Le règlement prescrit le silence absolu, il est vrai, mais comme on entend claironner des coqs, aboyer des chiens, chanter des oiseaux et que ces différentes manifestations du son constituent le langage des bêtes, un forçat se dit que ce qui est permis à des animaux ne devrait pas être défendu à des hommes, et de temps à autre, les lois naturelles reprenant leurs droits, il arrive que des condamnés commettent le crime de parler…
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.