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Petite philosophie de la chaussette
Jean-Claude Kaufmann
Éditions Buchet-Chastel
« La chaussette, c'est sans doute l'accessoire de notre vestiaire le plus discret, le plus anodin, parfois même le plus invisible, et c'est un défi que relève dans ce livre Jean-Claude Kaufmann : nous présenter une Petite philosophie de la Chaussette pendant deux cents pages. C'est vraiment un livre passionnant, parce qu'on découvre que la chaussette cristallise en fait bien des aspects de notre époque contemporaine, notre rapport à la mode, notre rapport à l'argent, notre rapport aussi au couple... »
Guillaume, libraire à La Procure de Paris
Jean-Claude Kaufmann/5
10 notes
Résumé :
Anastasia se sent piégée, piégée par son mari qu'elle n'aime pas, déçue par un amant dont elle attend trop. Anastasia est absente de sa propre vie car elle ne croit pas vraiment à l'amour .
Comment va-t-elle gérer ces relations frustrantes qui ne l'épanouissent pas ?
Sous la forme épistolaire, Jean-Claude Kaufmann, qui se met en scène lui-même, explore les ressorts des forces destructrices entretenues par des couples qui vivent et res... >Voir plus
Comment va-t-elle gérer ces relations frustrantes qui ne l'épanouissent pas ?
Sous la forme épistolaire, Jean-Claude Kaufmann, qui se met en scène lui-même, explore les ressorts des forces destructrices entretenues par des couples qui vivent et res... >Voir plus
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Que lire après L'amour qu'elle n'attendait plusVoir plus
Ça file good à la maison !: Le livre déculpabilisant qui veut du bien aux enfants mais surtout aux parents !
Véronique Maciejak
4.75★ (12)
Critiques, Analyses et Avis (2)
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une femme très spéciale depuis sa naissance
et ensuite, va t -elle se marier ? avoir des enfants ?
s'y consacrer ? ou ne faire que travailler ?
va t elle rencontrer un amour extraordinaire ? et sincère ?
quel caractère très fort et en même temps un peu faible ...
J Cl Kaufmann nous emmène vers la dernière page à toute vitesse
c'est un livre file gourde ; oh pardon feel good sorry my english was not at the top ! rires
et ensuite, va t -elle se marier ? avoir des enfants ?
s'y consacrer ? ou ne faire que travailler ?
va t elle rencontrer un amour extraordinaire ? et sincère ?
quel caractère très fort et en même temps un peu faible ...
J Cl Kaufmann nous emmène vers la dernière page à toute vitesse
c'est un livre file gourde ; oh pardon feel good sorry my english was not at the top ! rires
Aujourd'hui je viens vous parler de L'amour qu'elle n'attendait plus de Jean-Claude Kaufman.
Résumé :
Anastasia se sent piégée, piégée par son mari qu'elle n'aime pas, déçue par un amant dont elle attend trop. Anastasia est absente de sa propre vie car elle ne croit pas vraiment à l'amour .
Comment va-t-elle gérer ces relations frustrantes qui ne l'épanouissent pas ?
Sous la forme épistolaire, Jean-Claude Kaufmann, qui se met en scène lui-même, explore les ressorts des forces destructrices entretenues par des couples qui vivent et restent ensemble sans s'aimer.
Au fil de leurs échanges, Jean-Claude Kaufmann va aider Anastasia à dénouer les liens toxiques qu'elle entretient avec les hommes de son entourage jusqu'à ce qu'elle ouvre les yeux sur ce que peut être aussi le véritable amour...
Le fait que l'échange soit en partie épistolaire aurait pu être intéressant mais j'ai trouvé le discours vraiment trop "psy" et donc pas forcément très agréable à lire pour ma part.
L'histoire d'infidélité à la 50 nuances de Grey (les références y sont même faites dans le roman) ne m'a guère intéressée non plus. J'avais lu cette saga mais je n'avais pas accroché plus que ça. Je n'ai même pas vu les films 😅
Un livre qui se lit assez vite mais qui m'a déçu.
Je valide le thème Cupidon pour le #challengevidagedepal.
Résumé :
Anastasia se sent piégée, piégée par son mari qu'elle n'aime pas, déçue par un amant dont elle attend trop. Anastasia est absente de sa propre vie car elle ne croit pas vraiment à l'amour .
Comment va-t-elle gérer ces relations frustrantes qui ne l'épanouissent pas ?
Sous la forme épistolaire, Jean-Claude Kaufmann, qui se met en scène lui-même, explore les ressorts des forces destructrices entretenues par des couples qui vivent et restent ensemble sans s'aimer.
Au fil de leurs échanges, Jean-Claude Kaufmann va aider Anastasia à dénouer les liens toxiques qu'elle entretient avec les hommes de son entourage jusqu'à ce qu'elle ouvre les yeux sur ce que peut être aussi le véritable amour...
Le fait que l'échange soit en partie épistolaire aurait pu être intéressant mais j'ai trouvé le discours vraiment trop "psy" et donc pas forcément très agréable à lire pour ma part.
L'histoire d'infidélité à la 50 nuances de Grey (les références y sont même faites dans le roman) ne m'a guère intéressée non plus. J'avais lu cette saga mais je n'avais pas accroché plus que ça. Je n'ai même pas vu les films 😅
Un livre qui se lit assez vite mais qui m'a déçu.
Je valide le thème Cupidon pour le #challengevidagedepal.
Citations et extraits (3)
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Anastasia avait peut-être raison pour sa fille, le suicide existe bel et bien chez les enfants, de façon d'ailleurs moins exceptionnelle qu'on ne l'imagine (plusieurs dizaines chaque année). Le geste n'est pas celui d'un adulte, il n'est pas prémédité, l'impulsion ne s'inscrit pas dans l'idée dune mort définitive, il témoigne juste d'une insoutenable douleur dans l'instant, d'une envie de tourner ou d'effacer une page, de vivre peut-être quelque chose de différent. Anna s'était sans doute laissée tomber plus qu'elle ne s'était délibérément jetée de la fenêtre.
Boris Cyrulnik ajoutait un point qui me fit froid dans le dos. Les enfants suicidaires ont souvent une prédisposition génétique, ils ont hérité ce triste penchant de l'un de leurs parents. Une prédisposition qui développe toute sa puissance quand l'enfant est victime dune carence affective ou d'un stress d'abandon.
Boris Cyrulnik ajoutait un point qui me fit froid dans le dos. Les enfants suicidaires ont souvent une prédisposition génétique, ils ont hérité ce triste penchant de l'un de leurs parents. Une prédisposition qui développe toute sa puissance quand l'enfant est victime dune carence affective ou d'un stress d'abandon.
Le cas Anastasia était vraiment intéressant pour étudier ce qui sépare (et ce qui relie) désir et sentiment dans l'amour. Pour le désir elle me cachait des choses. Pour le sentiment en revanche, elle donnait l'impression que son existence avait été un désert. Anastasia, l'"erreur" de la famille, avait connu des sensations fortes dans son enfance, la honte, l'incompréhension, la colère. Ce magma violent et négatif, qui aurait pu la détruire, avait donné naissance à son "plan de guerre". Elle était devenue un cerveau.un pur cerveau. Son corps échappait parfois, en solitaire, à l'emprise cérébrale. Il ressentait soudain des désirs, des envies, brutales, urgentes, qui surgissait dans son corps mais comme en dehors d'elle-même.
La vie est trop précieuse pour qu'on s'en débarrasse sur un coup de tête. Courage !
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