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sur 988 notes
Stockholm, 1944. Une jeune mère célibataire est retrouvée morte chez elle, les bras en croix, des clous enfoncés dans les paumes, la jupe relevée, une cuillère en bois dans la gorge. Elsie Svenns, auxiliaire de police, est la première sur les lieux avec son collègue. Malheureusement, le tueur est encore là. Et Elsie trouve la mort, sa tête empalée sur une pioche...
Dans les années 70, Britt-Marie, après son congé maternité, reprend son travail au commissariat d'Östertuna, à la brigade criminelle. Heureuse de pouvoir se rendre utile. Mais, sa présence n'est guère appréciée par son supérieur qui la cantonne à des tâches administratives. Une situation qui agace de plus en plus la jeune femme d'autant qu'une tentative de meurtre va être perpétrée dans le quartier. La victime est retrouvée inconsciente chez elle, les mains clouées au sol. Un scénario douloureusement familier pour la jeune policière puisqu'il n'est pas sans rappeler celui de l'année 1944. L'Assassin des bas-fonds, comme il a été surnommé, serait-il revenu ? Lui qui a tué Elsie, sa mère biologique...

Un tueur en série sème la terreur dans une petite ville de la banlieue de Stockholm et ce, sur une période de presque 80 ans. Celui qui a sévi en 1944 est-il réellement le même que celui des années 70, 80 puis 2019 ? Pourquoi s'en prend-il aux femmes, pour la plupart jeunes ? C'est ce que devront découvrir successivement Britt-Marie, de la brigade criminelle, Hanne, jeune profileuse qui met ses talents au service de la police, et enfin Malin, policière au commissariat de Kungsholmen. Trois femmes sur la traque, visiblement, d'un même homme, à des décennies d'écart. Ce quatrième volet, mettant en scène Hanne Lagerlind-Schön, fait montre d'une trame narrative bien ficelée tant chaque partie s'emboîte parfaitement les unes dans les autres. L'enquête en elle-même est captivante, habitée par moult personnages, mettant en avant les progrès de la police mais surtout la place des femmes dans la société, plus particulièrement dans les forces de l'ordre. Un roman policier habilement mené et une fin inattendue...
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Je fus vite happée par ce récit. Oh oui. Assez pour lire longtemps dans la nuit.
Une narration disons inhabituelle à laquelle on doit souscrire, a fait en sorte que oui, je me suis laissée prendre et j'ai été touchée par le destin de ces femmes. Ces femmes qui traquent un meurtrier et ces femmes victimes du meurtrier. Avec toujours plus d'intérêt au fil de ma lecture, j'ai suivi leurs pas de 1944 à nos jours sans jamais m'ennuyer. Voilà, malgré les meurtres sordides, mon intérêt pour ce récit policier n'a jamais faibli. Mais que dire de l'attachement que j'ai développé pour ces femmes qui se sont battues pour se faire une place dans les forces policières suédoises ? Que dire de cette société dite la plus démocratique du monde et qui encore aujourd'hui peine avec l'égalité homme-femme, la conciliation travail/famille, les rapports quotidiens, amoureux ou autres entre les hommes et les femmes? Avec une écriture efficace, des mots précis , un souci de "sonner" juste, Camilla Grebe réussit sur des décennies, à nous faire un portrait de cette espèce de misogynie sous jacente aux relations homme-femmes dans le quotidien. Je clame que c'est un bon roman, une bonne lecture et que l'autrice a gagné son pari haut la main si pari il y eut !
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Un premier crime est commis en 1944 à Stockholm : une jeune femme mère d'un enfant en vas âge est retrouvée assassinée sauvagement, crucifiée sur le parquet, un ustensile de ménage dans la gorge. L'auxiliaire Elsie, traitée comme du menu fretin par les policiers avec lesquels elle travaille, est surprise par le tueur qui la fait tomber dans les escaliers et la tue…

En 1971, une autre femme est assassinée de la même manière, et Britt-Marie qui n'est autre que la fille biologique, est très mal accueillie par l'inspecteur qui la cantonne à la paperasserie, elle pourtant une idée lorsqu'un deuxième meurtre est commis, mais elle disparaît mystérieusement.

Dans les années quatre-vingt, c'est la criminologue Hanne, qui fait les frais de la maltraitance policière…

Ce roman nous raconte des crimes en séries, concernant uniquement des femmes, dans un contexte où l'arrivée des femmes dans la police misogyne de l'époque est très mal acceptée. Soit on leur interdit le terrain, on les condamne à la paperasserie, soit on leur met la main aux fesses, en les écartant car elles osent se rebiffer. Et les choses vont-elles mieux quand elles sont plus nombreuses dans les années 2000 pas forcément…

Camilla Grebe étudie aussi au passage la double peine : le travail et la gestion de la maison, car les époux de ces dames ne mettent pas trop la main à la pâte…

Une belle étude de l'évolution des femmes des années quarante à nos jours, des humiliations qu'elles ont subies, de la difficulté à se faire une place : en théorie on est pour l'égalité mais en pratique c'est beaucoup moins évident.

