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4,12

sur 4819 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
On retrouve ici l'écriture de Stephen King, l'ambiance étrange et morbide, sa région du Maine, et ses descriptions...
On se demande comment cette histoire peut bien se terminer... Et effectivement... !!!
Personnellement, j'ai quand même eu un peu de mal à plonger dans l'histoire. J'ai du passer l'âge de ce genre d'histoires. Trop irréaliste peut être.
Je referme ce livre sans avoir peur ni des chats, ni des fantômes et autres esprits malfaisants ! J'habite pourtant une maison à la campagne, j'ai une civic, et j'ai 3 chats ! Mais tout va bien !!!!...
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J'ai profité d'une lecture commune organisée sur Livraddict par Maanonche pour sortir ce roman qui traînait depuis bien trop longtemps dans ma PAL. C'est là mon second Stephen King après Mr Mercedes que j'ai découvert il y a quelques mois. Encore une fois, j'ai un sentiment un peu partagé sur cette lecture.

On fait la connaissance de Louis et de sa famille qui s'installe dans une nouvelle maison. Ils font vite la connaissance de Jud, leur vieux voisin, qui leur fait découvert un vieux "simetierre" au fond d'une forêt qui s'étend derrière chez eux.

Le roman est captivant, une fois commencé, il est impossible de le lâcher. le mystère est bien présent, on savoure les légendes, croyances et tout ce que Jud peut raconter autour de ce vieux "simetierre". L'ambiance est noire, inquiétante, dérangeante et pourtant on veut aller au bout du roman, savoir jusqu'où l'horreur va aller.

Mais, et bien oui forcement il y a un mais, c'est le personnage de Louis qui m'a horripilé du début à la fin. Qu'est-ce qu'il peut être fatiguant et irritant ! C'est dommage car sans lui je pense que j'aurais vraiment aimé le roman.
Lien : https://missmolko1.blogspot...
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On ne présente plus cet auteur. Quand on nomme son nom, Simetierre vient bien souvent parmi les titres qu'il a écrit. Ce roman se veut un regard sur la mort et en avant-propos, on a le droit à une petite note d'information. Simetierre fut donc parut en 1983 sous le titre original de Pet sematary.

Louis Creed est médecin de profession et trouve un emploi au sein d'une université dans le Maine. Sa femme, ses deux jeunes enfants et le chat de sa fille l'accompagne dans cette nouvelle vie. Ils trouvent une belle petite maison hélas bordé par une route où les chauffeurs roulent à vive allure. En face vit un charmant couple octogénaire. Louis se lie d'amitié avec le vieux Jud. Derrière leur nouveau foyer, se dresse un cimetière d'animaux entretenu par les enfants.

Encore un petit pavé. J'ai toujours du mal lorsque le nombre de pages est assez important. Ainsi, j'ai un peu hésité avant d'ouvrir le livre. le début prometteur, un style agréable, une lecture facile, voilà ce que je pensais jusqu'à la moitié du livre. À partir de ce moment là, j'ai trouvé le style un peu plus narcotique bien que le rythme initial soit assez lent. Je n'ai pas aimé ce gros passage lent et un peu ennuyeux où l'auteur se plaît dans les longues descriptions, les rêves et les retour vers le passé. Mention spécial au rêve de Louis sur la fin où il se voit à DisneyWorld en Floride. Ces quelques pages, je les ai lu rapidement car il n'apporte pas grand chose à l'histoire. Dommage qu'il y ait ces nombreux paragraphes car l'histoire est plutôt sympathique. Pourtant quand Stephen King déroule, l'immersion est là. J'ai bien aimé la description des voyages entre la maison et le Simetierre. D'ailleurs ça s'emballait un peu plus sur la fin, mais trop peu. J'ai eu un petit sourire lorsque j'ai vu le nom de l'un des collègues du personnages principal : une hommage à un autre auteur ? Un autre regret également : le chat à un rôle plus que secondaire. Après les événements qui se sont passés dans le premier tiers, je trouve dommageable de ne pas voir d'avantage le félin dans le livre.

