comme un élu divin ce qui permet aux Dalton de leurs dicter toutes leurs volontés jusqu'au moment où notre Lucky Luke jette à bas son statut sacré et son sacré statut... Peut mieux faire hein, à l'image des innombrables calembours eco+ centrés sur le sabir apache !

Deux récits occupent cet album de Lucky Luke, dessinés par Morris sur scénarios de Goscinny.
Dans la première histoires, les Dalton sont libérés par une amnistie générale, suite à l'élection d'un nouveau président des États-Unis... le séjour des célèbres malfrats, en-dehors de leur pénitencier, ne durera guère. La tentative de traversée d'un désert leur sera fatale.

Dans le second épisode, lucky Luke accepte une missiion chez les apaches, en vue d'empêcher une guere indienne.
Le pénitencier où sont incarcérés les Dalton, est attaqué par Tichose et ses apaches. les quatre cousins parviennent à s'évader, à la faveur d'une attaque des indiens.
Lucky Luke parviendra-t-il à la fois à ramener les Dalton en prison et à éviter la guerre avec les apaches?... avec l'aide involontaire mais déterminante de Ran-Tan-Plan, le chien le plus stupide de l'ouest!

Un album plaisant, donc, où pétille l'humour de René Goscinny sous l'habile crayon de Morris.

En ouvrant cette nouvelle histoire on s'attend à retrouver le scénario éculé d'une poursuite entre Lucky Luke et les Daltons. Et ho surprise ce n'est pas le cas. L'histoire prend une toute autre direction quand les Daltons se retrouve prisonniers des Apaches.
Un bon album ou l'on retrouve toute l'atmosphère du far-west qui fait le succès des aventures de Lucky Luke.

Une petite BD sympathoche dans laquelle on retrouve deux histoires sur nos idiots de prisonniers préférés. Lucky Luke cabotine (enfin si cela est possible dans une BD).
Les Dalton font toujours des merveilles pour s'échapper de leur prison. Facile, dans la première histoire, tous les prisonniers sont amnistiés. Tous ! Même les Dalton. Et ils cherchent alors à braquer une banque mais notre cowboy solitaire parvient à les en empêcher.
Dans la seconde histoire, les Daltons parviennent également à s'échapper et se retrouvent à vivre parmi les Indiens, en se faisant passer pour des faiseurs de pluie. Ajoutons que les Indiens sont sur le sentier de la guerre. Mais, comme à son habitude, Luke va résoudre ces différents démêlés et tout finit bien. Sauf pour les Dalton de retour au pénitencier. Et avec un Rantanplan en pleine forme, si, si, c'est possible !

C'est gentillet. Ça fait passer le temps, ça fait sourire. Et il y a quelques bons mots.

Deux histoires sur les Dalton où Lucky Luke devra s'employer pour les ramener au pénitencier.
Dans la première histoire, les Dalton sont libérés suite à une amnistie générale du nouveau President des Etats-Unis. Une simple histoire de poursuite qui se terminera dans le désert.
La seconde est une évasion à l'occasion d'une attaque des Apaches qui ont déterré la hache de guerre.
L'une comme l'autre, la bêtise des Dalton et l'idiotie de Ran-Tan-Plan fournit de nombreux gags.