Quant à l'enquête elle-même, elle est passionnante, la manière dont sont exposés les meurtres, les intrications avec les familles, les policiers car le coupable peut se cacher n'importe où et pourquoi disparaît-il des radars pendant des années ?

J'ai choisi ce roman car j'aime beaucoup les polars nordiques. C'est le premier roman de l'auteure que je lis et je l'ai beaucoup apprécié, car la narration est originale : avant chaque chapitre, Camilla Grebe nous propose un message, comme une lettre resituant le contexte….

Un immense merci à NetGalley et aux éditions Calmann-Lévy qui m'ont permis de découvrir ce roman et son auteur.

#LArchipeldeslarmes #NetGalleyFrance
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Bien ennuyée pour donner mon avis sur ce livre, car si j'ai beaucoup aimé le début , le milieu, admirative du talent de l'auteure , je n'ai pas du tout adhéré à la fin...
Comme un magnifique soufflé qui retombe !

Car il est ambitieux ce roman, qui s'inscrit habilement dans une série. On y croise des personnages qu'on retrouve dans d'autres tomes, on assiste même à leur rencontre professionnelle.

C'est une histoire de tueur en série, qui défie la police, et surtout le temps.

Février 1944 à Stockolm , une jeune mère célibataire est retrouvée morte, à son domicile (clouée au sol ...) , ça sera Elsie qui enquêtera, une des premières femmes à "rentrer" dans la police, encore que le rôle ne soit pas vraiment défini, leur statut médiocre, et l'estime de leur supérieur inexistante...

Puis l'on passe à Ostertuna en 1971 , où sa fille biologique, Brit- Marie enquêtera sur un meurtre lui ressemblant étrangement.

Surnommé le tueur des Bas-fonds", il "narguera" la police , encore en 1985 , période où le personnage récurrent de Camilla Grebe , Hanne, sera l'une des premières profileuse de la police , jusqu'en 2019, où le( la ) meurtrier (e) sera démasquée par Malin, inspectrice.

Bien- sûr, ce ne peut être le même homme, mais l'impression est la même à chaque fois, celle d'un meurtrier, qui s'en tire bien, celle d'une police inefficace. Et pourtant , elles ne ménagent pas leur peine, toutes ces femmes-flics, parfois, elles ont même des intuitions que leurs benêts de collègues masculins n'ont pas, et ( plus grave..), .n'écouteront pas.

Car au-delà de cette traque , ce qu'imagine Camilla Grebe, est remarquable, elle nous propose de "visiter" le temps : l'histoire de la police, une profession qui se féminise , une profession qui se spécialise (profilage), qui se "scientifise" (preuves ADN...) . Elle nous fait "survoler" aussi, les changements apportés dans une ville , l'urbanisation : les quartiers des "bas-fonds", les quartiers pauvres, qui se "boboïsent", qui s'embourgeoisent , leurs emplacements centraux, attirant les convoitises, les promoteurs : nouveaux commerces, nouveaux services, nouvelle population.

Et toujours , en toile de fond, cette "enquête maudite"... et cette fin, si inattendue (pour moi !) , parce qu'elle ne colle pas avec ce que l'on sait, parce qu'elle ne colle pas avec les (maigres) informations qu' a donné Camilla Grebe, parce que la psychologie des personnages, à ce moment- là ne me permet pas d' être en accord avec la fin qu'elle nous propose. Voilà, je n'en dirais pas plus...

Mais , cette fin (ratée à mon avis...) , ne m'empêchera pas de continuer à lire cette série, de très bonne qualité , au demeurant.






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Quatrième roman de Camilla Grebe que je lis, et c'est un coup de coeur! Il m'a encore plus passionnée que les précédents, qui m'avaient déjà beaucoup plu.

La construction est remarquable: elle nous permet de suivre le destin de plusieurs femmes, enquêtrices de police à Stockholm , sur une longue période, depuis 1944 jusqu'à 2019. Toutes traquent " L'assassin des bas-fonds", un tueur en série ( et son imitateur?) qui littéralement cloue au sol ses victimes, toutes , sauf une, des mères célibataires, les frappant à mort.

Outre la complexité des recherches, et les connexions à établir entre les différents moments où le tueur a sévi ( pas d'ADN auparavant, et des preuves qui disparaissent) , le livre a un autre intérêt majeur: montrer l'évolution difficile des femmes dans le milieu policier. Elsie, celle qui est le premier maillon de la chaîne, est à peine vue comme une policière par ses collègues, en 1944. Sa fille, Britt-Marie, n'est bonne qu'à trier des documents.En 1985- 86, Hanne, la profileuse que nous connaissons déjà, alors toute jeune , est traitée avec mépris, et harcelée. Et même Malin, rencontrée dans les tomes antérieurs, subit encore de nos jours la pression de sa supérieure ( eh oui, une autre femme...) parce qu'elle a une vie de famille...

