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3,9

sur 2079 notes
Ça fait bien longtemps que Stephen King n'est plus un outsider, mais le Maître incontesté des romans de (mauvais) genre. Des genres, tant il est bien davantage que l'auteur a qui on colle cette étiquette de spécialiste de l‘horreur, passant avec bonheur d'un style à l'autre.

L'outsider est une sorte de chaînon manquant entre certaines de ses productions récentes et d'autres plus anciennes, un mix de naturel et de surnaturel.

Un début d'intrigue qui peut s'apparenter à ce qu'il proposait avec Mr. Mercedes. Une ambiance polar, une vraie. Et sacrément prenante, preuve que même dans la construction d'une enquête, il est capable de tenir tête aux meilleurs auteurs de polars et de thrillers.

Ce qui est assez exceptionnel avec ce roman c'est qu'il a tout pour contenter les anciens fans de l'écrivain tout comme les plus récents, et qu'il a les qualités pour en toucher de nouveaux. C'est même un livre idéal pour découvrir le King, plus de quarante ans après ses débuts !

La première moitié est une plongée dans une enquête qui semble commencer classiquement, pour devenir particulièrement addictive rapidement, tant l'intrigue est inattendue sous couvert de classicisme. Chez King, rien n'est jamais vraiment ce qu'il semble être…

Quant à la deuxième partie, elle accentue la tension et nous plonge dans des méandres bien plus sombres et étranges.

J'ai beau être un immense admirateur du Maître, je n'en ai pas moins un oeil critique. Assez étrangement, son précédent roman Sleeping Beauties m'était littéralement tombé des mains, malgré un sujet très intéressant.

Autant dire que chaque nouvelle lecture est une surprise, même après tant d'années de vie commune. le cru 2019 est, lui, totalement à mon goût.

Stephen King s'amuse d'ailleurs avec cette manière de mélanger ses époques. le roman débute un peu comme son tout premier livre, Carrie, avec des extraits de documents officiels (les interrogatoires), amusant clin d'oeil. Il continue en faisant un lien avec la trilogie Mercedes (Mr. Mercedes / Carnets noirs / Fin de ronde) qui ravira ceux qui l'ont lue, sans déranger pour autant ceux qui ne l'ont pas fait (à tort, il va falloir vous rattraper !).

L'outsider est un modèle du (des) genre(s), à la construction aussi solide que surprenante, aux personnages attachants comme seul Stephen King sait les proposer, et à l'intrigue qui a de quoi ravir tous les lecteurs. Ce n'est pas loin d'être ce qui s'apparente à un exploit, parce que l'émotion est bel et bien là !
Lien : https://gruznamur.com/2019/0..
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Il faut croire que Stephen King aime les enquêtes policières depuis sa trilogie.
Il met en scène un policier qui se retrouve à enquêter sur un meurtre terrible dont l'auteur, un citoyen modèle au delà de tout soupçon, se trouverait à deux endroits en même temps au moment du meurtre.
Premier réflexe, s'agirait-il de jumeaux ? Que nenni, c'est du KING, trop facile comme solution.
Et c'est là que l'on retrouve l'auteur et son imagination. Il a toujours cet art de raconter les histoires qui me plait tant. On retrouve un petit chouia de Ça, et d'autres choses mais je ne vais pas tout vous dire.
Si la lecture du roman est agréable, il me manque depuis quelques livres, ce côté horreur et épouvante impossible à lâcher et si angoissant, et aussi les tensions qui vont crescendo dans les huit clos ou dans les lieux où les héros sont repliés sur eux mêmes et livrés à leur propre sort sans pouvoir compter sur une quelconque aide extérieure.
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Excellent, effrayant, haletant, oppressant! Bien que nous ne soyions qu'en janvier, cet Outsider sera presque à coup sur dans le top 3 de mes lectures 2022! Une enquête concernant le meurtre et le viol sordides d'un jeune garçon lance la police sur la piste d'un homme au-delà de tout soupçon, même si de nombreux témoins oculaires, étayés par des traces ADN irréfutables, l'accablent...
Mais d'autres dépositions et indices solides attestent également de sa présence loin des lieux au moment du crime...
Qui ment ?
Comment expliquer l'inexplicable?
Comment croire l'incroyable pour l'inspecteur Ralph Anderson?
Comment reprendre une enquête apparemment sans faille et bardée de certitudes?
Et pourtant...
Un roman qu je n'ai pas pu lâcher jusqu'à la fin, King nous emporte dans une recherche d'abord impossible, avant de faire changer notre vision pour nous entraîner dans une abîme glaçante...
Fabuleux !