J'en sors un peu sceptique une fois de plus. Mais le rythme lent et ces nombreuses descriptions (trop) gâche un peu le plaisir. À lire tous les commentaires élogieux sur le livre, je ne risque pas de me faire beaucoup d'amis^^.
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Bien connu pour ses romans vacillant entre fantastique et horreur, Stephen King nous offre ici une oeuvre impressionnante à plus d'un titre : son récit vif, à l'écriture ciselée, nous entraine imperceptiblement vers l'horreur et sa force destructrice. King parvient à distiller la peur dans des scènes impressionnantes qui suscitent chez le lecteur malaise et crainte. Malgré quelques baisses de rythme et quelques longues phases d'attente, il parvient à transmettre à ses lecteurs, une fatalité presque palpable pour une histoire d'horreur savamment orchestrée. Un roman digne de la réputation de son auteur, au style soigné et par instants haletant. Une incursion réussie dans l'univers si personnel de Stephen King.

Lien : http://art-enciel.over-blog...
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N'ayant pas beaucoup lu de Stephen King jusqu'à présent (un recueil de quatre longues nouvelles qui m'avait beaucoup plu et un roman qui ne m'avait que moyennement convaincue) mais ayant des collègues qui elles connaissent bien l'oeuvre de l'auteur, je me suis fiée à leur avis et ai entamé Simetierre considéré comme l'un de ses chefs d'oeuvre et, peut-être, avec Shining et Ça, le summum de l'épouvante et de l'horreur. Ma quatrième de couverture en rajoutait d'ailleurs, arguant que Stephen King lui-même aurait hésité à finir ce roman étant lui-même effrayé par ce qu'il écrivait...

Autant le dire tout de suite, je n'ai pas été effrayée une seule seconde par ce roman, ce qui est ma plus grosse déception. Je pensais frissonner, avoir des sueurs froides, ne pas savoir dormir de la nuit ou en faire des cauchemars. Je m'attendais à regarder sous mon lit le soir, ou derrière moi au moindre bruit suspect, ou encore à sentir une présence chez moi. Mais non, rien de cela, je suis peut-être trop cartésienne pour imaginer que ça pourrait arriver.

Même si à cet égard ma déception est grande, reste que j'ai passé un moment agréable avec cette lecture. Ce que j'aime avant tout chez King, ce que j'ai déjà pu remarquer dans les livres précédemment lus, est sa capacité à raconter des histoires car tout se tient. Certains pourraient trouver, à juste titre, qu'il prend peut-être un peu trop son temps mais pour ma part, au contraire, il me régale en agissant ainsi. J'ai aimé l'atmosphère dès le début du roman, qu'il laisse le temps au lecteur de se familiariser avec l'histoire et aux personnages de s'installer. J'ai d'ailleurs eu du mal à lâcher le livre les 150 premières pages. Je crois que c'est ça, sa force, l'auteur s'oublie totalement pour laisser toute la place à ses personnages.

Alors oui, avec King, on ne retrouve pas la plume des grands noms classiques de la littérature, mais ce qu'il fait, raconter des histoires, il le fait bien.


Challenge multi-défis 2019
Challenge XX ème siècle 2019

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J'ai une relation plutôt compliqué avec Stephen King, j'ai vraiment apprécié Shining mais détesté Dolores Claiborne par exemple, je trouve souvent que l'auteur s'étale et se perd dans des détails sans importance et cela fait des longueurs dans ses livres.

Mais grâce à des coup de pouce j'arrive à les sortir petit à petit de ma Pal et je dois dire qu'ici je suis plutôt bien entré dans l'histoire et cette période de l'année se prête particulièrement bien à l'histoire.

L'action se situe dans le Maine comme Stephen King aime le faire, un couple accompagné de ses deux petits enfants et de leur chat Church emménage dans une petite bourgade un peu déserte ayant pour voisin un couple de personne âgé Jud et Norma.

