Valable pour la série de 1 à 5 (un livre par an) les épisodes 6 à 8 ont été écrits 5 ans plus tard, les personnages initiaux sont morts depuis des siècles et j'ai choisi de ne pas m'engager dans cette nouvelle aventure.
Pour le reste :
Magnifique space opera. Ultra coloré.
Un univers totalement déjanté, exubérant, criard, excessif. cet univers mérite tous les superlatifs.
Les personnages, haut en couleur accrochent immédiatement la sympathie ou la haine, c'est selon. On les suit avec passion.
La lecture est aisée, linéaire.
On ne s'ennuie pas un seul instant. de l'action à tous les niveaux qui va crescendo au fil des tomes.
Tous les thèmes sont abordés (IA, pouvoirs de l'esprit, machines, vaisseaux spatiaux, extra-terrestres etc...)
De l'humour, du suspense.
A lire absolument.
Commenter  J’apprécie         70
Suite des aventures de Traquemort, Hazel, Hasard et Rubis. Après la guerre, la reconstruction. Et celle ci ne se fera pas facilement. Les intrigues des arsitos continue et les ennemis de l'humanité sont sur le qui vive pour profiter de leurs faiblesse suite à la rébellion. Entre les IA de shub et les Hadeniens nos 4 héros vont devoirs repousser leurs limites. Un très bon tome comme ses prédécesseurs.
Commenter  J’apprécie         20
« Je sais ce que vous pensez, fit-elle avec décontraction.
— Ce ne serait pas la première fois. Je suppose que vous non plus ne connaissiez rien à la technique de l’escalade avant aujourd’hui ?
— Gagné. On dirait que mes mains et mes pieds savent où se placer sans que j’aie à regarder, comme par habitude. Ça flanque un peu les jetons. Je me demande ce dont on serait capables si on le voulait ; j’ai toujours rêvé de pouvoir voler…
— À votre place, je n’essaierais pas tout de suite. Les rochers en contrebas ne m’ont pas l’air particulièrement accueillants.
— Bien vu. »
— Dans ce cas, trouvez un moyen ! C’est vous le cerveau de l’équipe, en principe ! Vous pensez, moi je tape. On a toujours fait comme ça.
— Oui, mais je réfléchis mieux quand on ne me hurle pas dans les oreilles », répondit Owen avec douceur. Hazel poussa un grognement et lui tourna le dos.
— [...] Nous avons parlé de tout ça lors des réunions préparatoires, Hazel ; vous devriez vraiment y assister.
— Et vous priver du plaisir de tout m’expliquer ensuite ? Vous ne me le pardonneriez jamais. »
« Posséder », tel était son maître mot, et elle ne jetait jamais rien, d’abord parce qu’elle n’aimait pas renoncer à ce qui lui appartenait, ensuite « parce qu’on peut toujours en avoir besoin ».
J'ai connu des lemmings dépressifs sur le toit d'un immeuble qui avaient un instinct de survie plus développé que le tien.
Simon R Green interviewed at C2E2