Me voilà réconcilié avec Stephen King!
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Je me suis régalée avec L'outsider ! C'est toujours un plaisir de retrouver la plume de S.King et à peine la première page commencée, je l'ai dévoré . Un bon polar qui tourne au fantastique, comme souvent, avec des personnages auxquels on s'attache très vite et une intrigue particulièrement haletante et mystérieuse ! le tout avec cette écriture addictive qui en fait un véritable page-turner. Oui on veut savoir, comprendre et on n'est pas déçu ! Une petite dose de frisson en plus, un petit regard sous le lit avant de dormir et voilà j'ai encore été embarquée par le grand maître ^^ Vivement le prochain !
Challenge mauvais genres 2020
Challenge USA
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Il y a bien longtemps que je n'ai pas fait de retour lecture à propos d'un polar. Il est donc grand temps de se rattraper, et ce, avec un excellent et addictif roman, qui n'est rien de moins que L'Outsider de Stephen King. Une nouvelle fois, le Maître nous offre un polar sombre et peuplé d'une créature venue non pas d'outre-tombe, mais de nos terreurs enfantines. Sur le modèle d'un croque-mitaine, version mexicaine, l'auteur a joué avec mes nerfs en opposant réel et irréel, et ce, pour mon plus grand plaisir ! le pitch ? le corps martyrisé d'un jeune garçon est retrouvé dans le parc de la ville. Tout semble désigner Terry Maitland, entraîneur local de baseball. Témoins, empreintes digitales, et même ADN incrimine l'homme. le problème ? L'homme a non seulement un alibi en béton, mais également des preuves irréfutables. Terry Maitland est-il vraiment le citoyen modèle qu'il prétend être ? Qui se cache derrière l'horrible meurtre ? Entre l'Oklahoma et le Texas, Stephen King fait claquer un vent de critiques envers une société qu'il exècre. Peut-on dire que l'on en attendait pas moins de lui ?

Dans le parc de Flint City, un garçon de onze ans est retrouvé mort. Violemment. Une branche dans le derrière et quelques morceaux de chaires en moins, des traces de morsures encore visibles. Sur l'affaire, Ralph Anderson, flic de la ville, ne semble pas totalement convaincu de la culpabilité de Terry Maitland, entraîneur de baseball que tout accuse. Les preuves s'accumulent, mais chose étrange, l'accusé à un alibi plus que béton. L'entraîneur a-t-il un sosie ?

Avec minutie, le célèbre auteur embarque son lecteur dans une longue enquête au relent fantastique. Avec lenteur, il expose les faits de cet affreux meurtre pour tisser la toile de cette histoire beaucoup plus complexe qu'elle n'y paraît...

Alors que l'affaire semble rapidement bouclée, Ralph Anderson, notre flic-héros au sens moral indiscutable, doute. Appelez ça flaire ou intuition, l'homme est perplexe et il a bien raison, surtout lorsqu'un premier meurtre reprenant le même mode opératoire est supposément lié au second. Plus étrange encore, comment Terry Maitland a pu assassiner l'enfant alors qu'il se trouvait à trois heures de route de celui-ci ?

Vous l'aurez compris, rien n'est facile avec le grand King !

