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Geneviève Anhoury (Autre)
EAN : 9782290395950
96 pages
J'ai lu (11/10/2023)
3.5/5   1 notes
Résumé :
Tout en revenant sur leurs découvertes exceptionnelles, quatre grands scientifiques livrent de véritables leçons de vie. Dans quel contexte ont-ils évolué vers les sciences ? Quels sont les obstacles qu'ils ont dû surmonter ? Qu'est-ce que la science a apporté à leur existence, à leur regard sur le monde ? Le parcours et les réflexions de ces figures de la science sont autant de sources d'inspiration. Il se dégage, au fil des pages, une joie contagieuse à penser et ... >Voir plus
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
La science efface l'ignorance d'hier et révèle l'ignorance d'aujourd'hui, dit le physicien David Gross. Mais il y a deux catégories très différentes d'ignorance. Il y a ce que nous savons que nous ne savons pas. Et il y a ce que nous ne savons pas que nous ne savons pas. Et c'est cette seconde forme d'ignorance qui est la plus riche de découvertes à venir. Ce qu'il y a de plus bouleversant, dans la recherche, c'est de découvrir soudain qu'il y avait des questions dont nous n'imaginions pas qu'elles nous manquaient.
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Les véritables progrès, au sens humain du terme, ce ne sont pas les avancés de la recherche, mais la façon dont elles sont utilisées, dans le respect des droits de chaque personne. Et en préservant notre planète, et un accès équitable à ses ressources.
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L'imaginaire me paraît être un vecteur d'idées plus profond que l'intuition. Aujourd'hui, on invoque fréquemment l'intuition, le bon sens, pour contredire ce que dit la science - sur le changement climatique, par exemple. L'idée que le bon sens puisse être un vecteur d'objectivité est une idée absurde mais, malheureusement, elle gagne en puissance.
Etienne Klein
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J'ai senti alors que j'apprendrai sans cesse mais ne saurai jamais, et cette sensation n'épuiserait pas mon désir de comprendre. Qu'il me faudrait préserver la part d'invisible dans le visible, la part de silence dans la parole, la part d'ombre dans la lumière.
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La réalité du monde est si fantastique et si mystérieuse que je ne vois pas de plus bel objectif dans l'existence que d'avoir envie d'en percer tous les secrets.
Hubert Reeves
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Videos de Jean-Claude Ameisen (11) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean-Claude Ameisen
Déchiffrer (3). Le déchiffrement du linéaire B. par Jean-Claude Ameisen. Émission “Sur les épaules de Darwin”, diffusée sur France Inter le 20 juin 2015. Photographie : Fresque minoenne au musée archéologique d'Héraklion, en Crète. « Seul, le divin Ulysse restait dans la grande salle à méditer la mort des prétendants. Mais déjà Pénélope, la plus sage des femmes, descendait de sa chambre, ayant pris avec elle deux de ses chambrières qui lui mirent, auprès du foyer, une chaise où la reine s’assit. Et la reine lui dit : “Ce que je veux d’abord te demander, mon hôte, c’est ton nom et ton peuple, et ta ville et ta lignée. Car tu n’es pas sorti du chêne légendaire ou de quelque rocher.” Ulysse l’avisé lui fit cette réponse : “Digne épouse d’Ulysse, au large, dans la mer vineuse, est une terre aussi belle que riche, isolée dans les flots. C’est la terre de Crète, aux hommes innombrables, aux 90 villes dont les langues se mêlent – côte à côte, on y voit des Achéens, des Kydoniens, de vaillants Etéocrétois, des Doriens tripartites et des Pélasges divins. Parmi elles, Cnossos, grande ville de ce roi Minos, que le grand Zeus, toutes les 9 années, prenait pour confident. Minos est mon aïeul. Son fils, Deucalion au grand cœur, m’engendra. Et, pour frère, j’avais le roi Idoménée qui, sur ses navires, suivit, en direction de Troie, les deux frères Atrides [Agamemnon et Ménélas]. Moi, qu’on appelle Aithon, j’étais le plus jeune. C’est chez nous que je vis Ulysse. Il s’en allait à Troie, quand il reçut mon hospitalité. Car la rage des vents, au détour de Malée, l’avait jeté en Crète et, mouillant dans les ports dangereux d’Amnissos, sous l’antre d’Ilithye, il n’avait qu’à grand peine échappé aux rafales. […]” À tant de menteries, comme il savait, Ulysse, donner l’apparence du vrai ! Pénélope écoutait. Et ses larmes de couler, et son visage de fondre. Vous avez vu l’Euros, à la fonte des neiges, fondre sur les grands monts, et la fonte gonfler les rivière. Ainsi ses belles joues paraissaient fondre en larmes. Elle pleurait l’époux qu’elle avait auprès d’elle ! » Homère. “L’Odyssée”, Chant 19.
Les références : “Is it because i'm black ?” par Tiken Jah Fakoly (Barclay) “Le déchiffrement du Linéaire B. Aux origines de la langue grecque” écrit par John Chadwick (Editions Gallimard) “The Party's Over” par Dakota Staton (Le Chant Du Monde) “Histoire des codes secrets” écrit par Simon Singh (Le Livre de poche) “The codebrakers” écrit par David Kahn (Simon & Schuster) “Iliade-Odyssée” écrit par Homère (Gallimard / La Pléiade) “Juste une chanson” par Dominique Pinto alias Dom La Nena (Universal) L'équipe : Jean-Claude Ameisen : Producteur Christophe Imbert : Réalisateur Jean-Baptiste Audibert : Programmateur musical Christophe Mager : Attaché de production Source : France Inter
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