Louis Creed étant médecin il va peu à peu se lier d'amitié avec ses voisins et découvrir avec toute sa famille le Simetierre des animaux qui se situe à quelques kilomètres de leurs maisons.

A partir de ce moment les choses vont commencer à se passer étrangement dans la vie des Creed. J'ai trouvé la première partie plutôt convenu mais les deuxièmes et troisièmes parties m'ont particulièrement plu et même plutôt surprise.

Un bon cru de Stephen King avec cependant toujours des longueurs non nécessaire à mes yeux cependant!




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L'accroche de Miss Aline pour Collectif Polar
J'ai accompagné Émilie de « Thriller et vous  » qui lisait son premier Stephen King. C'était le premier pour moi aussi. Je n'avais jamais franchie le pas, rien que ses couvertures de livres me font peur . Mais ayant lu de l'horrifique récemment (1974 et Parasite d'Arnaud Codeville) je me suis dis que ça allait passer.
Le choix du livre par les membres du groupe : Simetierre.
La première partie est consacrée à mettre l'histoire en place et faire connaissance avec la famille de Louis. Surtout il y a Church le chat qui va changer totalement suite à un accident . Ayant peur de ces petites bêtes, ça commençait mal. J'en cauchemarde et ça perturbe mon sommeil.
Deuxième partie Louis perd pied et commet l'impensable. Obligatoirement il devait en être ainsi. Sinon à quoi bon le récit sur le chat . Rachel est plus présente dans cette partie. J'entends par là qu'elle est plus « active » dans l'histoire. Enfin !
L'auteur a fait le job : il a raconté une histoire. Mais pas que... sa façon d'écrire laisse au lecteur une grosse part du boulot : l'imagination. Il te noie dans une atmosphère lourde, oppressante.
Souvent on s'attache à un personnage, est-ce le cas ici ? Oui, c'est vers Louis que va ma préférence. Il est fier mais sans excès,il aime sa famille. Il souffre, il perd pieds mais on ne peut lui en vouloir.
C'était mon premier Stephen King.... et le dernier .
Bonne journée à tous et bonne lecture.
Lien : https://collectifpolar.com/
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L'année dernière encore je n'avais jamais lu cet auteur de romans fantastiques, car je fuyais ce genre littéraire... Grâce à mes échanges avec vous, je vous présente aujourd'hui mon quatrième roman de Stephen King :

Louis et Rachel, jeunes parents d'Ellie, 5 ans, et Gage, 2 ans, emménagent dans le Maine en bord d'une grande route. le lieu est mystique car situé près d'un ancien cimetière des Indiens Micmacs, propices aux légendes et rumeurs ; Mais Louis est médecin et rationnel. Alors quand leur chat Church meurt écrasé par un camion, et que le vieux voisin Jud amène Louis l'enterrer en cachette dans le « Simetierre » indien, afin d'épargner le chagrin de sa mort à Ellie, Louis ne s'attend pas du tout à retrouver son chat dans son salon dès le lendemain matin.


Pourtant Church est là. Un peu différent peut-être : Quelque chose dans son regard, une puanteur certaine, ou encore cette façon de surgir d'absolument partout, laissant des tas de cadavres d'animaux sur son passage… Mais Louis assume d'avoir joué un peu malgré lui à l'apprenti sorcier, en se convainquant que le chat n'était pas vraiment mort lorsqu'il l'a enterré... D'ailleurs, Jud refuse d'en dire beaucoup plus sur ce tour de passe-passe, sur ce cimetière caché dont tous les anciens du village connaissent l'existence pour l'avoir testé sur leurs animaux chéris ou indispensables, avec plus ou moins de succès et de transformation de leurs personnalités.