Et si l'explicable prenait sa source dans l'inexplicable ?

Friand de fantastique, l'auteur en saupoudre son récit grâce aux histoires enfantines dans lequel il puise ses influences. Habile, cette fois-ci il revisite le mythe del Cuco, croque-mitaine ou vampire sud-américain.

Et si c'était ça la force du romancier, revisiter nos craintes pour les exposer dans ce présent où l'enfant à laissé place à l'adulte ?

Critiquant tour à tour le système judiciaire américain ou encore le gouvernement Trump, l'auteur se fait le peintre d'une société malade où transpire une violence de moins en moins contenue.

Posément, l'enquête tout d'abord rationnelle laisse peu à peu place à l'inacceptable et ce, grâce à l'arrivée d'un personnage maintenant récurrent des romans du maître, Holly Gibney ! Personnage phare de la trilogie "Bill Hodges" composé de Mr Mercedes, Carnets noirs et Fin de ronde, Holly, enquêtrice hors-paire, s'invite dans ce roman et amène avec elle la caution surnaturelle dont l'auteur a besoin. C'est donc avec un plaisir non dissimulé que j'ai retrouvé ce personnage attachant, fil conducteur des péripéties narratives de ce dernier.

Fan du Maître, ce roman est fait pour vous ! Quant aux autres, voilà une belle entrée en matière pour se familiariser avec la plume policière de celui-ci...

A ton avis, quelle gourmandise ai-je associé à ce roman ? Indice : il coule comme le sang... Curieux ? Viens sur le blog !
Lien : http://bookncook.over-blog.c..
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Un très bon King !
Le corps d'un jeune adolescent est retrouvé dans des buissons, et de nombreux témoignages et preuves portent à accuser de cet assassinat Terry Maitland, l'homme le plus apprécié de la petite ville de Flint City, Oklahoma. Problème : d'autres témoignages et preuves fournissent à Terry Maitland un alibi en béton. Quelle est donc cette diablerie à l'oeuvre ?
J'ai une petite idée là-dessus : c'est l'imagination extraordinaire de Stephen King qui, une fois encore, nous emmène dans la quatrième dimension ! (celle de Rod Sterling).
J'ai adoré, comme toujours, l'humanité qui transparaît dans la description de cette petite ville et de ses habitants (même les plus odieux) de l'ère trumpiste. Stephen King ne s'est jamais départi de son amour et de son respect des "petites gens", et ça m'émeut à chaque fois. Ici, les personnages principaux sont bien brossés et nuancés, avec ce qu'il faut de zones d'ombre (et l'on retrouve même une vieille connaissance !). L'intrigue tient en haleine, car les explications rationnelles sont bien verrouillées. Reste donc l'irrationnel, le domaine du King. Domaine qui n'est vraiment pas le mien, sauf que... eh bien, j'avoue que certaines réflexions, invitant à repousser les limites de la perception, m'ont interpelée.
Toutefois, le dénouement m'a paru un peu abrupt -mais c'est parce que j'aurais préféré que l'auteur poursuive son étude de moeurs, plutôt que plonger dans le fantastique (qui est pourtant sa marque de fabrique). Il n'en demeure pas moins que c'est un roman sur lequel il ne faut pas hésiter à se jeter, pour ne faire qu'une (grosse) bouchée de ses 800 pages.
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J'ai évité de lire des avis sur ce nouveau Stephen King pour garder tout le plaisir de la lecture, pouvoir découvrir et m'étonner devant les méandres de l'intrigue. J'aime beaucoup cet auteur que je suis depuis longtemps, j'ai frissonné devant « Simetierre », regardé sous mon lit avec « Ça », eu des sueurs froides en découvrant Annie Wilkes dans « Misery », voyagé dans le temps avec « 22/11/63 ». Aussi quand j'ai commencé « l'Outsider », je me suis demandé dans quel univers allait m'entraîner Stephen King et si celui-ci allait me plaire. Eh bien oui, j'ai dévoré ce roman et je l'ai beaucoup aimé pour différentes raisons.
La première raison c'est l'intrigue. On s'attend au début à un roman policier classique : un meurtre horrible, un suspect immédiat en la personne de Terry Maitland. Ce quarantenaire marié, bon père de famille, apprécié par toute la ville pour ses qualités d'enseignants et de coach cache sans doute derrière des traits charmants un épouvantable tueur. Mais très rapidement l'auteur nous montre qu'il ne peut pas avoir tué car, au moment du meurtre, il se trouvait ailleurs et de nombreuses personnes peuvent attester de sa présence en dehors de la ville. On ne peut pas se trouver à deux endroits différents au même moment ? Si ? A partir de là, l'intrigue cesse d'être une banale enquête policière et nous fait basculer dans le surnaturel. Si ce n'est pas Terry, alors qui a tué et surtout qui est l'homme qui avait les traits de Terry ? Pour l'inspecteur Ralph Anderson, le chemin qui va le mener à la découverte du meurtrier va l'obliger à accepter que le Mal peut revêtir toutes les formes.
Deuxième raison : l'ambiance dans le roman. Une inquiétude sourde, une menace s'installent au fil des pages et on commence à avoir peur lorsque l'inspecteur Jack Hoskins (personnage secondaire mais fort antipathique) croit sentir sur son cou la trace de doigts qui l'effleurent par exemple, ou quand la fille cadette de Terry Maitland voit un homme « avec de la paille dans les yeux ». Stephen King aime bien jouer avec nos nerfs, la page d'avant tout est normal, la page d'après on a droit à un épisode qui vous laisse fébrile. Quand il ne nous terrifie pas tout simplement avec l'allusion au croquemitaine mexicain, El Cuco qui mange les enfants ! Même la fin n'apaise pas, on a l'impression que la menace persiste, c'est l'impression que j'ai eue en tout cas.
J'ai donc passé un très bon moment de lecture et j'ai particulièrement apprécié un personnage, celui de Holly Gibney. C'est une détective qui arrive assez tardivement dans le roman mais qui se montre particulièrement efficace et courageuse. C'est bien d'avoir des femmes fortes dans ce type de roman : elle n'est pas celle qui hurle devant le monstre, elle est celle qui l'affronte ! Rien que pour elle, lisez le livre !

