Erik Izraëlewicz/5
8 notes
Résumé :
La Chine tient ses promesses - et au-delà. Rien ne semble devoir arrêter son ascension. L'empire du Milieu devrait dépasser les Etats-Unis et devenir la première puissance économique mondiale avant la fin de cette décennie - plus tôt que beaucoup ne l'avaient annoncé.
En trente ans, le niveau de vie des 1.3 milliards de Chinois a déjà été multiplié par dix. Forte de ses multiples succès et de ses réserves de change gigantesques, la Chine ne veut plus... >Voir plus
En trente ans, le niveau de vie des 1.3 milliards de Chinois a déjà été multiplié par dix. Forte de ses multiples succès et de ses réserves de change gigantesques, la Chine ne veut plus... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2)
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Un livre à lire absolument (sauf si l'on est un spécialiste, et encore) pour s'éclaircir les idées sur la Chine, ce qu'elle représente, comment elle a évolué ces dernières années, pourquoi les "déçus de la Chine" se font de plus en plus nombreux, etc.
Avec le talent que peuvent avoir les (bons) journalistes pour faire surgir des analyses fines à partir de l'évocation de faits concrets révélateurs, l'auteur invite ici à une remise à plat décapante d'un certain nombre d'idées reçues sur l'empire du milieu. En outre, la lecture de ce petit livre ne nécessite absolument aucune connaissance particulière préalable.
Avec le talent que peuvent avoir les (bons) journalistes pour faire surgir des analyses fines à partir de l'évocation de faits concrets révélateurs, l'auteur invite ici à une remise à plat décapante d'un certain nombre d'idées reçues sur l'empire du milieu. En outre, la lecture de ce petit livre ne nécessite absolument aucune connaissance particulière préalable.
Un tableau impressionnant de la situation géopolitique et économique de la Chine et de sa place parmi les autres pays du monde. Une analyse de ce régime politique que l'auteur appelle "l'illibéralisme".
Citations et extraits (3)
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Interrogé sur ce qu'il pensait des Chinois, Paul Claudel, qui avait été en poste à l'ambassade de France à Pékin, répondait d'une formule lapidaire : "Je ne les connais pas tous." La boutade ne manque pas de pertinence.
Ils détestent les Japonais ; ils adorent leurs marques. Les Sony, Honda et Matsushita sont constamment plébiscitées dans les grandes enquêtes d'opinion.
Les mastodontes d'Etat chinois, lorsqu'ils cherchent du capital, se tournent davantage vers les fonds taïwanais, qu'ils préfèrent aux capitalistes hongkongais ou singapouriens.
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Les matins -Erik Izraelewicz .
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