Mais ces femmes, malgré la misogynie ambiante, malgré leurs soucis personnels, et le fait de devoir assumer à la fois travail prenant et foyer, vont être pugnaces, déterminées à faire avancer les choses, intuitives. Je les ai trouvées fort attachantes, courageuses.

Et il ya ce quartier de la banlieue de Stockholm, Östertuna, que l'auteure avoue avoir inventé, cependant bien représentatif des mutations urbaines. D'abord mal-famé, pauvre, bétonné ensuite, avec bien sûr ses nouveaux parkings et son supermarché,il est devenu un lieu branché.

Avant ou après chaque partie, un récit en italiques, évoquant chacun de ces destins féminins avec nostalgie nous intrigue... Patience, la fin vous donnera des révélations surprenantes. Cette fois, je n'avais pas du tout deviné qui était le coupable.

Un roman palpitant, socialement et psychologiquement, et un style fort agréable, décrivant souvent la capitale suédoise avec poésie, au fil des saisons. Et surtout de magnifiques portraits de femmes! J'ai adoré !
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Camilla Grebe est une de mes auteures favorites alors forcément quand un nouveau roman sort, je me jette dessus et encore une fois c'est un coup de coeur, dévoré en 24h. Et puis, c'est toujours avec plaisir que je retrouve certains personnages au fil de ses romans, il s'agit ici d'un tome 4, sa plume et son style et ses intrigues toujours aussi passionnantes. Chapeau bas à l'auteure qui ne tombe jamais dans la routine, ou dans la facilité aux fils des tomes, mais au contraire qui arrive à se renouveler et à innover avec brio.

Ce thriller est un peu particulier puisqu'il se déroule dans quatre époques différentes : les années 1940, les années 1970, les années 1980 puis de nos jours où un mystérieux tueur en série semblent frapper des femmes. Pas facile ce genre de scénario et pourtant l'auteure réalise un tour de force, celui de captiver ses lecteurs et ceux quel que soit la période décrite. Et je dois dire que c'est formidablement analyser et l'on voyage véritablement dans le temps. On y découvre avec stupeur comment les femmes ont dû se battre pour faire leur place dans la police (ce corps de métier est ici présenté mais bien évidement les femmes ont dû se battre dans bien d'autres domaines). L'évolution des moeurs prend des années et il n'est pas facile de faire évoluer les mentalités. Les hommes n'ont pas vraiment le beau rôle dans ce livre et il en prenne tous un peu pour leur grade. On sent que le mouvement #metoo a délié bien des langues et que les femmes osent aujourd'hui dénoncer (fort heureusement) des paroles / comportements qui ne devraient pas avoir lieu.

Camilla Grebe révèle dans les remerciements que ce roman lui a pris beaucoup de temps et de recherches et je ne suis pas surprise. En tout cas rien que pour ça, le livre vaut vraiment le détour, tant il est passionnant.

Niveau intrigue, encore une fois, c'est une réussite. L'enquête est bien menée à chaque époque. On découvre les moyens (ou le peu de moyens devrais-je dire) que les policiers utilisaient à l'époque. Encore une fois, c'est un impressionnant travail de recherches qui nous est présenté ici. Les meurtres font froid dans le dos et en tant que femme et maman, on s'offre quelques sueurs froides. On soupçonne bien du monde mais on est loin de la révélation finale qui nous attend.

Niveau personnage, j'ai adoré faire la courte connaissance d'Elsie, d'enquêter aux côtés de Britt-Marie que j'ai adoré et puis c'est avec un grand plaisir que j'ai découvert une Hanne toute jeune et que j'ai retrouvé Malin et Manfred de nos jours, pour une quatrième enquête.

Je n'ai qu'un mot à dire pour finir, a quand le cinquième tome ?
Lien : https://missmolko1.blogspot...
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L'assassin est-il difficile à trouver ? C'est le cas. En arrière-plan, un thème intéressant ? C'est aussi le cas. Enfin, L'archipel des Lärmes est-il un livre qui ne se lâche pas ? Oui, carton plein pour ce roman policier.
En Suède et à des époques différentes, un assassin sévit.
En 1944, la dispute violente pour laquelle Elsie Svenns a été appelée est en fait un meurtre des plus terribles, une femme est retrouvée clouée au sol, morte. Les policiers ne trouvent pas l'assassin. Ce dernier récidive dans les années 1970.
À chaque époque, l'enquêtrice est une femme. L'auteur nous fait revivre la difficile lutte quotidienne pour l'égalité. du refus de leurs compétences — les femmes font le café et tape à la machine et peu importe qu'elles aient le même diplôme que les hommes — au harcèlement sexuel des années 1980, bien avant l'ère Meetoo.