Challenge Pavés 2009
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L'Outsider est un mélange de polar et de surnaturel, domaines dans lesquels l'auteur est comme un poisson dans l'eau. Tous les éléments lui conviennent, me direz-vous.
Frank Peterson, 11 ans, est sauvagement assassiné. le coupable tout trouvé, prof d'anglais et entraîneur de baseball, Terry Maitland. Et voilà une enquête rondement menée, les preuves s'accumulent, et le doute n'est pas permis. La police est sûre de son coup. Sauf que Terry clame son innocence. Et puis jusqu'ici, ce professeur était respecté, voire populaire.
J'ai apprécié retrouver le Stephen King de "ses débuts", même si j'ai tout adoré de lui, petit à petit, l'impression de changement m'envahissait et la nostalgie semait quelques bribes de regrets. Avec L'Outsider, je me suis revue dévorant ses toutes premières oeuvres, et quel bonheur !
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Abandon à une centaine de pages. Plusieurs essais avec cet auteur à différents âges de ma vie. Je me résigne, ça ne passe pas... Un jeune garçon retrouvé sodomisé par un bâton, étranglé par des dents, des bouts de son corps comme bouffées. Différents interrogatoires à l'identique où les gens parlent de leurs quotidiens sans intérêt. Une écriture qui me met en retrait avec ses répétitions. J'arrive à saturation sur les longues pages qui parlent de vaisselle et ménage.
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En grande fan de Stephen King, après « Sleeping beauties » et « Gwendy et la boîte à boutons », me voilà prête à vous donner mon avis sur le dernier bébé de ce grand maitre du fantastique. Je me suis précipitée sur ce roman dès sa sortie et en est entamé sa lecture immédiatement. le délai qu'il m'a fallu pour en voir le bout est un signal un peu alarmant. du coup, je vais vous présenter les failles de cette oeuvres qui est vraiment loin d'être la meilleur de cet auteur.