Seulement sur leurs animaux ? Ne serait-il pas tentant de l'avoir testé sur des êtres chers décédés ? A cette question de Louis, Jud répond évidemment que c'est idiot et impensable au vu du résultat imparfait ; que les animaux qui en reviennent épargnent certes une grande peine à leurs propriétaires, mais ne leur reviennent pas entièrement eux-mêmes ; Qu'il ne faut pas jouer avec la mort, les esprits. Pourtant, il lui dit également qu'une fois que l'on y a goûté, on ne peut plus s'arrêter… Alors que se passera-t-il lorsque l'un des leurs succombera ? Louis voudra-t-il le ramener à tout prix, ou acceptera-t-il sa mort, et de le laisser reposer en paix ? Vous ne le saurez qu'à la toute fin de ce roman…


*****

En premier lieu, cette histoire ressemble à un roman d'apprentissage sur la mort, son acceptation, la peur que l'on peut en avoir. Il pose la question du renoncement aux êtres aimés, celle du deuil, des moyens que l'on est prêt à mettre en oeuvre pour échapper à cette épreuve, des croyances desquelles on tente de s'aider, etc…


Très vite, il s'y ajoute une dimension fantastique, c'est-à-dire que l'auteur insère dans ce récit réaliste des éléments nous faisant hésiter entre explications plausibles, et intrusions surnaturelles. Etant très terre à terre, j'ai toujours eu peur que les romans de Stephen King ne prennent pas avec moi pour cette raison. Mais le secret de l'auteur est de distiller subtilement ces éléments surnaturels dans la masse d'explications réalistes. du coup nous ne sommes pas immergés brutalement dans un monde auquel on ne croit pas, mais l'auteur instille petit à petit le doute, puis nous amène à accepter le fait que son récit tienne la route. L'auteur est tellement doué pour poser lentement (630 pages au total), mais sûrement, les bases de son récit, que l'histoire finit par convaincre.


Et puis pour les plus cartésiens comme moi, il y a ce message sous-jascent qui finit par percer, une sorte d'apologue. Comme les Evangiles utilisent les paraboles ou La Fontaine se sert des animaux de ses fables pour transmettre des messages, Stephen King use du fantastique pour nous permettre de nous questionner sur les sujets précités. du coup, même si littéralement ce roman parle de Zombies, j'y ai aperçu une parabole de l'acharnement thérapeutique.


« Peut-être que ça lui apprendra quelque chose au sujet de la mort, quelque chose dont la plupart des gens ne sont pas conscients, et qui est que la mort n'est pas seulement la fin de la vie, mais aussi le lieu ou la souffrance cesse et où les bons souvenirs prennent racine. (…) Elle continuera d'aimer son chat [ressuscité] malgré tout. Il ne sera pas devenu méchant, il ne mordra pas, ni rien de ce genre, alors elle continuera à l'aimer… mais elle tirera ses propres conclusions… et quand il se décidera enfin à mourir, elle se sentira bien soulagée. »


La promenade au cimetière des animaux au début de l'histoire est l'occasion de parler de la mort à Ellie, de lui apprendre à l'accepter en constatant qu'il y a des états pires que la mort : Quand le corps est là mais plus l'âme de l'être aimé. le surnaturel remplace le médical, les animaux servent tout d'abord à faire passer le message, puis l'histoire s'élargit aux hommes. D'ailleurs Louis, est médecin ; Il sera tenté de ramener à la vie un proche décédé - tout en sachant qu'il sera tellement diminué que ça risque de n'être plus vraiment lui, et qu'il serait sûrement plus raisonnable de le laisser partir en paix que de le maintenir dans cet état intermédiaire de Zombie.


« Vous vous inventez des raisons qui paraissent valables, mais ce qui vous pousse vraiment à faire ça, c'est que vous en avez envie… »


L'être humain tentant de se prendre pour Dieu… L'auteur maintient d'ailleurs ce parallèle avec Dieu tout au long du roman : « Lazare, sors ! », a dit Jésus avant de le faire ressusciter. La lutte contre la mort, ou plutôt sa fuite en avant, n'a plus de limite.