Lien : https://dequoilire.com/larch..
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Un excellent roman policier plein de rebondissements! L'auteure Camilla Grebe, dont on a pu apprécier déjà "Un cri sous la glace" et "Le journal de ma disparition" frappe encore fort avec ce roman "L'archipel des larmes" qui lui a valu de remporter pour la 2ème fois le prestigieux prix du meilleur polar scandinave.

Une démarche féministe ici: L'action se déroule sur plus de 70 ans, entre 1944, date du premier meurtre et de nos jours.

À chaque fois, une policière interviendra et ce sera une femme différente à chaque fois.

1944; Tout commence avec un meurtre sordide commis dans le peu reluisant quartier d'Östertuna, à une quinzaine de kilomètres au nord de Stockholm. La victime est une jeune mère célibataire, qui sera clouée au sol par les mains et on retrouvera un ustensile de cuisine enfoncé dans sa bouche.
Elsie, jeune auxiliaire policière, trouvera la mort en essayant de poursuivre le coupable.

Bien des années plus tard, dans les années 70, sa fille biologique, Britt-Marie, policière aussi, sera confronté à ce même type de meurtres. Depuis la fin des années 50, les femmes sont entrées en nombre en Suède dans la police mais ont du mal à se faire une place au soleil.
Ainsi Britt-Marie est cantonnée à des tâches subalternes par son chef le commissaire Sven Fagerberg, indécrottablement misogyne et bourré de préjugés sur la "juste" place des femmes dans la société.

Britt-Marie va disparaître mystérieusement et le coupable sera toujours dans la nature...
Nouveau rebondissement dans les années 80 avec de nouveaux meurtres perpétrés selon le même rituel. Cette fois-ci, une jeune adjointe de police, Linda, trouvera la mort.

Pourquoi des femmes jeunes mères célibataires?
Qu'est-ce que cela déclenche chez le meurtrier?
C'est là qu'intervient, en 1985-1986, juste avant le meurtre du Premier Ministre Olof Palme, la jeune profileuse Hanne Lagerlind-Schön. Très différente du profil de Elsie et Britt-Marie, Hanne est issue de la haute bourgeoisie stockholmoise. Elle a fait de hautes études et elle a une certaine idée de la place que doit avoir la femme dans la police.

L'enquête va malheureusement tourner court et ce sera seulement de nos jours que tout sera élucidé avec une nouvelle policière: Malin.

L'étendue de la période considérée rend très intéressant ce livre, plus féministe que l'auteure ne l'avait prévu au départ, selon ses dires dans une récente interview.
Le livre lui a nécessité beaucoup de recherches et d'interviews de policiers et policières.
C'est toute l'évolution de la société suédoise que l'on voit aussi.
Passionnant et très actuel en ces moments de renouveau du féminisme.
On se console comme on peut à la fin du livre en constatant que la situation de la femme suédoise n'est pas vraiment franchement meilleure que celle de la femme française..
Bravo Mme Grebe, vous nous avez bien tenu en haleine et vous nous avez fait voyager dans le temps...
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Je m'attendais à moins.
Je m'attendais à mieux.

Dans plusieurs polars, on fait un flash-back, pour expliquer le présent.
Ici, on en fait trop (à mon avis).
On se promène sur 4 décennies spécifiques, de 1944 à aujourd'hui. On essaie aussi de suggérer un tueur unique sur soixante ans (!) On tente de nous décrire les personnages (une trentaine ?) et les comportements sur chacune des périodes.

On y décrit aussi la situation de la femme en Suède (point central du livre). Si l'intention principale avait été de décrire la discrimination reliée au sexe en Suède des soixante dernières années, il n'y avait aucun besoin d'y ajouter des meurtres violents d'une dizaine de femmes.

Quant à la fin, c'est là que je m'attendais à mieux.
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Première rencontre réussie avec l'auteur , j'ai été agréablement surprise car je m'attendais au pire avec le titre du roman .
L'histoire se déroule sur plus ou moins 70 ans , on y croise des inspectrices à des époques différentes , des victimes de crime à la mise en scène macabre , femmes qui ont un point commun , elles sont victimes de sexisme , on les juge sur les apparences .
La réputation est terrible et peu de personnes la remettent en cause sauf une policière honnête , tenace mais mal vue par son supérieur hiérarchique qui n'accepte pas qu'une femme dans la police puisse faire autre chose que de la paperasserie .
Les époques changent , les mentalités changent doucement .
La fin est vraiment inattendue , je pensais avoir trouvé le coupable mais ....., suspense et rebondissements garantis et beaux portraits de femmes .

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