Tout d'abord, laissez moi aborder le point le plus important de cette chronique. « L'Outsider » doit impérativement être lu après la trilogie Bill Hodges ! En effet, on retrouve ici l'un des personnages principaux de ces trois romans, Holly Gibney. Après l'avoir découverte dans « Mr Mercedes » et l'avoir ensuite suivie dans ses nouvelles aventures dans « Carnets noirs » et « Fin de ronde », vous retrouverez ce personnage au caractère étrange au coeur de l'intrigue ce nouveau roman de King.

Malheureusement, rien n'est indiqué sur la jaquette ou la quatrième de couverture de « L'Outsider » pour nous prévenir de ce léger détail. du coup, on peut se retrouver à suivre un personnage inconnu qui nous parle d'intrigues dont nous ignorons tout et qui (comble de l'horreur) nous spoile en un clin d'oeil toute la trilogie Bill Hodges. Voilà donc un très mauvais point pour ce livre qui aurait mérité une mention précisant cette filiation entre « L'Outsider » et cette précédente saga.

De mon coté, j'avais déjà lu les deux premiers tomes de cette trilogie et il ne me restait que le dernier à dévorer. Pour mon plus grand malheur, j'ai eu envie de me lancer dans « L'Outsider » avant de lire « Fin de ronde ». Très mauvaise idée. Imaginez ma déception quand je me suis rendue compte que je venait de faire spoiler tout le bouquin !!!

Niveau intrigue, « L'Outsider » démarre à la perfection. On entre dans l'histoire en un clin d'oeil et on se retrouve accroché immédiatement. L'ambiance glauque et mystérieuse typique des oeuvres de King est au rendez-vous et on dévore la première moitié de ce roman plus vite que l'éclair. Un vrai délice.

Mais ensuite tout déraille. C'est à environ 50% de l'histoire que Holly Gibney apparait. Elle est ajoutée à notre histoire de façon artificielle, comme si au départ il n'était pas vraiment prévu qu'elle fasse parti du récit. Une fois son entrée effectuée tambours battants, elle s'impose comme le personnage principal de notre histoire, mettant au rebut les autres protagonistes auxquels nous nous étions attachés.

Elle débarque sans qu'un lecteur n'ayant pas lu la trilogie Bill Hodges ne la connaisse, nous parle de personnes et de faits dont nous ignorons tout (et que nous aurions préféré ignorer pour éviter les spoils !) et se met à prendre toute la place dans l'intrigue de « L'Outsider ». Elle comprend tout plus vite que tout le monde, elle découvre tout en un quart de tour, et semble posséder la science infuse (ou une boule de cristal très efficace). Ce personnage que j'avais beaucoup apprécié dans « Mr Mercedes » ne m'a ici pas du tout convaincue.

Cette seconde moitié de roman dénote totalement avec le début de l'intrigue et se trouve être vraiment décevante. le style de l'auteur est toujours aussi bon et on lit tout de même cette partie du roman avec intérêt. Mais tout semble trop facile et la conclusion de l'histoire n'est vraiment pas à la hauteur de ce à quoi King nous a toujours habitué. Je ne vous parle même pas de son « Outsider » si semblable à un autre de ses grands méchants déjà si terriblement connu que c'en est risible. Même sa cachette finale a un gout de déjà vu…

Bref, « l'Outsider » à été pour moi une cruelle déception. J'espère vraiment que le prochain titre de Stephen King sera à nouveau empreint de la profondeur et l'originalité à laquelle ce si grand auteur nous a habitué…

Lien : https://chezxander.wordpress..
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