« Ca n'est pas la bêtise qui t'a fait agir ainsi, Louis, c'est l'excès de douleur. Apparemment, ça ne change pas grand-chose, mais en réalité c'est l'infime différence sur laquelle tout se fonde. C'est de cela que ce cimetière tire toute sa subsistance. (…) Il ne se nourrit pas seulement de ta douleur. Il a aussi dévoré ta raison. Ta seule déficience, c'est ton refus d'accepter l'inévitable, mais après tout c'est une faiblesse bien humaine. »


Malgré mes doutes, Stephen King a réussi à capter mon attention au cours du récit alors même que je me demandais comment il voulait arriver à me faire croire à une histoire de cimetière qui ressuscite les morts… Lentement, mais sûrement, il plante son décor et ancre les peurs, questionnements, réflexions et secrets qui prennent racine au fil du récit pour finir par devenir acceptables, plausibles, voire même se faire nôtres. L'apologue séduit avant de faire réfléchir, en cela l'auteur signe encore un bon roman. C'est pourquoi je dirais en conclusion : A tous les lecteurs qui pensent, comme je le faisais, que l'univers de King n'est pas pour eux, je vous encourage à sauter le pas et essayer un titre qui vous parle : Il y a finalement peu de risques que vous le trouviez indigeste.

En revanche, alors que beaucoup me disaient avoir été terrorisés par cette histoire, je n'ai pas été effrayée du tout par son côté clairement fantastique, mais plutôt séduite par son côté métaphorique.


Lien : http://onee-chan-a-lu.public..
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Ne lisez pas ce livre si vous êtes déprimé ou vulnérable psychologiquement. Vous voilà prévenus.

Ce livre est un véritable livre d'horreur. Au sens propre du terme. Ici, pas de monstre sanguinolent, ni de page gore. Non, ici on est dans l'horreur brute, la véritable horreur, celle dans laquelle on préfère ne jamais se projeter, même en pensée. Celle qui pousserait n'importe lequel d'entre nous, comme Louis Creed, dans les fin fonds du désespoir.

À côté de cela, on retrouve dans ce bouquin les qualités d'un bon Stephen King, et parmi celles-ci, ma favorite : l'histoire se passe au coeur de l'Amérique profonde, dans une petite communauté située dans une bourgade où tout le monde se connaît, et personne ne nous plonge mieux dans cette Amérique là que Stephen King.

On y retrouve aussi ses défauts : des détails tirés en longueur et parfois inutiles (pourquoi détailler au mètre près le parcours vers le simetierre des MicsMacs à chaque fois que Louis s'y rend ?) et des métaphores quelques fois ridicules (probablement dues à une traduction littérale de la version anglaise).

Comme je l'ai dit plus haut, ce livre ne conviendra pas aux âmes sensibles. On est au coeur de l'horreur la plus folle quand on traverse cette bouleversante tragédie avec cette famille, et surtout le désespoir de Louis qui le pousse à commettre l'innommable. C'est le King le plus sombre, le plus sinistre et morbide que j'ai lu, et il m'a laissé un sentiment assez écoeurant sur l'estomac. Si c'était une volonté de l'auteur c'est plutôt réussi.
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Autant le dire tout de suite, je suis déçue et pas plus emballée que ça. J'ai mis plus de dix jours à venir à bout des presque 600 pages ; alors oui, ce n'était pas une période très propice à la lecture pour moi, mais tout de même, si je passe plus de 4/5 jours sur un livre, c'est mauvais signe ! Je crois que j'attendais beaucoup d'un titre de Stephen King, et finalement, je n'ai pas du tout été surprise. Moi qui avais peur de faire des cauchemars à n'en plus finir, je n'ai pas été particulièrement effrayée… Déception ! Je pense tout de même tenter la lecture d'un autre titre du célèbre auteur d'épouvante ; je n'ai pas encore choisi lequel, car tout dépendra de mes trouvailles d'occasion… L'avenir nous le dira, mais j'espère que cette fois, la mayonnaise prendra !
Lien : http://bazar-de-la-litteratu..
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